Vous êtes (t/p) , une jeune lycéenne qui se lasse de n'être remarquée par personne. Vous vous faites gentiment moquer car vous n'avez toujours pas eu de relation amoureuse. Pour combler ce "manque" vous écrivez des histoires d'amour qui sont renommé...
Jun et Hiro se dirigent vers le salon, je les suis de près, la boule au ventre.
Une fois dans le salon, Hiro regarde Jun avec un regard qui en dit long sur ses intentions.
Jun : Je te préviens Hiro, si tu me tues, (t/p) ne s'en remettra pas.
Hiro : Mais qu'est-ce qu'elle en aura à faire de toi ?! Puisqu'elle passera le restant de sa vie avec moi !
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Hiro sort des fléchettes de on ne sais où et les lance sur Jun. Celui-ci réussit à les esquiver mais une fléchette cachée dans la trajectoire d'une autre le touche au foie.
(t/p) : JUN !!
Hiro : Raah ! Mais tu n'en as pas marre de n'avoir que ce nom à la bouche ? Pourquoi refuses-tu d'admettre la vérité ? TU N'AS PAS D'AUTRES CHOIX QUE DE PARTAGER MA VIE (T/P) !
Hiro tourne ses yeux emplies de folie vers moi. Je soutiens son regard, je dois pour Jun, pour moi, pour nous.
J'entends Jun se relever péniblement. Hiro rompt notre face à face pour regarder du coin de l'œil Jun souffrir de sa blessure.
Jun : Ah...Tu...Ecoutes, si je meurs (t/p) tombera en dépression tu as compris ?!!
Hiro : Jamais elle ne verserais une larme pour toi..
Profitant du fait qu'Hiro soit déconcentré, je me décale et cours me placer vers le couloir attenant aux chambres.
Les yeux d'Hiro brillent de rouge tandis que ceux de Jun se teintent de doré.
(t/p) : Et une goutte de sang ?
Jun/Hiro : Hein ?
J'avance au centre de la pièce, entre les deux cousins. Je ramasse une des fléchettes adroitement aiguisée d'Hiro.
Je les regarde tour à tour. Chacun a cessé tout mouvement. Ils me regardent juste, le regard apeuré par ce que je vais faire.
Hiro : Non (t/p)..Ne fais pas ça..
(t/p) : Pour une goutte Hiro.. Pour une goutte tu as versé combien de litres ? Mon sang est donc plus précieux que celui de Jun ? Ton propre cousin ?
LUI mérite de ne jamais verser de sang. Toi tu voulais tellement que je t'appartiennes que tu n'as pas hésité à voler des vies pour pouvoir te rapprocher de moi ! Je ne pourrais jamais me pardonner le fait d'être à l'origine de ta psychose !!
S'en est trop pour moi, je m'effondre à genoux par terre en pleurant.
PDV extérieur :
Le temps s'est figé. On entends plus que les pleurs de (t/p) résonner dans la maison familiale.
PDV (t/p) :
Je ne peux m'arrêter de pleurer. Ces larmes que j'ai tant refoulé. Je m'étais interdit de pleurer pourtant..
