souffle coupé

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-Bonjour (t/p).

Il se trouvait derrière toi, si près que tu sentais son souffle dans ton coup , un frisson te parcouru l'échine, c'était lui, c'était Chrollo !

-Je ne pensais pas que tu étais toujours en vie . Lâcha-il avec un petit rire amusé.

Une montée d'adrénaline s'éleva en toi et tu te retournais pour lui faire face, tes yeux étaient pourpre de rage, tu lui saisis le coup et le serra de toute ta forçe, cela ne semblait pas le perturbé pour autant, il saisit tes poignets qu'il pressa fortement.

-Tu me fais face maintenant ? N'oublie pas ton statut.

Pour qui se prend-il ? Tu lui mets un coup bien placé et il se cambre de douleur, relâchant par la même occasion tes poignets, tu t'apprêtais à lui asséner un revers mais une forte poigne t'en empêcha, ses amis s'étaient rapprochés et t'avaient arrêter, tu te débattais comme tu pouvait mais leurs forces étaient bien supérieur à la tienne. Feitan plaqua une main sur ta bouche et ce fut le vide, ils avaient sûrement dû te droguer.

Quand tu te réveilla il était jour , ta tête te faisait affreusement mal et tu ouvrit péniblement les yeux, tu mis du temps à te remémorer les événements de la nuit dernière, mais quand t'es pensées furent claires tu te redressa d'un bond, tu était dans la même rue au même endroit, une douleur vive te saisis la nuque et tu t'effondres.

Tu te réveilles plus tard dans la soirée, tu étais dans une pièce , prise de panique releva rapidement la tête c'était une petite chambre , qui avait l'air assez vieille, tu scrutais les murs mais le bruit de la porte qui grinçait de dis sortir de ta transe.
Une vielle femme entra dans la pièce en te saluant, elle était petite, et avait un sourire chaleureux.
-Bonjour. Dis-tu perplexe , qui êtes vous ?

Elle s'assit sur le bord du lit.
-Mon fils t'a retrouvé incontinente sur le bord de la route, nous t'avons donc abrité. Dit-elle timidement.
Elle avait l'air gentille et sa voix était douce.
Tu l'a remerciée et lui dit que tu devais rentrer chez toi, elle insista pour que tu reste dîner chez elle mais tu déclina son offre. Tu étais devant la porte et au moment de sortir la porte se déverrouilla et un jeune homme te faisait face.
Il te dépassait d'un vingtaine de centimètre et ses yeux noisette te dévoraient du regard, il était beau à s'en damner.
Je m'éclaire la voix et dit :
-Bonsoir je comptais m'en aller , pourriez vous vous décalé ?

Il ne me répondis pas et se décala, je leur souhaite une bonne soirée encore une fois et m'aventure dehors. Il faisait sombre.J'avançais à grands pas, quand, tout-à-coup une forte poigne me saisis le poignet je me retournais et vis :

 𝔏𝔢𝔰 𝔞̂𝔪𝔢𝔰 𝔣𝔬𝔯𝔱𝔢𝔰 / 𝙺𝚞𝚛𝚘𝚛𝚘 𝚡  𝚛𝚎𝚊𝚍𝚎𝚛Where stories live. Discover now