Le lendemain Swetlana s'était réveillée dans les bras de son mari; oui son mari. Elle sentait qu'elle pouvait lui faire confiance sans trop comprendre pourquoi. Lui raconter son cauchemar vivant était de loin la meilleure décision qu'elle ai prise car il ne l'avait pas traité de folle, il l'avait plutôt réconforter.
Dans sa salle de danse aménagée au soin de son mari, elle entreprit de faire quelques étirement pour s'échauffer.
Jamil avait dû faire une séance de sport intensive pour réprimer sa colère. A présent, qu'il comprenait le problème de la jeune femme, il s'était juré de la protéger de tout et d'anéantir quiconque voudrait la toucher.
passant devant la salle de danse, il l'ouvrit et retrouva la jeune femme en plein étirement. Un grand écart parfait. Il se demanda comment elle pouvait être aussi souple.
Swetlana n'eut aucun besoin de regarder dans le miroir pour sentir la présence derrière elle , son odeur musquée lui avait indiqué.
-Comment fais-tu pour être aussi souple? ne pu t'il s'empêcher de demander derrière elle.
-Je ne sais pas trop je suppose que c'est le fait de m'exercer tout le temps.
Elle se releva gracieusement et lui fit face. Il était torse nu. Seigneur pensa t'elle en se battant contre cette chaleur qui s'insinuait dans son bas ventre.
Il repoussa les mèches de son front et lui caressa la joue. Leur deux visages se rapprochèrent et il captura ses lèvres et sans trop savoir comment elle ouvrit la bouche pour approfondir leur baiser, se retenant à ses épaules.
Le cheikh devenait de plus en plus exigeant quant à sa prise sur ses lèvres qui lui valu un gémissement. Elle ne voulait pas qu'il s'arrête mais ne savait pas si elle pouvait se donner à lui. Après tout il ne l'obligeait pas mais elle voulait plus maintenant.
Il se décala brisant ainsi leur étreinte et elle le supplia:
-S'il te plait!
Il colla son front au sien avant de lui demander:
-Tu es sûre?
Elle hocha la tête pour toute réponse. il n'en fallut pas plus pour qu'il la soulève dans ses bras jusqu'à leurs appartements. Il déposa son précieux fardeaux sur le tapis et l'embrassa avec tendresse et désir mêlés. Sans jamais arrêter de l'embrasser, il lui retira sa brassière de sport libérant des seins au galbe parfait. Ivre de désir, il s'empara de l'un d'entre eux , un geste qui ne manqua pas de faire gémir sa compagne.
Il l'allongea sur le lit et lui retira son collant ainsi que le tissu en coton recouvrant son intimité. Elle ne put réprimer un délicieux frisson au moment où il vint caresser cette dernière lui arrachant un gémissement, et encore un... au fur et à mesure que sa bouche possédait son sexe. Sa langue experte sur son clitoris se faisait plus violente et rapide.
Jamil se languit de son pouvoir sur elle et lui même sentait son membre se tendre douloureusement mais ne coulait pas la brusquer au risque de l'apeurer. Ce fut quand il la sentit prête à le recevoir qu'il retira son pantalon lui dévoilant son sexe tendu. Elle réprima un hoquet de surprise et déglutit avec difficulté. Il revint à elle et lui caressa les cheveux
-J'irai doucement lui promit-il avant de la pénétrer le plus doucement possible le regard ancré au sien.
Elle se crispa sous la douleur lancinante, une douleur qui disparut rapidement laissant place à une vague d'émotions contradictoires. Il allait et venait en elle le plus lentement possible lui arrachant des gémissements à chaque coup langoureux, qui l'encourageaient à accélérer la cadence. chaque gémissement de la jeune femme était une sorte de carburant pour lui. Il plaqua sa bouche sur la sienne étouffant ses doux gémissements et ses râles sauvages à lui. La jouissance approchait à grand pas alors que le rythme de son amant se faisait plus rapide encore. Leurs deux corps furent frappés par un orgasme qui ne disait pas son nom.
Jamil se pencha pour embrasser sa belle qui tremblait de tout son corps les yeux mi-clos. Il se retira ensuite de sa chaire et s'allongea sur le côté en se faisant la promesse de ne jamais la quitter.
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la promise du cheikh
RomancePour la première fois de sa vie elle avait envie d'être égoïste, de ne penser qu'à elle-même. Il ne lui restait que deux mois avant le mariage et deux jours avant son départ pour le désert si elle écoutait sa meilleure amie Nikita, elle s'en irait l...