chapitre 20 : prisonniere

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PDV Toby :
Je suis sortie pour aller retrouver Leïla. Après avoir un peu marché je la vois. Qu'est-ce qu'elle a elle a l'air d'être sur c'est garde. Puis je vois un homme qui arrive derrière elle et lui donne un coup derrière la tête. Elle tombe. Un autre homme arrive. Ils la prennent et parte. Je me lance à leurs poursuite. Pourquoi je n'ai pas pris mes haches moi? Tout ce que je peux faire c'est voire ou il l'emmène et être prêt à me battre. Après plusieurs minutes on arrive devant une base de creepyhunter. Ils entre à l'intérieur avec Leïla. Mais je ne peux pas y aller je n'arriverait jamais a tuer toute une base de creepyhunter sans armes. Plus qu'une solution aller prévenir les autres et prier pour qu'ils ne lui fasse pas de mal. Je retourne au manoir en courant.

PDV Leïla :
Ou suis-je ? Pourquoi ma tête me fait mal ? Je regarde autour de moi. La pièce est très sombre. La seule source de lumière provient d'une chandelle sur une table. Il y a l'air d'avoir autre chose, mais je ne vois pas. Je me relève et prend conscience que je suis attaché avec des chaînes au mur. J'en ai autour de mes bras et de mes jambes. Ho non! Ou est ce que je suis tombé? Pitié ne me dites pas que je suis dans une cellule de creepyhunter. Mais après avoir regardé une dernière fois la cellule dans laquelle je me trouve je dois bien m'avouer le pire : je me suis fait capturer par des creepyhunter. Des larmes de peur commence à couler sur mes joues😵😢. Comment c'est arrivé. HO NON!!! TOBY!!!😵😨😵 ça y est je me souviens l'avoir vu avant le trou noir. Pitié s'il vous plaît qu'il ne lui ai rien fait de mal. S'il vous plaît. Soudain j'entends un bruit de clé qui tourne dans la serrure. Je sèche rapidement mes larmes. Si il y a bien un truc dont je suis sur c'est qu'ils n'obtiendront rien de moi. Que ce soit un cris de douleur ou des informations. RIEN!!😡. Quelqu'un entre et referme la porte derrière lui. D'après ce que j'arrive à voir c'est un homme qui a l'air d'avoir mon âge et il porte un sweet avec la capuche sur la tête qui m'empêche de voir son visage et un jean noir.

?? : alors Leïla contente de ta cellule.

C'est bizarre ça voie me rappelle quelque chose. Mais ça a l'air trop lointain.

Moi : heu... on se connaît non?
?? : ho tu ne me reconnais pas? Remarque à cette époque tu ne savais rien du monde des creepypasta donc ça doit être un peu lointain. Mais moi je ne t'ai jamais oublier. Je suis resté la a attendre le bon moment. Mais je ne pensais pas qu'il allait arriver comme ça. J'ai été très surpris quand le chef m'a dit que tu étais la fille de Slenderman.
Moi : qui est tu??
?? : c'est vraiment dommage que tu ne te souvienne plus de moi. Attend peut être que mon visage va te rappeler la mémoire.

Il se dirige vers la table et prend la chandelle. Il s'approche de moi. Maintenant qu'on est presque coller il lève son visage et retire sa capuche. A la seconde ou je vois son visage je sens mon coeur s'arrêter. Non c'est pas possible. Pas lui.

Moi : a...Adrian
Adrian : c'est bien ce que je pensais tu te souviens maintenant.

Flash Back :

L'année de 5ème viens de se terminer. Je sors du collège et commence à prendre la direction de chez moi. Quand quelqu'un m'attrape le bras. Je me retourne surprise pour voir Adrian un de mes camarades de classe qui a l'air légèrement essoufflé.

Moi : oui?
Adrian : ça te dérange pas si je t'accompagne jusqu'à chez toi?

Je trouve ça un peu bizarre parce que on c'est rarement parler tout les deux mais comme à chaque fois ça c'était très bien passé j'accepte. On marche tranquillement en discutant de l'année scolaire et de se qu'on va faire pour les vacances d'été. Arrivée devant chez moi je m'arrête.

Moi : bon bah, c'est ici que j'habite. Merci de m'avoir accompagné c'était cool.
Adrian : de rien j'ai beaucoup aimé.

Puis sans prévenir il me plaque contre le mur et m'embrasse. Je ne m'y attendais tellement pas que je reste figée. Il prend mon absence de réaction pour un oui et passe ses mains autour de mon dos et commence à les descendre pour atteindre le niveau de ma taille. Cette dernière action me fait reprendre mes esprit et je le pousse puis je place une main sur ma bouche pour ne pas qu'il recommence.

Moi : écoute... j'aime bien parler avec toi, mais je ne suis pas amoureuse de toi et je pense que je ne le saurais jamais.

