Haïdah : Mariage forcé - « Un mal pour un bien ? »

36

« L'amour est le sentiment qui viens avant la
peine »

@Haïdah

Moi : *souffle* Tu veux quoi ? Lache moi !

Hassan : *me carrossant la joue* oh calme toi la minette ! Tu fait quoi ici à cette heure ?

Moi : Je rentre

Hassan : je t'ai pas dit qu'on allais se retrouver ?

Moi : oui et ?

J'ai même pas eu le temps de faire quoi que ce sois qu'il s'est emparer d'un mouchoir qui l'a mit sur mon nez et puis là....

Trou noir.

Je me suis réveiller dans une cave, allonger sur un matelas. J'avais rien compris à ma vie, jusqu'à que je vois deux hommes autour de moi.

... : Sidi ! elle s'est réveiller

... : Appelle Hassan alors !

... :  Hassan !!

... : Nikez vos mères arrêter de crier !

Moi : Eh oh il se passe quoi ??

... : ooh Ta gueule !

Moi : Tu parles à qui là ! batard parle moi bien sinon Jvais te monter en l'air fdp va

... : Sidi elle est pas hilarante la ptite la ?? *rire*

Moi : Eh mais vous croyez j-

J'allais parler mais Hassan est rentrer dand la piece, j'allais me lever pour partir mais Hassan m'a pousser violemment sur le sol... Les deux autres sont partis et on fermer la porte à clé y'avais que moi et Hassan du coup

Moi : Hassan laisse moi sortir d'ici !!! Tu joues à quoi enfaite là

Lui : *sourire*

Moi : PUTAIN TU JOUES A QUOIII LAISSE MOI RENTRER CHEZ MOIII PUTAIN !

Hassan : Prochaine fois tu crie sur moi tu verra .

Il a dit sa tellement sèchement sa faisait froid dans le dos mais moi avec ma grande bouche j'ai récrier

Moi : FERME TA GUEULE , FER-ME TA PU-TAIN DE GUEULE JVOUS AI FAIT QUOI POUR QUE VOUS VOULIEZ MA PEUR

Hassan : Ton mari est blinder de thune ! D'ailleurs sa doit être de l'argent sale puisque ces parent habite dans une cité c'est bizarre ça !

Ils habitent archi pas dans une cité mais bon

Moi : Ferme ta gueule sale fdp

Hassan a lâcher un gros rire nerveux et a commencer s'approcher dangereusement, bon déjà moi en vrai je lui parlais grv mal à croire c'est moi qui suis en position de force

Plus il s'approchait plus je reculais ... jusqu'à ce que je touche le mur

Hassan : *sourire pervers*