Le lendemain matin, quand je m'étais levée, aomine dormait encore à poings fermés.
Je voulais le réveiller car j'avais faim.
Ça tête était posé sur mon ventre et je voulu lui pincer le nez pour le réveiller car il me gênait.
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Mais ça réaction fut tellement mignonne que j'avais regretté mon geste.
Un fraction de secondes j'ai pensée
"J'aimerais le voir comme ça tout les matins"
Ses cheveux ébouriffés me frôlaient la peau tandis que l'homme avec qui je partageais mon lit ce redressait.
A présent ça tête avait déviée à quelques centimètres de mon visages et son souffle venait chatouiller mes lèvres.
Ça voix rendu rauques par le sommeil fut vibrer l'air qui nous séparait l'un de l'autre.
Aomine: je déteste qu'on me réveil...
Puis il se pencha d'avantage tant et si bien que je me surpris à penser que nos corps collés ensemble formaient une étreinte presque enivrante.
Le seul mouvement de l'un de nous deux auraient causé une suite d'événements incontrôlables et même si j'aurais voulu arrêter ça, j'en aurais été parfaitement incapable. A mon plus grand regret car à la suite de ma pensée. Dans un élan que je ne compris pas .
J'avais déposé un baisé chaste et bref sur les lèvres du beau basketteur.
Et dans une incompréhension réciproque, ce fut lui qui revint à la charge.
Ce n'était ni doux, ni romantique.
Son baisé était empressé, passionné, presque inconscient.
Comme si il l'avait gardé sur ses lèvres depuis des années.
Et alors que je voulus stoppé cela.
Mon corps bien que conscient de l'afflux de perplexité qui me submergeait, refusait catégoriquement de bougé.
Et encore plus étrange, je me surpris à répondre à cette attaque sur mes lèvres par une tout autre, ou plutôt, par une identique.
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Ma langue dansait sur la sienne comme si je l'avais fait toute ma vie et nos corps brûlant ne cessait de chercher le contact.
Ça main glissa le long de mon dos et par le plus frustrant des hasards lorsque la mienne allait entrer en contact avec ses beaux cheveux indigo, il regroupa mes poignées et les plaça au-dessus de ma tête.
C'est à ce moment précis que je compris qu'il avait le pouvoir.
Mon corps lui appartenait plus qu'à quiconque.
Et le sien devais m'appartenir, tout entier, sans oublier la moindre virgule, les moindre centimètre de peau.
Nous étions liée et le Denis n'était qu'une conformité car jamais je ne pouvais lui montrer que je ferais tous ce quil désirerait si il me le demandait.
J'étais amoureuse de cette arrogant, pervers, et injustement beau basketteur.
C'était Irrévocable.
C'était mon destin.
Retour en force mes petits chats !!! Alors c'était comment ce chapitre ?
