Je vais quitter l'impératrice.

Chapitre 45: Sur la tour blanche

Le départ de l'empereur gênant a égayé l'atmosphère du palais royal, et la joie ne s'est pas arrêtée là.

"Encore une fois, répétez-le!"

Le roi, qui avait quitté son trône avec des yeux passionnés, brillants et remplis d'excitation, était devenu une vue commune au Palais Felice.

"Dis moi!"

Arthur, qui avait oublié son statut de roi, allongé sur le tapis. Comme s'il avait une fleur qui fleurissait sur son visage, il luttait toujours contre l'amour amer et non partagé de sa vie.

«Ah! Au! »

Le petit voleur mignon, qui a volé le cœur d'Arthur et de tout le monde, a lutté avec ses pas vacillants.

"Ce n'est pas ça. Ce n'est pas ce que vous avez dit plus tôt.

Mais la personne qu'Arthur aimait tant était très arrogante. Peu importe combien Arthur a supplié, Adrian a seulement balancé le jouet en argent sans même le regarder. C'était une histoire d'amour complètement unilatérale.

«Adrian!»

«Buuu! Moi, buuu!

"Dites quelque chose d'autre! Tu ne viens pas de me le dire il y a quelque temps? As tu?"

"Non!"

Aujourd'hui, Adrian rejeta farouchement Arthur et se dirigea vers Evelyn avec des pas audacieux. Les yeux d'Arthur se remplirent de chagrin et se transformèrent immédiatement en jalousie envers Evelyn.

«Moi, câlin!»

«Adrian, cela viole l'étiquette. Et arrête ça, papa. Il va vraiment être gâté.

"Suspendu! Tu ne sais pas! Tu ne sais pas que mon cœur est brisé!

"Câlin câlin! Moi, câlin!

«Qu'est-ce qu'il y a de si bien avec ce type froid ····, je t'ai même fait monter à cheval! Adrian, qu'est-ce que tu aimes tant chez lui? demanda amèrement Arthur.

Quand Miriam avait été absente pendant un moment, la parentalité était si difficile. Surtout, lorsque les yeux féroces de Miriam ont disparu, Evelyn a eu l'impression que son enfant passerait à deux. Même Arthur était jaloux d'Adrian.

Un soupir est sorti: «Père, qu'allez-vous faire si Adrian grandit comme un enfant qui ne connaît même pas les bonnes manières?»

"Mon Adrian ne sera pas comme ça." dit Arthur. Il se leva lentement et essuya ses vêtements de la saleté et de la poussière. C'était un signe qu'Adrian était déjà dans les bras d'Evelyn et qu'il n'était plus nécessaire.

«Et évidemment, il y a peu de temps, il a essayé de me dire un nouveau mot.

«Il est naturel que son vocabulaire augmente. Vous ne devriez pas réagir ainsi chaque fois qu'Adrian apprend un nouveau mot. " Dit Evelyn.

«Est-ce que tu m'apprends maintenant?»

«Père, pourquoi penses-tu qu'Adrian ne pouvait dire que« câlin »et« non »?»

"C'est parce qu'il n'a plus que cinq ou six dents maintenant!"

Ce n'était pas faux. Mais il y avait quelques enfants du même âge qui pouvaient dire plus de mots. Adrian était déjà capable de parler, alors il était censé apprendre un nouveau mot.

"Parce qu'il pouvait tout faire, il suffit de dire deux mots, pour ne pas ressentir le besoin de parler."

En fait, Adrian a vécu pleinement sa vie avec seulement deux mots. Et Arthur n'a pas pu cacher son visage choqué.