Et celà recommence...

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Je me retournais et vis...
L'homme que je venais de croiser tout à l'heure dans l'allée, avait un sourire mesquin mais était tout de même beau à s'en damner.
J'avais un mauvais pressentiment et je fis un grand mouvement de la main pour qu'il relâche la pression exercée sur mon poignet maintenant devenu rouge.
Je lui jète un regard plein de haine mais il se contente de sourire et de légèrement penché la tête sur le côté, comme pour avoir l'air mignon.
Il me dégoûte...
Il fut le premier à briser le silence :
«Tu ne me remercies pas ? Je t'ai tout de même sauvé la vie non ? Ces phrases sonnaient comme des questions, mais à mon oreille elles sonnaient plutôt comme une affirmation.
Je voulais en finir le plus vite avec cet homme que j'estimais complètement dérangeant.
-Je vous remercie de m'avoir aidée, celà me flatte beaucoup, passer une excellente fin de soirée.
Je tournais les talons et ne lui laissais pas répondre, car je m'enfuie en courant,
Je ne comprenais pas, moi même, cette montée d'adrénaline si soudaine mais il était bien trop tard pour faire demi tour !

Comme il faisait nuit noire, et que je n'avais nullement l'envie de passer ma nuit à contempler les étoiles, qui malgré tout étaient scintillante et si rassurantes, elles me suivent partout, me voient, m'écoutent toujours sans jamais rien dire, elles sont vides, mortes mais toujours là .
Quelle ironie...
Je me dirigeai vers un hôtel assez luxueux, il faut dire que l'argent n'était plus ce qui me manquait.
Le jour on l'on m'avait jeté car je ne savais diable ou était kuroro je m'étais retrouver complètement livrée à moi même, je ne mangeais plus n'ayant pas d'argent trouvant mes repas dans les poubelles. Tel un animal je mangeais les restes des humains.
Ils se trouvaient dans une école non loin d'où je résidais, et étant public je pus m'y inscrire sans devoir payer des frais. J'avais la chance de savoir lire et écrire car il me l'avait appris, l'école que je fréquentais n'était pas une école de prestige, ni même une de bon nom.
J'y trouvais malgrès tout ma place, la misérable que je suis serait fortement odieuse de se lamenter.
Aujourd'hui j'avais un diplôme et j'avais travaillé en tant qu'avocate je débutais dans le métier mais était tout de même bien rémunérée. D'où mon aisance financière.

Je m'enregistre sur la liste de la tête, et reçois mes clés.
J'avais la chambre numéro 102....

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⏰ Last updated: Jun 20, 2023 ⏰

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 𝔏𝔢𝔰 𝔞̂𝔪𝔢𝔰 𝔣𝔬𝔯𝔱𝔢𝔰 / 𝙺𝚞𝚛𝚘𝚛𝚘 𝚡  𝚛𝚎𝚊𝚍𝚎𝚛Where stories live. Discover now