Recueil Harry Potter

• Une Poufsouffle explosive •

Sienna était sur le point de commettre un meurtre. Elle me supportait plus les paroles insultantes et rabaissantes de la chanson des Serpentard. Elle encourageait de toute la force de sa voix les Gryffondor, suivit par le restant de sa maison. Néanmoins, il était incapable de couvrir les paroles odieuses de la chanson. Sienna émit néanmoins une exclamation de contentement en ce rendant compte que les lions avaient gagnées. Elle échangea un sourire avec Mary et elles poussèrent des cris de joie. Néanmoins, Sienna perdue son sourire lorsqu'elle vit Malfoy s'avancer en direction de l'équipe des Gryffondor. Elle ce doutait que ce n'était en aucun cas dans un but bienveillant. Avant que quiconque n'ai put ne l'empêcher, Sienna avait descendue les marche des tribunes de Poufsouffle. Mary c'était empressée de suivre son amie. Elle voyait à l'expression de son visage qu'elle ferait un carnage.

Sienna apparut sur le terrain. Elle marchée d'une démarche furieuse et énergique. Aucun membres de l'équipe de Quidditch ne l'avaient vue et Malfoy était occupé à pavaner au prêt des lions, ainsi il m'avait pas remarqué qu'elle ce dirigeait dans sa direction. Bientôt, Sienna put entendre de façon distincte les paroles du Serpentard ;

" ... Mais on à n'a pas trouvé de rimes à "grosse et laide"... On aurait aimé chanter quelque chose sur sa mère, tu comprends ?" Il semblait fier de sa blague mais il était évident qu'il était surtout jaloux de la victoire des Gryffondor.

"Typique des mauvais joueurs." Avait dit Angelina en regardant le blond avec dédain et dégoût.

"On à également eu du mal à caser "pauvre type" dans les paroles... à propos de son père..."

Sienna vit que les jumeaux avaient réalisés que Drago parlait de leur famille. Angelina prit aussitôt Fred par le bras, tandis que les Weasley regardait le Malfoy avec une haine plus que visible. Angelina semblait être entrain d'essayer de calmer Fred. Sienna m'était plus qu'à quelques mètres et ce fut Katie qui la vit en première. Elle sut aussitôt que Malfoy en aurait pour son grade.

"Mais toi, tu aimes bien les Weasley, Potter ?" Avait dit la fouine, désireuse de cracher sa haine. "Tu passes même tes vacances avec eux, je crois ? Je me demande comment tu fais pour...-"

"Hé, Malfoy !" Avait-elle criée.

Il ce retourna et eu à peine le temps de réagir qu'elle lui décrocha un puissant coup de poing. Drago fut projeté au sol et prit son nez entre ses mains. Mary, qui venait d'arriver, eu une grimace. Certes, elle était heureuse que la fouine est ce qu'elle méritait. Néanmoins, Ombrage apprécierait peut un tel geste. Or, Sienna s'en fichait. Elle m'avait qu'une envie ; que Malfoy ce la ferme. Elle voulait qu'il cesse de rabaisser la famille de Fred et Goerges, qu'il cesse d'avoir cette air méprisant et hautain. Car au fond, Malfoy m'avait aucune raison d'agir ainsi ; sans ses parents adoré, il m'était rien. Il m'était qu'un imbécile, arrogant et pourris jusqu'à l'os. Ils furent si surprit que tous arrêtèrent tout geste, dont Goerges qu'Harry retenait tant bien que mal.

"Espèce de folle !" Avait dit le blond en ce relevant, les yeux écarquillés. "Mon père...-" Ce fut le mot de trop. Sienna sortit sa baguette et explosa.

"TON PÈRE QUOI MALFOY ?! JE DOIS TE RAPPELER QU'IL EST OCCUPÉ À LÉGER LES BOTTES DE VOLDEMORT, COMME LE PETIT CHIEN QU'IL EST ?! JE TE PRÉVIENS ; SOIT TU LA FERME, SOIT TU ENTENDRA ENCORE PARLER DE MOI ! TU PENSES ÊTRES LE ROI DE POUDLARD ?! FAIS-MOI RIRE, SALE FOUINE ! TU ME SERA RIEN D'AUTRE QU'UN RÉPUGNANT FILS DE MANGEMORT UNE FOIS SORTIT DE L'ÉCOLE ! TU M'EST RIEN ET TU RESTA INSIGNIFIANTS TOUTE TA VIE ! JE..."

"La ferme !" Avait vivement répliqué Drago. Néanmoins, il recula lorsqu'elle s'avança dans sa direction.

"....NON ! POUR UNE FOIS DANS TA VIE, C'EST TOI QUI LA FERME MALFOY ! TU PEUX RECEVOIR AUTANT DE SUCRERIES QUE TU VEUX, AVOIR AUTANT DE CADEAUX QUE TU VEUX MAIS ONT SAIT TOUS QUE PAPA PRÉFÈRE SUCER VOLDEMORT PLUTÔT QUE S'OCCUPER DE TOI !" Il y eu une salve d'exclamation choquée parmi les élèves qui étaient descendus afin d'assister à la scène. Mary ce dirigea aussitôt en direction de sa meilleure amie, sentant que la situation était entrain de dégénérée.