Vous avez vraiment cru que j'allais vous raconter une histoire d'amour qui se finit bien et que tout le monde serait heureux ?
Arrêtez de vivre dans un conte de fée !
Je vais vous raconter la vérité que j'ai emporté avec moi durant mon dernier souffle... Mais avant je vais vous dévoilée le pourquoi de ces paroles.
Dès mon plus jeune âge j'étais une jeune fille timide et réserver qui ne chercher pas à être populaire mais étrangement les personnes qui m'entouraient en voyait en moi le moyens d'expulser leur rage et leur colère sur moi.
Ainsi, je subissais des violences, des moqueries et de nombreuses humiliations durant mon année scolaire de primaire.
Un jour, une bande de cinq garçons qui avait l'habitude de m'embêter, me poussa dans un coin de la cour où les professeurs ne pouvait nous voir...
Le plus gros me frappa au ventre et m'écroula de douleur à genoux devant eux en riant en coeur...
Les quatre garçon me bloquait les membres pour ne pas que je me démêle, ainsi, le "chef" de leur stupide bande sortie un couteau dans sa poche droit et le posa la lame en dessous de mon menton, à ce moment je tremblai de peur et n'arrivais pas à parler, et il me disait ces quelques mots qui changera ma vie à jamais...
- Tu n'ai qu'une vulgaire chose qui ne mérite pas d'avoir de l'attention ni d'amour !
Il commençait à soulever mon tee-shirts et appuya la lame sur ma peau pour réaliser des saigné, j'essayai de l'empêcher mais ces amis me donnait pas cette chance...Une affreuse douleur me traversa sur tout le long du dos dès que celui-ci enfonça la lame plus profondément...
Ainsi, en même quelques instants j'étais recouvert d'ouverture sur tout le long du corps. Ils me laissèrent allonger au sol ne pouvant plus me lever car la douleur me paralyser en n'oubliant pas de menacer pour que n'aille pas raconter à quelqu'un ce qu'il m'avait fait...
C'est dans cette même instant que j'ai vue celle qui me donna sa main pour que je me relève de mon cauchemar...
Elle avait les cheveux cours carré d'une noirceur que même l'obscurité de la nuit ne pouvait égalée et portait une croix à son cou...
Celle-ci ce dénommé Iris comme les fleurs que ma maman fesait pousser dans mon jardin...
Elle me soigna comme elle le pouvait et bizarrement elle avait plein de pansements dans ces poches et une sucette qu'elle me donna par la suite...
Depuis, ce jour on sait jamais séparer et je n'étais plus seule mais j'avais toujours droit à mon harcèlement quotidien mais grâce à Iris j'avais la patience et la foie pour surmonter ces épreuves...Elle a été une grande aide pour lutter contre la solitude ainsi que ma timidité.
C'est l'un de mes épisodes de ma vie qui me la plus marquée et Quand j'y pense, cette fille à été toujours là dans mes malheurs mais je n'ai aucun souvenir d'elle lors de mes moments heureux de ma misérable vie ... Revenons à la réalité de ma vie lycéenne du moins comment elle s'est transformé en gros bordelle incontrôlable....
