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« Il n'y a pas d'haine sans amour »

@Haidah




Haïdah : Mais laissez moi parler déjà !

Djeneba : Commence pas toi aussi !

Haïdah : Nan mais là je pense qu'il faut que j'éclaircisse les choses ! Il faut que je rappelle que Djeneba et tonton Wagué vous m'avez marier de force avec un "arabe" comme vous dite, juste pour qu'au mali on me haïssent et que au cas ou Baba mourrez vous touchera de l'argent mais-

Djeneba : arrête de raconter des bêtises menteuse, sorcière !!!

Haïdah : Baba si tu meurt pas ils ne touche pas d'argent donc leur plan a échoué en même temp quand on n'a un cerveau assez limité c'est dur de savoir ça, hein Djeneba ?

Son père a commencer a froncé fort les sourcils

Son père : Vous contiez utilisé l'argent pourquoi ??

Haïdah : comme djeneba est au chômage elle n'a pas d'argent pour se faire plaisir, c'est un peu prévisible venant d'elle

A vrai dire, j'étais aussi le principal concerné dans cette histoire mais je comprenais archi ce qu'il ce passais. Déjà wshhh il l'ont mariée juste pcq j'suis un rebeu , Haïdah sui appel sa mère par son prénom... Je suis perdu moi

Haïdah: Djeneba est une sorcière !!

Djeneba a commencer à parler en une autre langue et vu le ton qu'elle utilise je suppose qu'elle l'insultais.
Et elle fini par dire :

Djeneba : Enfant maudit ! enfant non voulu !

Haïdah : Mais toi tu crois avoir de l'autorité sur moi en plus ? T'es personne pour moi Djeneba, je te déteste !!

Djeneba : Tu me dois tout le respect, c'est grâce à moi que tout ce que t'a là en ce moment ce passe !

Djeneba : Ehehhe tait toi Djeneba !!! On discutera de ton cas plus tard en attendant Idriss qu'est-ce que tu attend

Moi : Monsieur je vais pas le faire

Son père : pourquoi tu veux pas lâcher ma fille ??

Moi : Bah... Parce que c'est ma femme peut être *d'un ton ironique*

Son père : Moi non plus je vais pas lâcher le morceau

Moi : Manger Le morceau si vous voulez mais en attendant je serais toujours là

Son père : Ah Hassan fait quelque chose

mon père c'est contenter de hausser les épaules

Son père : De toute façon tu restera ici jusqu'à ce que ton mari se décide à te répudier

Moi : Alors là !!

Soumaila : Comment ça « alors là !! » on n'est pas des monstres non plus

Ibada : Ton frere a raison Haïdah






Retour dans la peau D'Haïdah

J'étais tellement fatigué j'avais plus envie de continuer à débattre avec eux, je voyais toute ma famille chuchoter et me regarder mal dans la pièce. À croire c'est une honte d'aimer d'une personne autre que ton origine, on est au 18 eme siècle ou quoi ?

Baba : Haïdah, la je commence à être fatigué donc tu dois faire un choix mtn ! T'a famille ou lui, si tu le choisis... Wallaye Billaye que tu ne mettra plus jamais les pieds ici

Haïdah : Mariage forcé - « Un mal pour un bien ? »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant