Le jeux de l'Amour

Chapitre 3: Explique toi

Puis sur ces derniers mots, complètement saouls, s'endormit ainsi.
La nuit passa dans le calme, Tartaglia était dans les bras du beau brun et passa une merveilleuse nuit. Ce n'est qu'au lever du jour, qu'il se réveilla, mais garda les yeux fermés. Il se sentait comme dans un cocon à ce moment-là, une douce odeur avec un petit mélange de vins lui arriva au nez tandis qu'une chaleur apaisante l'envelopper.
Zhongli dormait toujours, visiblement aillant trop bus...
Le livre toujours ouvert, le brun avait sa tête qui avait fini sur un des côtés du cou du roux.
Doucement, son souffle chaud se fait sentir et son cœur battait rapidement... Laissant un indice sur le genre de rêve qu'il faisait.
Le souffle de son ami fini alors par lui faire ouvrir les yeux après de doux frissons qui lui parcouraient l'échine. D'abord, la vue floue, il ne vit pas vraiment sur quoi il était, il papillonne des paupières avant de vraiment voir et de rougir comme pas possible. Il ne s'attendait pas à voir Zhongli si près de son visage et surtout dans les bras l'un de l'autre. Lui avait un bras contre le torse tandis que l'autre enlacé la taille du brun, et son ami le tenait complètement contre lui, leur jambe entremêler.
Zhongli rapproche ses lèvres sur son cou, l'embrassant.
Il était encore sous alcool.
Et clairement, il ne voulait pas le lâcher. Il aimait beaucoup trop sa peluche douce.
Une de ses jambes avait son genou entre les jambes du roux, doucement, il bougea ses jambes, les frottant contre la couverture dans laquelle il s'était emmêlé. Ses mains se posaient sur le bas-ventre, puis l'autre va au torse du roux.
Zhongli: ...Doux, et chaud...
Il n'était pas conscient, ni vraiment capable de comprendre ce qu'il faisait.
Tartaglia ne put retenir un mini gémissement et des frissons de partout. Il ne savait pas vraiment pourquoi son ami sentait autant l'alcool et pourquoi ils étaient comme ça, il a dû s'endormir à cause des médicaments. D'ailleurs, sa tête allait mieux. Le rouge lui montait doucement aux joues tandis qu'il essayait tant bien que mal de se dégager de l'emprise du brun qui le tenait fermement.
Zhongli quant à lui, embrasser son cou par moment puis soudain...Plus rien.
Il s'était rendormi.
Mais toujours dans leur position actuelle, mais sa prise avait perdus en force.
La respiration chaude, et rapide.
Son visage rouge.
Ses yeux fermés.
Son haut complètement enlevé.
Tartaglia pouvait parfaitement sentir sa chaleur, son odeur d'alcool, mais aussi que Zhongli était... Malade?
Le rouquin trouva son ami bien trop chaud et rouge, il commençait à transpirer. Tartaglia, s'inquiétant de l'état de Zhongli essaya de le réveiller en le secouant doucement et en l'appelant.
Zhongli marmonné des mots incompréhensible.
Prenant un bout de couverture et essaye de se cacher avec...Malgré son torse à la vue de tous qui monter et redescendez rapidement dût à sa respiration, ses yeux luisant comme s'il allait pleurer, ces mains tremblantes, tenant aux mieux la couverture.
Il était... Conscient ?
Oui, mais avec son alcool au sang... 3 bouteilles étaient vides. Celle du vin "dent de lion".
En voyant le torse-nu de son ami, il ne put résister longtemps avec de passer sa main dans une longue caresse qui le fit rougir. Il se reprit assez vite et observa le sol.
Tartaglia: Mais qu'est-ce qui t'a prix pour boire trois putain de bouteille mon vieux...
Marmonna le roux inquiet.
Tartaglia : Attends, je vais te faire décuver moi...
Il se leva et attira le brun contre lui, non sans rougir et frissonnant en sentant le torse contre le sien. Il le porta sur son épaule et se dirigea vers la salle de bain.
Le brun eu un faible couinement plaintif, suivit d'un regard intense à l'égard du roux.
Zhongli: Pas logique...
Puis il se tient la tête.
Tartaglia: Ça pour ne pas être logique, tu n'es pas logique, t'es malade de boire autant !
