Ma vie était basique et n'étais que sosie de la journée précédente. Je la regardai défilé chaque jour attendant que Thanatos vienne me rendre visite, patiemment. J'avais abandonné l'idée qu'un jour, elle pourrait changer.
Mon inconnu au cheveux élec...
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« Vous savez ce que vous êtes Mlle Je-ne-sais-pas-qui ? Une poule mouillée. Vous n'avez pas de cran. Vous avez peur de dire « D'accord, c'est la vie ». Les gens tombent amoureux. Les gens s'appartiennent l'un l'autre, parce que c'est la seule chance de trouver le bonheur. Vous vous dites libre, sauvage. Vous êtes terrifiée à l'idée qu'on vous mette en cage. Eh bien, mon cœur, vous y êtes déjà. Vous vous y êtes mise toute seule. Et elle n'est pas limitée à Tulip, au Texas, ou à la Somalie. Elle est partout où vous allez. Qu'importe où vous courez, vous finissez par tomber sur vous-même »
Diamant sur canapé. Un classique. La première fois que j'avais vue ce film, j'étais au collège en 4ème année. Ma prof de français nous faisait étudier l'amour, alors elle avait eu la merveilleuse idée de nous faire voir son film favoris. Étrangement ce passage m'avait marquer, et Holly me faisait de la peine..mais je la comprenais.
L'amour étais un peu comme être dans une cage.
« Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l'éternité.. »
Deuxième année de lycée. Les sentiments que Edward éprouvais pour Bella, étais sûrement les plus beau et les plus passionnel qui puissent exister. L'amour ne voit pas avec les yeux mais avec l'âme..
Mais ce n'étais que de la fiction. Me lever à 6 heure du matin pour commencer le boulot à 8 heures et supporter ma patronne folle amoureuse de moi, ça c'est la réalité. Et la réalité, elle est pourrit jusqu'au trognon.
« Et qu'est-ce qui me dit que c'est la vérité ? » dis-je en récupérant ma limonade habituelle du matin, tout en écoutant mon amie et collègue, Kaori.
Il étais à peine sept heure du matin, et elle me rabâchait déjà les oreilles de "rumeurs" qui parcourait l'entreprise pour produit cosmétique dans laquelle on travaillais. La jeune femme derrière la caisse me tendit le terminal de paiement électronique puis je fît rentrer ma carte bancaire à l'intérieur avant de taper le numéro.
« On s'en fiche de savoir si c'est vrai, l'important c'est que tu sois au courant Akaashi-San » marmonna-t-elle en pianotant sur son téléphone pendant que je finissais de payer et de récupéré la facture.
Je roulai des yeux. Kaori avait toujours été une grande commère, je crains qu'elle ne change jamais. J'arrangeais sa mèche qui retombait sur son frond et lui donna un petit coup sur l'épaule pour lui indiquer qu'on y allait.
J'ouvris la voiture et fit ronronner le moteur pendant que Kaori attachai sa ceinture.
« C'est parti » dit-elle.
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« Bonjour tout le monde ! » dit Kaori accompagné d'un grand sourire. Je secouai la main en signe de bonjour à mon tour.
