Chapitre 18

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Depuis une semaine, je suis sur la route avec Nathan. Lola me manque et les enfants aussi. Quand j'ai eu Lola au téléphone, je l'ai prévenue que je rentrerait pas de suite. Elle a crier, hurler, pleurer me demandant de rentrer a la maison. Mais je suis encore trop a vif, ses paroles sont encore trop présente dans ma tête. Je les appelle tout les jours. Je rentrerais a la maison, mais j'ai juste besoin de temps.

Loïc, nous a rejoins des sa sorti de l'hôpital. Les garçons se mette dans une mauvaise posture vis a vis du club et de ses membres. Mais après une très très longue conversation, Mathieu a approuver le fait que j'était plus en sécurité avec eux que seule. Sa me fait une belle jambe tiens, comme si, j'attendais sa permission a lui.

Qu'est que je déteste les garçons a cet instant. Je les hais d'une force. On a louer un petit appartement pour quelques jours. Et messieurs se permettent de baiser, alors que moi je suis toujours moi quoi, une vierge.

Je ne compte plus le nombres de fois durant cette semaine ou je les ai surpris la main dans le pantalon de l'autre, ou la bite dans la bouche ou dans le cul de l'autre. Au moins dans mon malheur, eux le vivent bien, ils ne se cachent pas. Mais les bruits, leurs cris je peux plus.

Je décide de sortir a la petite superette du coin, chercher de quoi faire des lasagne au saumon se soir et leur laisser le temps de finir. Le soleil se cache, joue avec les nuages, mais il fait doux. J'adore me promener, je rentre dans le petit magasin, salue le propriétaire, puis me dirige vers les rayons qui m'intéresse. Je prend mon temps, histoire d'être sur qu'ils finissent, le monsieur a la caisse me regarde bizarrement. Il a peu être peur que je le vole, qui sait.

Je pars régler mes achats, puis pars a la quête d'un poissonnier. Apres plusieurs minutes de recherche, j'en trouve un. 

Je rentre tout doucement, plus lent qu'un escargot sa existe?

Avec toute la misère du monde de ne pas marcher a grand pas pour rentrer, j'arrive a l'appartement. La porte de leurs chambres est ouverte. Youhou les baiseurs ont finis.

Je rentre souriante et toute contente dans le salon pour voir quoi? Loïc chevaucher Nathan. Mais putain, il s'arrête jamais ces deux la? Je fait pas de bruit et décider d'aller m'assoire dans le fauteuil a coter d'eux. Histoire qu'ils remarque ma présence. 

- Ah t'es la? me dit Nathan sans s'arrêter de donner des coups de rien.

- Putain, vous arrêtez quand? souflais-je lasse.

- Quand j'aurais décharger, pourquoi?

La c'est la goutte de trop.

-QUAND PUTAIN? SANS FAIT UNE PUTAIN DE SEMAINE QUE VOUS BAISER PIRE QUE DES LAPINS. PARTOUT, J'EN AI TELEMENT VUE DE VOTRE TROUS DE BALLE OU VOS BITES QUE MES YEUX SAIGNE. MES OREILLES FONT DES HEMORAGIE TELLEMENT  VOUS CRIER. MERDE. VOUS ME FAITE CHIER. BANDE DE CONNARD.

Je pars dans ma chambre en claquant la porte derrière moi, et me laisse tomber dans mon lit. Je prend mon téléphone et appel ma meilleure amie.

- Allo, chérie, ca va? me demande-t-elle a peine décrocher.

- Oui ca va, et toi? mes petits lapins?

- Moi ca va et les enfants aussi. Tu me manque. Tu rentre quand?

- Demain. lui dis-je sans réfléchir.

- Sérieusement?

 Le demain est sortie tellement naturellement que je sais qu'il est temps de rentré a la maison.

-Oui sérieusement.

Nous parlons encore pendant un vingtaine de minutes de tout et de rien. Elle me parle un peu de Lewis et son frère, mais rien qui retienne mon attention.

Je raccroche, me déshabille en laissant mes sous vêtements et passe sous le drap. Je m'endors quelques minutes plus tard, le sourire aux lèvres.

Demain je rentre  a la maison.


J'ai chaud, un poids repose sur mon ventre, mon épaule. J'essaie de bouger, mais rien n'y fait. J'ouvre grand les yeux, peur de se qu'il pourrait se passer. Quand je remarque, les deux nigos dormir dans mon lit. Nathan a la tête poser sur mon épaule et Loïc son avant bras sur mon ventre et sa main sur les cotes de Nathan.

Non, mais sérieux ils ont peur que je m'envole ou quoi. Je pince le nez de celui qui m'a pris pour son oreiller. Effet zéro pour changer. Je chope la main de Loïc la pause délicatement sur la joue de Nathan, une fois poser a moi de jouer. Je prend la barbe de Nathan du bout de doigt et commence a chanter a voix basse.

- Je te tiens, tu me tiens par la barbichette, le premier qui rira aura une tapette.

Il ne fait rien, même pas un petit sourire en coin. Merde. Je réfléchie et une idée complètement déplacer me vient. Se sont tellement des obséder sexuel que si sa marche pas, ben sa marche pas! Je prend mon courage a deux main, pose ma main sur son sexe et remonte en une seule et unique caresse.

 Et la, Bam, ses lèvres remonte dans un riquiqui sourire, mais je m'en fou, je l'ai vue. Je suis contente, il a perdu, et d'un seul coup j'assène une putain de claque sur la main de Loïc. Je me dépêche de refermer les yeux. Et la.

- NON MAIS T'ES MALADE, CONNARD? cris Nathan.

- Quoi connard? j'ai rien fait.

- TE FOU PAS DE MA GUEULE, TU M'A MIS UNE PUTAIN DE CLAQUE.

Je m'étire tel un chat.

- Qu'est ce qui se passe? Nathan pourquoi tu hurle? demandais-je dans mon rôle de la nana qui viens de se réveiller.

- Désoler princesse, l'autre ne sait pas dormir. On est désoler pour hier.

- C'est pas grave.

Je me lève, enfile un pantalon et un maillot.

- Heureusement, je suis gay.

- Ouai mais pas lui, qu'est ce que vous faite dans mon lit d'ailleurs. Vous avez pas une piaule?

- On est venu pour nous faire pardonner, mais tu dormais. Quand on  partaient, t'a commencer a t'agiter alors on est rester. me répond Loïc.

- OK, aller on se casse, j'ai la dalle après on rentre.

Ils me regardent tout les deux, le sourire aux lèvres. Eux aussi sont content de repartirent, et de revivre leur relation en cachette.

Fire demonsWhere stories live. Discover now