Chapitre 9 Randy

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Donovan est descendu peu après pour nous aider à préparer les pizzas, j'ai du dégager Rick de force.

Ce rendez-vous a totalement foiré...

Nous passons tous à table et dégustons nos pizzas faites maison.
Nelia est véritablement douée en cuisine.
Apres le dessert, Brody et Donovan sont de corvées de vaisselle.
Je prépare un thé pour Nelia et lui apporte au salon.

Brody me fait signe discrètement, je le rejoins.

- Écoute murmure-t-il, je vais prendre Donovan dans mon chalet pour vous laisser un peu d'intimité.

Je passe une main sur mes cheveux.

- Je vais d'abord discuter avec lui de l'incident avec Ursula repondis-je.

Je me dirige vers mon fils.

- Bonhomme, tu veux bien venir discuter avec moi dehors ? Lui demandais-je.

Il hoche la tête et me suit.

On s'assied sur les marches et je me lance.

- Je voudrais te parler de ce qui c'est passé à l'école commençais-je, il faut que tu comprennes que maman... maman a un problème et il lui faudra du temps pour le résoudre...
J'aimerais pouvoir te dire que ça n'arrivera plus mais je ne peux pas.
Il va falloir qu'on se montre très fort et très patients.

- Je sais, mademoiselle Kebli me l'a dit me repond-il.
Vous allez divorcer ?

- Oui, parfois on a beau essayer ça ne fonctionne pas alors il faut essayer de tourner la page mais quoi qu'il arrive je t'aimerais toujours autant tu le sais ?

- Oui... et... et puis j'aime bien quand on est que tout les deux ou avec Mademoiselle Kebli, elle est très gentille.
J'aurais aimé avoir une maman comme elle tu sais pa.

Mon cœur se serre en entendant ces mots.

- Allez viens là lui dis-je en ouvrant mes bras.

Il se blotti contre moi et je lui dis qu'on réussira à surmonter tout ça.

Brody fini par nous rejoindre pour récupérer Donovan.
Avant de partir mon fils se retourne et me dit.

- Pa', j'aime beaucoup mademoiselle Kebli et toi ?

- Moi aussi mon petit gars repondis-je.

Il hoche la tête satisfait et part avec son oncle après avoir embrasser la joue de Nelia.

Je la rejoins le sourire aux lèvres et la prends dans mes bras.
C'est quand même dingue que ce soit Nelia qui se montre aussi attentionnée envers Donovan que sa propre mère...

Elle dépose de léger baiser sur mon cou, je bascule la tête en arrière pour lui laisser le champ libre même si a force, le désir augmente.
Ses baisers remontent jusqu'à ma mâchoire et je baisse la tête pour m'emparer de ses lèvres.

Du désir à l'état brut, voilà ce que ressens.

Je la dirige vers l'escalier en ne quittant pas ses levres et la soulève pour nous faire monter les marches.
Je la fais redescendre quand on est au premier et l'entraîne jusqu'à la chambre d'amis ou je dors en attendant.
A peine la porte passée qu'elle se jette à nouveau sur moi.

Nous avançons jusqu'au lit en nous déshabillant mutuellement.
Quand elle bascule en arrière, sur le lit, elle ne porte que ses dessous et moi mon caleçon.
Je lui souris et m'agenouille entre ses jambes.

Je fais glisser son string avec une douceur qui contraste avec le feu qui brûle en moi.
Ça fait tellement longtemps pour moi que j'en tremble...

Mon visage au niveau de son sexe, j'écarte ses douces lèvres imberbes et la lèche.
Je la prépare au mieux à coup de langue.
Je remonte au niveau de ses seins et l'aide a retirer son soutif.

Une taille parfaite qui s'accorde à la paume de ma main.

Je me délecte de sa poitrine et me repais de ses gémissements.
Je ne la laisse pas jouir tout de suite.

Je mordille ses mamelons gorgées et les suce.

Quand je la sens trembler je retire ma bouche.

Je me redresse pour retirer mon caleçon et me positionne à nouveau au-dessus d'elle.
Elle remonte ses jambes et je la pénètre de quelques centimètres.
Son étroitesse augmente mon désir.
Je m'empare de sa bouche et d'un seul coup me carre au fond.

Je fais quelques mouvements circulaire avant d'entamer un va-et-vient lent.
Ma bouche étouffe ses gémissements.

J'accélère légèrement, j'ai peur que j'en finisse trop vite.

Ses jambes se croisent autour de moi et j'accélère encore.

Ma bouche se retire de la sienne et je plonge mon regard dans le sien en accélérant encore.
Je bute au fond à chaque coup de rein.

Ses gémissements deviennent des cris d'extase, j'en perds le contrôle et la pilonne avec force.
Je deviens sauvage.

La brutalité prend le dessus et j'accélère de toutes mes forces.
Je la pilonne encore plus fort faisant cogner le lit contre le mur.
Ses yeux se révulsent et sa tête bascule en arrière.
Ses parois m'emprisonnent et je serre les dents pour tenir encore un peu.
Trop tard.

Les signes annonciateurs d'un orgasme me poussent à accélérer pour la faire jouir avant moi.

Des qu'elle hurle en jouissant je me lache à mon tour et lui donne tout ce que j'ai en hurlant.

A bout de souffle, je m'effondre sur elle en continuant un lent va-et-vient.

- Les préservatifs halete-t-elle.

Merde, ça faisant tellement longtemps que j'ai complètement oublié, pressé d'être en elle.

- Ça fait quelques années que je n'ai pas touché une femme avouais-je.
Ma main gauche faisait tout le boulot mais je ferais des tests pour te rassurer.

- Je n'ai rien fait depuis un peu plus d'un an repond-elle, mais je ferais des tests aussi.

Je reste dans cette position incapable de me séparer d'elle.
Je l'embrasse encore et encore jusqu'à sentir mon sexe se redresser à nouveau.
Etant déjà en elle, je reprends mes coups de reins.

Plusieurs années d'abstinence à rattraper.










Les frères Hudson : RANDYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant