Princesse devenue Luna suprême Tome 2 / 2

Chapitre 2

Précédemment dans l'histoire :

Elle : Princesse Elisabeth de France ?

Moi : Je... heu... oui.

Elle : Ce n'est pas possible.

Moi : Pourquoi madame ?

Elle ne me répond pas, je m'approche plus près d'elle et remarque qu'elle sait encore évanouie. 

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Cela fait plusieurs heures qu'elle s'est évanouie peut-être même une journée je dirais. Je me suis fait encore une fois réveillé par plusieurs coups dans le ventre et des cris mais alors que je m'attendais à en recevoir encore, je n'entends plus rien, plus aucun bruit, ni aucune douleur. J'espère au fond de moi qu'ils doivent être partie mais j'ai doute fort, je me décide à ouvrir les yeux et voit deux hommes à terre plus loin.

Je fronce les sourcils, je ne comprends pas ce qui leur arrive mais je suis tellement fatigué que je lutte pour ne pas me rendormir. J'entends quelqu'un chuchoter mon prénom pour m'appeler mais je n'ai pas la force de répondre... de toute façon à quoi bon, cela doit être encore mon imagination !

??? : Elisabeth ? Tu es là ?

Moi : Humm ....

Je remarque qu'une ombre s'approche de moi, j'essaye tant bien que mal de me reculer et de m'approcher de la vieille dame.

??? : Yoann, viens vite elle est là.

Je me stoppe quand je pense reconnaître la voix de cet homme, serait-ce possible ? Cela fait tellement longtemps que je ne l'ai pas entendu.

Moi : John ... ? Je finis par demander en chuchotant difficilement.

John : Oui, on va te ramener à la maison, ne t'inquiète pas. Me dit-il en essayant de me prenant doucement dans ces bras.

Je grimace de douleur et laisse sortir un petit cri de douleur de ma bouche.

John : Désolé, je suis désolée de te faire mal mais nous devons nous dépêcher.

Il me colle à son torse et commence à sortir mais je lui dis :

Moi : Attend John, on doit l'emmener avec nous !

John : Qui ça ?

Moi : La vieille dame là. Je lui montre la dame avec la main.

John : On ne peut pas princesse, on n'a pas le temps.

Moi : S'il te plait, elle me connaît. Je le supplie du regard.

Il soufflet et se met à chuchoter :

John : Bon d'accord, Yoann prend la vieille femme.

Moi : Merc...

Je n'arrive pas à garder les yeux ouverts, ni même à finir mes phrases, la douleur est beaucoup trop intense, je fini par m'évanouir avant même de sortir de cette pièce, et de cet endroit.

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J'ouvre les yeux avec difficulté, une vilaine lumière blanche m'agresse les yeux donc je l'ai refermé rapidement. J'essaie de m'habituer à toute cette lumière que je n'ai pas eu l'occasion de voir depuis plusieurs semaines, je regarde la pièce autour de moi et m'aperçois que je ne suis plus dans cette cave sombre et puante mais sur un lit d'appoint sous une tente.