𝐄𝐒𝐏𝐄̀𝐂𝐄 𝐃𝐄 𝐒𝐀𝐃𝐈𝐐𝐔𝐄 [Feitan x Oc]

30# Amoureux (Fin)

Lorsqu'ils arrivèrent où le téléphone le téléphone leur avait indiqué, ils découvrirent avec dégout Hisoka accompagné d'un Zoldick.

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| CHAPITRE 30 |

Nous sommes des voleurs,

alors nous volons.

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Je sentis alors son aura m'immobiliser tant elle était dense et effrayante. Au bout de quelques secondes, je le vis, je reconnu sa silhouette qui marchait dans ma direction.

J'avala péniblement ma salive, appréhendant ce qu'il allait me dire et faire.

Il s'arrêta à un bon mètre de moi, pour ne pas se faire avoir comme la derrière fois surement et se contenta de me fixer avec son regard vif.

Il était là, à me regarder, surement trop énervé pour se moquer de ma situation pitoyable, moi, Yu un membre de cette brigade connue mondialement, jetée aussi ridiculement par un simple vendeur qui ne devait surement pas utiliser le moindre nen.

Il ne s'avança pas, me signifiant que c'était à moi de le faire. N'ayant plus aucune autre échappatoire, je m'avança prudemment doucement vers lui. Une fois assez proche de moi, je l'entendis murmurer.

― ... Idiote

A cet instant des larmes s'échappèrent de mes yeux, je n'aimais pas me disputer avec lui. Je me sentais si triste, il ne m'en voulait même pas, il se contentait de me regarder tristement. Je savais qu'il était triste mais il ne voulait le montrer ce qui me brisa encore plus le coeur.

― As-tu fuis parce qu'il disait était vrai ?, finit-il par dire.

― N-non.. je .. Je ne voulais juste pas .. entendre, sanglotais-je

Je n'arrivais plus à formuler le moindre mots. je me laissa tomber en pleures comme une enfant. Je voulais le sentir contre moi, mais je ne pouvais pas..

― Pariston est mon ami d'enfance ! Je l'ai vu car je voulais comprendre, pourquoi.. Je voulais lui demander la raison de son comportement, mais ces foutus journalistes nous ont prit en photo. Pour être tranquille je l'ai amené avec moi ! Je ne l'aime pas du moins pas comme vous le pensez, je ne t'ai jamais trompé je te le jure Feitan, je n'y ai même jamais songé !, dis-je en le regardant droit dans les yeux après avoir formulé ma tirade.

Ses yeux finirent par rencontrer les miens.

― Je le sais.., finit-il par dire.