Prologue

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Nous sommes en 2101.

Après la grande guerre qui a eu lieu en 2086 ,Le monde ne compte désormais que deux milliards d'habitants divisés en deux groupes distincts.

UNICA, un ensemble de nations autrefois enemies mais qui se sont allié et se sont concentré en Amérique du Nord à la suite de la grande guerre pour rétablir la paix. Sa population compte un milliard trois-cent habitants de toutes origines.

Et ALTERBLUE, une société éloigné se trouvant de l'autre côté du globe ayant refusé de rejoindre UNICA et accuse ses nations d'avoir intentionelement commencé la guerre pour réduire la population et regrouper le reste des survivants dans un seul pays et ainsi mieux les contrôler. Sa population compte seulement sept-cent millions d'habitants majoritairement composé d'africains et d'asiatiques.

Zala Macvalork, une jeune étudiante vivant à UNICA est âgé de 22 ans. Elle revient comme à son habitude chez elle après une longue session de musculation et se voit accueille par sa petite sœur Sarah Macvalork âgé de 17 ans.

-Tu ne vas jamais me croire zal! Dit Sarah toute excitée.

-je ne t'ai jamais entendu dire quelque chose d'aussi véridique. Répondit-elle d'un air amusé.

-devine ce que j'ai trouvé ce matin, dans la boîte au lettre ? Dit la sœur en dévoilant une lettre de couleur rouge qui se trouvait dans l'une des poches de son sweat-shirt noir.

-c'est encore un de tes princes charmant ? Dit Zala d'un sourire forcé en rentrant à l'intérieur.

-t'es jalouse hein ! Plaisanta sa soeur en fermant la porte. Non je te rassure cette fois c'est bien à toi que s'adresse la lettre .

Zala se diriga vers le salon qui donnait sur la porte d'entrée.
Elle se déshabilla pour enfiler son pyjama de couleur mauve laissant apparaître son corps majestueux.
Sa taille fine, ses jambes dessinés et sa poitrine naturellement raffermie en étaient les preuves.
Sa musculature bien que visiblement très développé, ne gâchait en rien l'aspect féminin du protagoniste.
Elle s'allonga enfin sur l'un des canapés et alluma la télévision.

-alors de quoi est-il question sœurette ? Dit celle-ci

-tu te souviens de la lettre d'admission que tu avais envoyé au bureau de l'armée ? Dit Sarah en souriant.

Zala se leva brusquement du canapé, toute excitée.

-tu plaisantes ? Je n'ai pas arrêté d'y penser depuis le jour où je l'ai envoyé ! Alors ? Ils m'ont enfin répondu c'est ça ?

-exactement ! Et devine ce qu'ils ont dit ? Répondit Sarah en donnant la lettre à sa sœur.

"en vue de vos performances athletiques étonnantes et vos capacités intellectuelles hors normes, nous sommes heureux de vous annoncer qu'apres avoir scrupuleusement lu votre dossier, l'équipe vous souhaite la bienvenue"

Et c'est sur ces mots qu'elle se mit à pleurer.
Ses yeux s'innondaient de larmes qui coulaient abondamment telle une cascade.
Elle ne croyait pas ses yeux.
Des milliers de personnes envoyaient quotidiennement des lettres au BGAU ( bureau générale de l'armée UNICA) et seulement une minorité de ses derniers était accepté.
Pourquoi en fait-elle partie ?
Elle est certes ravie mais ne pouvait pas s'empêcher de douter de la réalité.
Est-elle entrain de rêver ? Et si c'est le cas comment peut-t-elle en être sûr ?
Son corps n'arrêtait pas de trembler.
Elle n'arrivait plus à rester debout et s'assit de nouveau sur le canapé.
Deux mois qu'elle attendait la réponse avec impatience.
Le stress qu'a généré cette attente l'avait empêché de vivre.
Chaque jours, chaque heure, chaque minute, chaque seconde était dédié à ce sujet.
Et la voilà enfin rassuré.
Elle se demandait si sa vie pouvait reprendre son cours habituel.

-Zal...? T'es sûr que tout va bien ? Demanda sa sœur, inquiéte.

-ou.. oui ! Bien sûr que c'est le cas voyant hah.. ha.

-Zal !?.. ZAL !

Ses paupières devenaient de plus en plus lourdes. Elle voulait dire quelque chose, rassurer sa sœur, lui dire qu'elle allait bien, mais cela lui a été impossible.
Ce n'était pas la première fois qu'elle se sentit aussi submergé par ses émotions.
Elle pensait s'être habitué à cette sensation désagréable.
Son corps s'allourdissait de plus en plus au fur et à mesure que les secondes passaient. Elle essayait tant bien que mal de lever son bras mais hélas, cela lui semblait plus dur que prévu.
Son champ de vision se raccourcissait, ses tremblement se sont calmés.
Elle se sentait étrangement bien et se laissa faire.
Elle perdit connaissance .

-CODE DENIED-Donde viven las historias. Descúbrelo ahora