Il rougit face à son regard, il finit par entrer dans la pièce et se rapprocha de la douche. Il alluma l'eau et attendit que l'eau soit tiède.
Zhongli : Le livre...
Il frotte alors sa tête contre Tartaglia.
Le brun se sentait bouillant, sa vue été floue, et de léger tremblement pouvait être observer...L'Archon geo, le souverain de la roche, avait peur.
Tartaglia le regarda tristement et caressa sa joue.
Tartaglia: Si seulement je pouvais lire tes pensées, ça m'aiderait tellement à te comprendre... Aller prend une douche, ça te fera du bien... Par contre, tant pis pour tes fringues...
Zhongli: [Je n'ai pas vraiment envie d'être trop tenté.]
Le roux releva la tête du jeune homme et lui fit un doux baiser sur le front avant de le mettre sous l'eau.
Le brun était déjà rouge, mais au baiser cela s'accentue.
Mais vite oublier, pour le moment, sentant l'eau sur lui.
Au contact de l'eau, il semble reprendre ses esprits, puis enfin après plusieurs minutes ainsi, Zhongli reprend ses esprits, avec un mal de tête immense.
Zhongli : ...Qu'est-ce que...? Mon crâne...
Il se retourne, remarquant Tartaglia. Il le questionne du regard.
Tartaglia souffla, rassurait de le voir enfin réveiller.
Tartaglia: Espèce d'idiot ! Tu commençais à me faire peur ! Je ne sais pas ce qu'il t'a pris de te vider trois bouteilles de "dent-de-lion" dans le gosier, mais tu es complètement fou !
S'emporta le roux, qui avait vraiment peur pour son ami.
Zhongli avec son mal de tête le regarde, puis réalise...
Il se souvenait de tout.
Y compris la nuit collée ensemble...Et son rêve.
De vives couleurs viennent sur son visage.
Zhongli : J'ai eu...Un moment de faiblesse. Navré pour ça...Et rassure toi, ce ne sont pas 3 pauvres bouteilles qui me tueront.
Tartaglia: Imbécile...
Il lui mit une tape sur le torse, le visage rouge. Il détourna le regard, la scène du réveil de nouveau en tête. Il ne l'avouerait pas, mais il a adoré se réveiller ainsi.
Zhongli eu un léger rire.
Zhongli: Tu frappes les malades ?
Il était amusé et aussi... Troubler encore par sa découverte.
Il aimait Tartaglia.
Comment ?
Pourquoi ?
Quand ?
Il ne le sait pas.
Mais tout correspond avec la description du livre.
Il murmure alors...
Zhongli: ...J'ai été insupportable ?
Le roux eut un sourire, rassuré de le voir faire de l'humour. Il finit par éteindre l'eau et d'entourer son ami d'une serviette pour l'essuyer.
Tartaglia : Apparemment non, mais je me suis endormi à cause des médicaments.
Zhongli : Au moins, tu as put te reposer.
Affirme ce dernier tout sourire, se collant à ce dernier avec la serviette, encore embrouiller par l'alcool.
Zhongli: Désolé, mais je crois que l'on va devoir rester tranquille pour quelque temps... Ça te dérange ?
Le jeune homme fut attendri par cet aspect de l'ancien Archon qui venait de connaître, il lui fit un doux sourire avant de frotter ses mains sur la serviette pour le sécher et le réchauffer.
Tartaglia : Ça me va...
Cet événement lui fit prendre conscience qu'il ressentait quelque chose pour le brun. Une émotion chaude et qui lui en faisait perdre presque la tête.
Zhongli se laissa faire, docilement, souriant légèrement.
Puis...
MEOW
Shadow, le chaton finis par bondir entre les deux, se frottant la tête contre Tartaglia puis Zhongli.
Ce qui fait rire le brun.
Zhongli: Oui, oui, ne t'inquiète pas Shadow on va te donner à manger.
Le roux rit légèrement et attira Zhongli contre lui avant de l'emmener dans la chambre.
Tartaglia: Mais d'abord, tu vas aller te rhabiller, et enlever tes affaires trempées.
N'aillant aucune force de lutter, il se laisse transporter, cachant son visage en le détournant du visage du roux.
Zhongli: Ok, ok... Bonne idée...
