Hoodie (Marble Hornet)

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Je veux juste vous prévenir que ce n'est pas la Creepypasta que vous connaissez tous, c'est en fait celle de Brian Hoodie, dans Marble Hornet!
Bonne lecture!

Laissez-moi vous raconter comment la vie d'un fou fut détruite. (pourquoi ça commence jamais bien?)

Il vivait de l'autre côté de ma rue, près d'une route délabrée. (moi, je vis dans une maison!) Les enfants l'appelaient « Hoodie », à cause de sa capuche et de son masque. Il luisait d'un rouge brillant qui vous hante. Je vivais à côté, dans une maison à 2 étages. (enfin quelqu'un de civilisé!)

Habituellement il rôde et stalke les passants dans la rue. Il dissimulait un couteau ainsi qu'un revolver, (et tout le monde le laisse faire, normal...) tout le monde connaissait sa méthode d'assassinat depuis ce fameux accident. Sa mère, son père et lui-même étaient dans le camping-car qui leur servait de maison quand un homme en scooter arriva sur le côté gauche et perça le réservoir à essence, (délinquannnnt!) avant que le camping-car n'explose dans les flammes. Personne ne s'en sorti vivant à part lui. Les corps des parents n'ont jamais étés retrouvés. (voyez le côté positif: pas besoin de payer le cimetière! Ok, je sors...) Tout ce qui restait était un vulgaire bout de tôle. Depuis ce jour, John « Hoodie » Kigali resta à l'écart de tous. (enfin, sauf la nuit...)

La seule façon de savoir s'il vous suit est d'entendre un rire démoniaque, ou un cri. (et ce cri, c'est le vôtre!) C'est quand je rentrais du travail à pied que j'ai entendu ledit cri, (j'étais mort, pouf, fin de l'histoire) il était environ 2h55 (juste une question: on peut savoir ce que tu fichais dehors à 2h55 jeune dévoyé?) quand je l'entendis. J'ai regardé derrière moi et il était là, scrutant mon âme. Il dégaina son revolver et me tira dans l'épaule. (la police: une éfficacité légendaire) Malgré la douleur j'ai essayé de le choper, mais il était déjà parti quand j'ai levé les yeux. Il y avait deux douilles par terre, mais je suis certain qu'il n'a tiré qu'une seule fois. J'avais un peu de temps avant qu'il ne revienne, mais je perdais beaucoup de sang. Je commençais à courir quand j'entendis une sirène, l'ambulance arrivait alors que je m'évanouissais.

Je me suis réveillé avec un bandage au bras.

« Pourquoi lui avez-vous tiré dessus?» je me suis relevé, c'était la police. (bah on se doute que c'est pas Jeannot Lapin!)

« Quoi ? »

« Madame Hamberknack (ce mec s'est entraîné 2h pour prononcer ce nom convenablement donc appréciez je vous prie!) dormait quand vous lui avez tiré dans le cou » 

« Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. », j'étais confus.

Je leur ai expliqué ce qui m'était arrivé. (écoutez, on vous a retrouvé à moitié mort sur le trottoire donc ne niez pas, on sait que c'est vous!)

« John est mort il y a 3 ans dans l'accident de voiture ».

Je ne comprenais rien à ce qui m'arrivait, quand les lumières se sont éteintes soudainement.

« C'est quoi ce bordel ? »

J'entendis les rires, suivi d'un cri accompagné de gargouillement. (IL AVAIT LA DALLE?!) J'ai cru recevoir de l'eau sur le visage avant de comprendre. Je me suis mis à courir de toutes mes forces. (hé mec, tu peux m'éclairer? Parce que moi, j'ai pas compris...)

J'ai glissé sur le sang de l'officier et ai percuté le mur. (haaaaa... Le bon vieux gag de la peau de banane enfin remixé!)

« Tu es fait », je me levai et courus à toute allure alors que je voyais les cadavres aux clair de lune. (sous les rayons de la Lune, sur le sol parsemé de pétales, les cadavres...
De l'homme-qui-était-coursé-par-un-fou-furieux)

Je couvris ma bouche, j'apperçus une fenêtre et une silhouette noire à 10 mètres .

« Je suis foutu », pensais-je. Je n'avais plus le choix.

J'ai sauté. La vitre se brisa en mille morceaux. Je ne sais pas si je pouvais encore tenir debout, mais avec cette épaule en sang et ces bouts de verres plantés dans mon bras, je savais que j'étais fichu. (ouais, f**k le suspence...)

J'étais au sol, je me levai tant bien que mal, ma jambe gauche était détruite. (nan, pas cassée, DÉTRUITE!)

Puis j'ai entendu cette voix.

« Merci d'avoir libéré le chemin . » (mais de rien mon gars, faut s'entraîder entre hommes!)

Il y avait un maison inhabitée pas loin, c'était ma seule chance de lui échapper. (f**k la logique)

Il sorti son couteau encore ensanglanté et me couru après. (mais j'étais bien sûr plus rapide que lui avec ma jambe détruite) J'entrais dans la maison et tentais de barricader la porte, mais en vain. J'entendis un coup de feu, il m'avait touché la cuisse gauche.

La seule chose dont je me souvienne, c'est que j'étais étendu par terre pendant qu'il enfonça la porte, j'agonisais. (c'est pas le meilleur moment pour agoniser mon gars!) Ma vie défilait devant mes yeux, (c'était d'un ennuis affligeant!) il appuya sur la détente, puis j'entendis un cliquetis.

Vide, il était à sec. (HA BAH ON S'Y ATTENDAIT PAS DU TOUT!) J'étais rassuré mais effrayé. J'ai profité de ce moment pour lui frappé le genou (je croyais que tu agonisais?) et il s'écroula. J'ai saisi son couteau quand il me trancha l'avant-bras. ( je xroyais que tua avais son couteau?) Je souffrais encore plus. Je le frappait au visage et lui poignardait le poignet. J'avais appris chez les scouts (les scouts nous sauverons tous!) que c'était un important point d'acupression. Il s'arrêta de bouger, il était finalement mort. Je m'approchai de son corps, je saisi son masque, puis l'enleva. 

C'était mon père. (. . . C'est nul...)

Bon, bah voilà!
À propos, le sondage est terminé etttttt...
C'est Laughing Jack qui l'emporte! *danse de la joie*
Je pense poster le premier chapitre cette semaine (je vous tiens au courant).
Plus de 2k?! Merci beaucoup!!!
Sur ce, mangez des bonbons et inscrivez-vous chez les scouts!

Enjoy!!!

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