Un voyage qui change tout (Jortini)

Le déjeuner (partie 2)

PDV Jorge :

Déjà des tensions d'entrée, géniale... on se dirige vers le salon et on voit Sebastián se diriger vers nous.
Stephie (en lui ouvrant ses bras ) : Sebastián mon chou comment vas-tu ?
Sebastián (la prenant dans ses bras) : bien et toi Stephie ? Toujours aussi belle !
Stephie (se tortillant une mèche de cheveux) : oh mais je fais tout pour, c'est normal !
Je m'approche de Sebastián pour lui faire un tchek.
Jorge : salut mon pote !
Sebastián : Jorge mi amigo ! Content de vous accueillir !
Jorge : elle est pas mal ta maison ! Vous vivez ici maintenant avec Tini ?
La principale intéressée s'approche de Sebastián qui la love contre lui.
Sebastián : Non, pour l'instant JE vis ici mais cette maison est aussi comme celle de Tini.
Stephie : Alors vous deux, c'est officiel ?
Tini (sur la défensive) : oui pourquoi ?
Stephie (secouant innocemment la tête) : non rien, je pensais que Sebastián aimait les femmes, pas les gamines.
Et ça recommence... Tini ne lui répond pas, se contentant de la fixer méchamment.
Sebastián (gêné): bon asseyez-vous, on va vous apportez l'apéritif.
Sebastián et Tini vont chercher l'apéritif tandis que moi et Stephie nous asseyons sur le canapé. À peine assis je sermonne Stephie :
Jorge (énervé) : Je peux savoir à quoi tu joues ?!
Stephie (surprise) : À quoi je joues ? Mais mon amour de quoi tu parles ?
Jorge (l'imitant) : « je pensais que Sebastián aimait les femmes, pas les gamines » j'ai vu qu'une seule gamine ici c'est toi ! Alors arrête-toi maintenant !
Stephie (s'énervant aussi): Faut toujours que tu prennes la défense de Martina, j'en ai marre !
Jorge : parce que là elle a rien fait et c'est toujours toi qui commences !
Stephie : elle m'énerve j'y peux rien !
Jorge : c'est très simple Stephie : alors soit tu agis comme une femme mature et t'arrêtes de chercher Tini, ou soir tu continues à mettre une mauvaise ambiance et dans ce cas-là tu perdras l'amitié de Sebastián !
Stephie se tait, résignée. Le couple revient et le déjeuner peut alors commencer. Sebastián et moi discutons de nos projets. Aussitôt une question me vient et bien que je risque de ne pas aimer la réponse, je la pose quand même :
Jorge : Et vous deux sinon, ça s'est fait comment ?