Il n'était pas vraiment pris de pudeur...Après tout, c'est tout nouveau ce genre de proximité, et cet attention qu'il a. Jamais personne ne, c'était occuper de lui comme ça.
Tartaglia s'éloigna de lui après l'avoir mis sur le lit, lui enleva la serviette tout en détournant la tête.
Tartaglia: Je te laisse s'habiller, je vais aller donner à manger au chaton...
Dit-il en commençant à s'éloigner.
En le voyant s'éloigner, le brun se saisit de nouveau habit...Tout aussi moulant.
Mais en boutonnant sa nouvelle chemise, il sourit, attendant patiemment son rouquin.
De l'autre côté, le chaton était ravi, miaulant joyeusement.
Tartaglia, en même temps qu'en nourrissant, imaginer le reste du corps de son compagnon, curieux de ce qu'il pouvait se cacher derrière ses vêtements moulants même si ça ne cachait pas grand-chose à son œil expert. Heureux de voir le chaton se régaler, il retourna auprès de l'homme avec qui il habite depuis trois jours.
Le chaton une fois fini de manger repartie gambadé.
Zhongli lui, observe Tartaglia.
Zhongli: Merci de ton aide, mais... Ça ira ? Je veux dire, tu aimes ta liberté rester chez quelqu'un aussi longtemps, qui plus et moi...
Le roux lui fait un simple sourire.
Tartaglia : Avoir un foyer aussi pas mal... C'est vrai que je suis souvent en cavale, mais bon... Je n'ai plus vraiment grand-chose à faire aujourd'hui, les formations Fatui sont terminé depuis la paie. C'est un peu comme des vacances bien mérité même si je ne veux pas non plus te déranger...
Dit il se grattant l'arrière de la tête, gêner.
Zhongli : Tu me gênes pas du tout ! Au contraire, cela me change et me permet d'évoluer d'une certaine manière.
Il se lève un peu, mais trop brusquement, s'appuyant alors un mur, aillant faillit chuter.
Tartaglia se rapproche, inquiet, et mit sa main sur la taille de Zhongli.
Tartaglia: Fait gaffe, tu n'es pas encore rétabli. Je vais aller te chercher des médicaments.
Le brun devient silencieux, regarde Tartaglia.
Puis après avoir réfléchi...
Zhongli: Tu as déjà été amoureux de quelqu'un ?
Il se fichait de son état. Il voulait avoir son avis... De manière indirecte. Zhongli voulait profiter qu'il le "tienne" pour pas qu'il fuit la question comme il sait si bien faire.
Il fut tout de suite surpris par sa question, mais se gratta la joue en réfléchissant.
Tartaglia: Non, je n'avais jamais pensé à ce sentiment avant je dois dire que je n'en avais jamais eu l'occasion de le découvrir...
Est-ce que ce sentiment qu'il ressentait pour son compagnon était-ce de l'amour ? Il avait vu les couples dans la ville s'embrassaient, se baladaient main dans la main. Sans vraiment y faire attention, il commença à fixer les lèvres du brun.
Ce dernier le remarque rapidement.
Zhongli: ...Et maintenant que tout et calme, tu serais curieux à ce sujet ?
Jamais il ne lui dirait.
Jamais il ne se l'avouerait.
Jamais il ne voudra y croire.
Mais il savait que lui l'aimer, mais...Un gars ?
Enfin...Tout et possible et c'est déjà arriver, mais cela le rendait que plus confus.
Il sentait son cœur battre fort, et rapidement de nouveau.
Zhongli: Je suis sûr que vu ta carrure, tu dois avoir du succès auprès des personnes que tu croises.
Affirme alors Zhongli, un peu pivoine, mais sûr de ce qu'il affirme.
Tartaglia devient alors rouge, il détourna le regard de ses lèvres et commença à bafouiller.
Tartaglia: Je... Je sais... Je ne sais pas... Je pense...
Le regards de l'Archon le perturbé jusqu'à lui faire battre le cœur la chamade et cogné fortement contre sa cage thoracique.
Tartaglia: Je ne sais pas si je plais... Je n'ai jamais eu de retour là-dessus...
Zhongli: Et bien, cela doit être dû au fait, que tu ne regardes pas vraiment les autres personnes... Nombreuse sont les femmes qui te regardaient avec envie, croit-moi.