Adrian se recolle à moi et je me colle un peu plus contre le mur. Je commence vraiment à avoir peur.

Moi : s'il te plaît... laisse moi rentrer chez moi.
Adrian : je veux faire l'amour avec toi.
Moi : j'ai pas envie. Écoute je ressens rien pour toi et je veux rien faire avec toi.

Mon refus l'énerve il m'attrape le poignet. Je le regarde dans les yeux. Il a l'air menaçant. Ça y est la je flippe vraiment 😨.

Moi : lâche moi Adrian.
Adrian : tu le fera avec moi que ça te plaise ou non.

Je lui colle une gifles, dégage mon poignée de sa main et cours dans le hall de l'immeuble et monte les escaliers le plus rapidement possible. Une fois chez moi je vais voir à la fenêtre et il est toujours là. Il me lance un regard de haine et part.

2 jours après il a été portée disparu et même si je me sentais coupable de penser ça j'étais quand même soulager.

Fin du Flash Back.

Je regarde Adrian sans oser croire qu'il est là.

Moi : mais... mais les gens on dit que tu étais mort.
Adrian : oui après avoir été porté disparu pendant un moment les gens pensent que je suis mort.
Moi : que ce que tu veux au juste?
Adrian : je te l'ai déjà dit non?

La haine prend le dessus sur ma peur.

Moi : une gifle ça te suffit pas comme leçon? Tu as besoin de quoi pour comprendre que c'est NON!?
Adrian : j'espérais que tu serais plus coopérative. Mais on verra ça plus tard j'ai attendu plus d'un an... je peux attendre encore un peu. Où ce trouvent le manoir de ton père?
Moi : ne compte pas sur moi pour te le dire.

Adrian va prendre un couteau et me le plante dans le bras. Je me mord la lèvre inférieur pour ne pas hurler.

Adrian : Ou est-ce qu'il se trouve?
Moi : tu peux me faire ce que tu veux Adrian mais je ne parlerai pas.

Je n'ai jamais été aussi déterminer à ne rien dire. Il retire le couteau de mon bras et sort. Je reste la, toujours choquer de l'avoir revu. Je pensais qu'il était mort. Et maintenant je sais très bien ce qui m'attend si je reste la. Mais de toute façon je ne peux aller nulle part.

Éclipse de deux semaines.

Aujourd'hui ça fait deux semaines que je suis enfermé ici. Adrian viens me poser des questions 2 fois par jour. Je sens très bien que ça l'amuse de me voir dans cette situation, ou je suis à ça merci. Le pire c'est qu'il en profite comme il sait que je ne peux pas m'enfuir d'ici il ne me fait rien d'intime à par me touché. Sinon il se contente de me poser des questions et de me torturer quand je ne réponds pas. Ça y est j'entends des pas s'arrêter dernière la porte. Elle s'ouvre et Adrian entre puis ferme la porte à clé.

Adrian : tu es toujours pas décidé à ne pas parler?
Moi : fais ce que tu veux je parlerais pas.
Adrian : très bien.

Adrian s'approche de moi et enlève les chaînes qui sont autour de mes mains. J'aimerais bien le frapper mais je n'ai plus assez de force même pour tenir debout. Une fois que je ne suis plus attaché au mur je m'effondre par terre. Il m'attrape par le bras et me force à me relever. Une fois que je suis debout il me plaque contre le mur.

Adrian : c'est ta dernière chance.

Je le regarde je sais se qu'il va me faire si je ne parle pas. Mais je préfère vivre ça que de trahir ma famille.

Moi : Non. Je ne te dirai rien.
Adrian : très bien, on verra si tu diras encore ça quand j'aurai fini.

Je reste figé par la terreur. Puis je sens mes larmes couler sur mes joues. Adrian éclate de rire en voyant mes larmes. Puis il attrape le bas de mon tee shirt et me le retire de force. Puis il fait de même avec mon pantalon. Maintenant je sens que tout est fini. Il va mettre ça pire menace à exécution, et je ne peux rien faire pour l'en empêcher, je n'ai plus aucune force en moi. Il commence lui aussi à enlever ses vêtements et une fois qu'il a fini il me regarde. Je pense que je n'ai jamais été aussi mal de ma vie. Il tend ses mains vers moi et commence à enlever mon soutien gorges. A ce moment là on entend tout les deux un gros bruit venant de derrière la porte. Il se fige et regarde la porte. On entend quelqu'un ordonné à une autre personne d'ouvrir la porte. Au moment où j'entends cette personne je reprends espoir.

Moi : Papa?

La porte s'ouvre et mon père rentre. Je souris en le voyant. Puis je tombe par terre, inconsciente.

Ticci Toby et moi [Histoire Terminée]Where stories live. Discover now