Chapitre 49 : Seul Refuge..

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J'ai changé de cachette deux fois au cours des dernières 48h.

L'échéance du numéro 2 est dépassé maintenant.

J'ai vérifié qu'on ne me suivait pas, normalement c'est bon.

Je rouvre les yeux. Ma vision est légèrement flou et je frissonne. J'ai du mal à respirer. Une sorte de chaleur iradiante me prend le poitrail et le bras gauche. Vraiment je me sens mal.
Est ce psychologique ? Est ce que c'est dû à ce que m'a dis l'autre idiot '' espoin ''?

J'entends des bruits de pas qui viennent de dehors. C'est trop tôt pour que ce soit des habitants des immeubles en face.
Soudain un bruit sourd retenti en dessous de moi.

J'étais pourtant sûr que je n'avais pas été suivit...

En prenant appuie sur le mur, je me lève doucement.

Ils ont beau vouloir être discret, je les entends avancer sous le bâtiment.

Je prends le couteau que j'ai récupéré.

Vue le nombre de pas que j'entends, ils sont très nombreux. Je ne vais pas m'embêter et m'encombrer avec mes maigres affaires.

Je serre l'arme dans ma main droite.

Je tremble.

Depuis quand je tremble comme ça ? Est ce que j'ai peur ?

Je n'ai pas le temps de répondre à la question que la porte en face de moi s'ouvre.

Un jeune homme étend ses bras comme des lianes. Il veut m'attraper.
Je lance mon couteau dans son cou. Son sang gicle, me salissant.

Ma 1ere victime tombe à peine à genoux que je récupère le couteau et fauche le second. Je n'ai pas vue son visage, j'ai juste entendu un cri de surprise.

Dans le couloir en face de moi, il y a une femme. Elle est limite nue en face de moi... C'est gênant...
Vue qu'elle est trop loin, je lève ma main gauche et la projete contre le mur telle une poupée. Un '' crac '' sonore retenti et elle glisse lentement au sol.

Derrière elle, se tient un héros habillé en jeans. Soudain j'étouffe. Je ne plus bouger non plus. Un cri m'échappe. Malgré ma faiblesse, je le projete contre le mur en me servant de son sang. Au bout de la 4 ème fois il finit dans un cri comme sa comparce : assommé au sol.

Quand son alter de maîtrise de fibre n'a plus d'effet sur moi, je finis au sol.

Trop d'émotions pour moi, mon cœur s'emballe. La douleur irradiante ne fait qu'augmenter.
Je respire fort, le souffle court.

Soudain j'entends un grésillement suivit d'une voix sortant d'un talkie-walkie.

? : demande de rapport.

Je ne réponds pas mais prends l'objet en main.

? : les gars ? Tout va bien ?

Je me relève difficilement me tenant le bras gauche paralysé par la chaleur irradiante.

M'appuyant au mur, j'avance.

Moi dans le vide: je vais faire un carnage... Je vais tous vous buter.

Kodama, tuer ne se fait pas à la légère. C'est grave et irréversible. Souvient en.

La voix de tonton m'est revenu un instant en tête.

Moi: tonton. Il n'existe aucunes justices ici bas. Ton enseignement ne vaut donc plus. Tu me tirera les oreilles dans quelques heures quand je t'aurai, mais ce n'est pas grave...

[MHA] Kesshôdan Kodama, Neveu De Stain- TerminéTempat cerita menjadi hidup. Temukan sekarang