Dit-il, un peu amèrement, puis rajoute.
Zhongli: Mais j'ai bien l'impression d'être le seul à t'avoir vu dans ces états.
L'Archon rit à nouveau, en lui montrant son visage.
Tartaglia: {Je ne sais même pas si c'est vraiment les femmes qui m'intéresse...}
Tartaglia : Je te l'assure... Tu es bien le seul...
Dit-il dans un murmure. Il était en pleine réflexion. Les femmes ne lui avaient jamais fait d'effets, elles le dégoûtaient souvent. Et il ne s'était jamais attardé auprès d'un homme, c'était vraiment une nouveauté pour lui.
Zhongli: Si tu le dis...
Il l'observe discrètement...Avait-il touché une corde sensible ?
Le brun voulait en savoir davantage !
???: Ohhh !!! Alors c'est pour ça que tu étais introuvable ! Sympa ta maison...
L'intrus vois alors les bouteilles de "dent-de-lion".
???: TU EN AS BU ???!!!
Zhongli: Qu'est-ce que tu fais là, le nain vert ?
Dit l'Archon geo... À l'Archon Anémo Venti.
Tartaglia s'éloigna du brun, comme s'il y a été pris la main dans le sac, les joues légèrement rouge. Ce garçon ne lui disait rien et une minie pointe de jalousie montait en lui rien de voir comment ils se parlaient.
Venti: C'est comme ça que tu traites ton livreur préférer ? Tu es dur...
Zhongli: Je ne t'ai rien demandé, c'est toi qui m'apportes ces bouteilles de je ne sais où !
Soudain l'habiller en vert se tourne vers le roux.
Venti: Oh ! J'en oublie mes manières ! Je m'appelle Venti, mais aussi Barbatos, ou protecteur de Mondstadt etc...
Il eut un silence.
Zhongli: Pourquoi tu es aussi familier avec lui ?
Venti: Lumine m'avait parlé de Tartaglia ! Il ne faut pas être devin pour deviner que c'est lui.
Zhongli soupir exaspérer, marmonnant.
Zhongli: Venant de toi, ça sonne faux...
Venti se place devant Tartaglia lui tendant la main.
Venti: Merci d'avoir "aidé" Zhongli ! Et si je chantais pour fêter cela avec ma lyre ?
C'était bizarre, ça gars commençait déjà à lui taper sur le système. Il prit sa main puis serra d'une sacrée poigne avec un sourire crispé.
Tartaglia : Effectivement, heureux de savoir que ma rivale est parlée de moi. Je préfère me présenter convenable alors, Tartaglia. Ancien exécuteur des Fatuis. Et puis entre amis, faut s'aider...
Son regard était voilé par une légère jalousie bien cachée derrière son masque.
Venti: Rivale ? Oh, je vois, c'est pour ça !
Tout sourire, il lui rend sa poigne fermement.
Zhongli: Fait pas attention à lui...Attends, tu et venue comment ici ?
Venti: L'instinct vers ma boisson favorite
Zhongli soupire de nouveau.
Zhongli: Pourquoi tu es venue ?
Venti: On va bientôt arriver en période de fête de fin d'année ! Du coup moi et d'autre personne de Mondstadt invitons des personnes de notre choix à venir avec nous à côté de la mer ! On sera tranquille et-
Zhongli: Je refuse.
Venti: MAIS TU NE M'AS PAS LAISSER FINIR !!!
Zhongli: Être encerclé de gens non merci...
Venti: Mais j'allais y venir ! C'est dans 3 jours, et on sera chacun dans notre coin, à part pour le repas de nouvel an ! Tartaglia pourra venir aussi !
Il eut un silence.
Venti: Bon, je te laisse y réfléchir en attendant...
Le "nain vert" sort alors une caisse de vin "dent de lion" avec une carte de visite, d'où elles viennent, puis il disparaît en disant.
Venti: Je te laisse réfléchir jusqu'à demain soir !
Laissant alors un Zhongli perplexe...Regardant Tartaglia comme pour avoir son avis.
Tartaglia envoya un semblant de regard noir au nain vert et croisa les bras sur son torse.
Tartaglia : Je ne l'aime pas ce mec...
Murmure le roux.
