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Extérieur

Le soleil brille dans les nuages d'une couleur blanche comme l'hiver. L'odeur du printemps annonce sont arrivés à grand pat et les fleurs émerge du sol pour trouver la liberté en dévoilant leur couleur coloré.

Devant ce magnifique spectacle, un homme se trouva devant, pinceau en main, peinturant le paysage de son jardin. Derrière lui se trouva un autre homme qui est, lui son homme de main qui arriva essoufflé de sa course.


- Un problème mon cher? Demande-t-il dos à lui.

- Malheureusement oui. Répond dit celui-ci.

- Qu'il y a t'il encore pour que tu arrive essouffler de la sorte?


Son homme de main s'approcha de lui pour lui chuchoter à l'oreille. L'homme au pinceau arrêta tout mouvement et se retourna pour regarder son homme de main.


- An bhfuil tú cinnte cad a deir tú?

( es-tu sûr de ce que tu dis )

- Sur et certain.

- Tabhair chugam é.

( amène-le moi )

L'homme de main acquiesça et partis chercher ce que l'homme au pinceau voulu. Quelque minute plus tard, son garde du corps personnel fut revenu accompagné de l'invité d'honneur.

- À ce que je vois, si je suis ici c'est parce que ton fils a échoué?

- Non il a accompli...

Un moment de silence apparut entre eux.

- ...à moitié.

- Je ne comprend pas pourquoi je suis ici.

- La première étape de mon plan à été échoué mais la seconde fut un succès.

- Toi et tes plans sordides...

- Comme ont dit: jamais d'eux sans trois...mais pour le moment le troisième n'est pas encore à l'œuvre...pour l'instant.



L'invité d'honneur qui fut à genoux essayait de se redresser mais reçoit un coup de point dans le ventre de la part de l'un des geôliers.


- Un conseil ne fait rien de stupide si tu tiens temps à la vie.

- Mais qu'est ce que tu veux à la fin?! Tu t'en prend à mon fils ainsi que ma- mais putain de merde! Qu'est ce que tu veux de plus?!

- Ce qui c'était passé il y a trois mois de ça n'était pas mon délire va te plaindre à mon fils et sa jalousie maladive.


L'homme enchaîné grogna de colère et d'impuissance face à son ennemi.

" Si je n'était pas enchaîné à c'est chaîne ça ferait bien des lustres et des années que tu serais mort " pensât il dans sa tête.


L'homme au pinceau s'arrêta de dessiner le paysage lumineux de son jardin et déposa son précieux rejoindre ses confrères dans le sceau d'eau remplis de couleur différente et se retourna pour observer son prisonnier.

- Si tu n'étais pas enchaîné à c'est chaîne ça ferait bien des lustres et des années que tu m'empêcherais de réaliser mon plan.


L'homme attacher réalisa sa bêtise en parlant à voix haute. Mais ne fut tout de même pas surpris du talent de son ennemi de deviner les pensées des gens en leurs faisant sortir des mots de leurs bouche qui ne sont pas supposer de sortir.

- Dit-moi Yunoff, pourquoi ne me poses-tu pas la question concernant mon premier plan?

- À quoi bon puisque tu comptes me le dire.

- Fascinant tu me connais si bien tellement sans n'est flagrant.


Le prisonnier souffla en dérivant ses yeux ailleurs.

- J'ai finalement un troisième plan en faite compte. Laisse-moi le partager avec toi!


Il se leva et s'avança de son prisonnier puis se pencha pour que lui seul puisse entendre. Le prisonnier écarquilla les yeux surprise et de terreur mêlé.

- Je te défend de faire ça!

- Comment tu peux m'en empêcher enchaîné à c'est chaîne?

- Je m'en fou d'être enchaîné! Je te parle de quelque chose d'irréparable!

- Et alors? J'ai besoin d'adrénaline dans ma vie.

- Te mettre à dos la famille Moreyli après de ce que tu as fait ne ta pas suffit?! Il te faut encore plus de sang à faire couler?!

- Pour être honnête? Oui.

- Tout ça pour une catin insignifiante.


Un pied atterrissait violemment dans le visage du prisonnier. L'homme de main le redressa et ordonna au deux gorilles de redresser l'homme crachant son sang par sa bouche.

- J'aurais bien voulu le faire mais je n'ai pas envie de salir mes nouveaux chaussures.


" Pire qu'une femme " pensa le prisonnier.

- Merci mais ça me touche.

- Toi et ton fils vous êtes pareils, tous fou les uns aux autres.

- C'est pas pour rien que le dicton de "telle père t'elle fils" existe.

- Elle t'utilise comme elle a utilisée mon fils et toi tu te laisse faire.

- Remercie là au moins cette adorable enfant est née.


L'homme enchaîné baissa les yeux en pensant à cette enfant qu'il n'a vue qu'à c'est 3 mois. L'ennemi sourit en devinant sa tristesse presque non dissimuler dans son regard recouvert de quelque hématome à moitié guéris.


- Aaah c'est vrai...ce pauvre enfant ne verra et ne connaîtra jamais son grand-père...ou plutôt "ils".



Il releva ses yeux en fronçant des sourcils tout en dévisageant son geôlier.

- Quoi?

Il fait signe à ses sujet de ramener le prisonnier à sa cellule.


- Qu'est-ce que tu as dit?! S'écria le prisonnier au loin.


L'homme au pinceau souriait devant la scène que faisait son prisonnier le trouvant stupide.

- Kelson? Kelson!


Puis finit par ricaner.

- Aaah ce petit Yunoff toujours aussi imbus de lui même.

Il retourna s'assoire et reprenait son fameux pinceau. Toujours en fixant son œuvre d'art, il ordonna une demande à son homme de main.

- Shane appelle ton frère et dit lui de se préparer.

- À vos ordre capitaine. Dit-il sur la plaisanterie.




Ce qui ne manque pas de faire rire l'homme au pinceau.

Torey MoreyliWhere stories live. Discover now