Zhongli rit un peu à la remarque du roux.
Zhongli : Il et particulier. Un peu enfantin mais inoffensif. Rassure-toi. Mais...Tu en penses quoi de cette histoire ?
Il regarde alors Tartaglia, avec sérieux.
Zhongli : J'ai toujours refusé ces invitations, mais...Je me dis que cela me changerait, et m'apprendrais des choses, mais vue que tu as été entraîner dans cette histoire, j'ai besoin de ton avis.
Le rouquin prit son tic quand il était gêné, il se gratta l'arrière de la tête.
Tartaglia: Et bien... Je ne sais pas trop, d'un côté ça nous sortirait, mais après, je vais connaître personne à part toi dans le lot. Et je ne suis pas vraiment apprécié par la foule vu mon passé...
Zhongli: Après, il a dit qu'on serait dans notre coin a part pour le repas du nouvel an...
Il s'installe alors à une table, s'assoit sur une chaise, pose sa tête sur sa main.
Zhongli: Et le connaissant, il va insister demain... Quelle plaie.
Tartaglia s'installa alors en face de lui et l'imita.
Tartaglia : Je ne le connais pas, mais ça en a tout l'air...
Zhongli regarde les bouteilles, puis regarde Tartaglia.
Zhongli: Je te propose que l'on décide ça avec un jeu. Tu choisis le jeu. Si je gagne, on y va. Si tu gagnes, on n'y va pas. Cela te va ?
Tartaglia prit son sourire de défi.
Tartaglia : Très bien, je te propose le jeu du piccolo ! Une action ou une vérité et si on refuse, on boit la quantité que l'autre décide.
Zhongli: Cela me va parfaitement. Je commence !
Il prend la caisse, l'ouvre d'un coup de pied bien placé, dévoilant une dizaine de bouteilles de vin.
Zhongli: Alors mon cher Childe, action ou vérité ?
Tartaglia: Je vais commencer par une action.
Il sorti deux verres et ouvrit une première bouteille.
Zhongli: Masse-moi une partie du corps que tu as choisi.
Réponds neutre Zhongli, malgré un regard de défi.
Zhongli: Je précise celui qui refuse 3 fois une action/Vérité perd.
Tartaglia se leva avec un sourire confiant et pour corser la chose, le roux tira sur la chaise de son compagnon pour l'éloigner de la table. Il s'agenouilla entre ses cuisses, passa d'abord ses mains sur son torse avant de descendre dans une tendre caresse pour s'arrêter sur ses cuisses qu'il massa avec sensualité.
Zhongli prit de court, vire au rouge écarlate, s'attendant à tout sauf à ça.
Mais rapidement, il se détendit au massage, bien trop agréable pour lui et son imagination débordante qui commence à lui jouer des tours.
Zhongli: A toi...
Finit-il par réussir à formuler, malgré sa voix... Transformer par le moment.
Tartaglia prit le temps de se relever en faisant une dernière caresse sur le torse de son ami et fit un sourire malicieux.
Tartaglia : Action ou vérité ?
Revenant à lui, bien qu'il fût encore dans son nuage, il répond dans un murmure.
Zhongli: Vérité...
Tartaglia: Dit moi quel est ton fantasme le plus fou ?
Dit-il en s'asseyant sur la table en face du brun.
Zhongli: Mon fantasme...?
Il réfléchit, puis en repensant aux nombreuses soirées entre Archons, il eut un déclic.
Zhongli: Être immunisé à l'eau quand je veux aller à des sources thermales.
Tartaglia se mit à rire avant de le regarder avec amusement.
Tartaglia : Tu as peur de l'eau ?
Zhongli : Non ! Juste...Je suis un manipulateur de geo...Donc bon...
Il tape un petit coup au torse de Tartaglia.
Zhongli: A toi ! Action ou vérité ?
Tartaglia se mordit la lèvre.
Tartaglia: Je vais prendre une vérité, changeons un peu.
Zhongli: Je t'ai contrarié...? Est-ce que tu as déjà eu des expériences sexuelles une soirée ?
Tartaglia tourna au rouge et pour se détendre un peu, il prit son verre et la bouteille et la mit en face de Zhongli.
Tartaglia: Je vais boire pour ce coup-là...
Il lui tira la langue.