Chapitre 6: Douleur

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Tartaglia le sentait mal, les joues brûlantes et le souffle court, il ne savait plus comment réagir, ni où se mettre. Il se pinça les lèvres pour éviter de faire trop de bruit. Il ferma les yeux et essaya de se concentrer sur autre chose que sur les gestes de son amant qui le rendait fou.
Zhongli: Tu ne veux pas que je t'embrasse encore ? Ou que je te fasse plaisir ? Il te suffit de répondre à deux questions pourtant.
Il saisit alors fermement sa verge la titillant au bout, passant un doigt à l'extrémité.
Zhongli: "Qu'est-ce qui c'est passez dans ces minute d'absence ?" Et..."Pourquoi cette phrase de Venti?" Ce n'est pas compliqué pourtant...C'est ta dernière chance, sinon je te garantis que tu vas être frustré comme jamais.
Il finit de créer sa "surprise."
Tartaglia mit la tête en arrière en gémissant, ou plutôt évita un cri de plaisir. Il entra presque dans une transe de plaisir qui le déconnecta de la réalité. Les yeux voilés, le souffle court et le corps au bord de l'extase couvert de spasme, il avait du mal à parler.
Tartaglia : Je... Je me suis... Suis juste défouler... Après être... Parti... J'en avais... Besoin... Et je ne voulais pas... Pas que tu me vois comme ça...
Zhongli satisfait à moitié par cette réponse, il lui murmure en stoppant ces mouvements.
Zhongli: Qu'importe ton état, je t'aimerais toujours. Je me fiche de ton apparence, même si tu es sublime, c'est ton cœur, ton âme, ton caractère qui m'a fait tomber à tes pieds. Tu peux être un démon à mes yeux, tu seras toujours Childe. Mon espoir. La personne la plus importante à mes yeux.
Dit-il d'une voix douce, tout en s'assurant qu'il le comprenne.
Zhongli : ...J'attends la suite mon beau
Il lui suçote le cou à nouveau, mais il commençait à être à l'étroit à son tour aillant toujours son caleçon.
Le roux avait des larmes de plaisir qui commençait à couler sur ses joues, mais le plaisir était mélangé, il faisait retomber aussi la pression de tout à l'heure, les larmes qu'il avait évité devant Venti sortirent maintenant. Par contre, il essaya de reprendre son souffle, il voulait absolument ne rien dire sur la deuxième partie.
Zhongli soupire doucement, puis soudainement, ils se retrouvent dans la Serenthéière.
Avant qu'il ne puisse retrouver ces esprits, Zhongli utilise ce qu'il avait fabriqué pour alors le bloquer : Des chaînes.
Il le positionne assis au sol, tandis que lui se place sur ses jambes, avec seulement un caleçon sur lui.
Zhongli: Dis-le-moi...~
Puis il reprend tous ces mouvements précédemment arrêtés, mais avec un bonus de léger coup de hanche...
Tartaglia sursauta alors au geste de son amant qu'il trouvait excitant et torturant, mais qu'est ce qu'il aimait ça... Bien qu'il ne le dira jamais. Avoir cette position de soumis le rendait si fragile, si petits face à cette homme qui le surplomber de toute sa splendeur.
Tartaglia : No...non...~~
Profitant qu'il soit à présent enchaîner, il reprend possession de son membre, mais... Voulant le mettre à genoux, il l'embrasse au torse descendant peu à peu jusqu'à sa verge.
Une fois à son niveau, il la prend en bouche, mais y allant lentement.
Non, il ne comptait pas le laisser venir.
Il s'arrêtera juste avant.
Il fait tout cela tout en fixant son amant d'un regard remplis de malice.
Tartaglia tremblait comme jamais, un filet de bave coulait de sa bouche. Il allait jouir et quand le brun se retira, grogna de frustration. C'était la troisième fois, il allait vraiment se venger... Même si dans son état, il n'était plus à penser correctement du tout
Zhongli : Dit le, et je te promets de plus te faire languir~
Il reprend son membre en bouche, tandis que de ses mains, il parvenait à maintenir les chaînes.
Le roux fit des râles de plaisir, il serrait les dents. Il n'en pouvait plus, le corps couvert de spasme...
Tartaglia : D'accord... Je vais te le dire...~~
Le brun le fixe alors se figeant.
Zhongli : Je t'écoute ~
Tartaglia essaya de reprendre son souffle, de calmer son esprit et détendre son corps contracté de plaisir.
Tartaglia : Venti... Voulait absolument savoir...~
Zhongli: Venti...?
Il avait du mal à saisir ce qu'il voulait dire, puis il comprit.
L'Archon vert voulais comprendre le pourquoi son état.
Zhongli était figé, puis finalement se recule, son visage se fait plus sombre, puis dans un murmure...
Zhongli: ...D'accord. Et bien soit. On boira. Et si tu parviens à mieux tenir que moi, vue l'état où je serais, oui, je te dirais tout ce que tu veux savoir.
Dit-il simplement, le regard perdu.
Tartaglia et allez jusqu'à s'allier avec le nain vert tellement il était inquiet ?
Il peinait à le croire, mais s'il y a bien une personne qui peut le comprendre et le dire à son roux, c'est bien Venti.
Tartaglia mit sa tête en arrière, les larmes aux yeux et peiner a reprend un rythme cardiaque à la normale. Il était dans le pire des états et ne se sentait plus d'attaque à riposter, pour le moment.
Tartaglia: Tu tortures les gens... Toi maintenant... Pour avoir ce que tu veux... ?
Murmura le roux avec un faible sourire.
Zhongli: C'est une première...Et j'aimerais éviter de le faire à l'avenir honnêtement.
Avoue ce dernier, encore troublé.
Zhongli: Tu es allé jusqu'à t'allier à Venti ?
Tartaglia, beaucoup trop à l'ouest pour de sentir gêner de sa position, lança un regard perdu a son amant.
Tartaglia: Pas vraiment... Je ne lui ai rien promis... J'y ai réfléchi seul à ça... Il m'a seulement soufflé l'idée...
Murmura le roux où ses pupilles commençaient doucement à s'assombrir.
Voyant son amant ainsi, et son regarde devenant sombre, il murmura doucement.
Zhongli: Navré pour cela...Mais s'il y en a bien un qui peut t'aider, c'est bien lui...C'est assez logique en soit.
Voulant s'assurer que son amant, n'a pas ce regard sombre à cause de lui, il demande rapidement.
Zhongli: Tu te sens comment...? Je veux dire vis-à-vis de moi ?
Le rouquin fini par fermer les yeux et prit de grandes aspirations.
Tartaglia: Je veux juste pour le moment, que tu me détaches... Cette position, pour discuter de ce genre de chose n'est pas vraiment la meilleure.
Il calme doucement son plaisir charnel qui avait failli réveiller la bête en lui. Être autant soumis à quelqu'un lui avait été une grande surprise et en lâcha un rire.
Tartaglia : Je ne t'aurais jamais cru comme ça ...
D'un claquement de doigts, ces chaînes disparurent.
Zhongli: Navré pour ça...
Il s'approche de lui et lui tend son haut, vue que son bas et son caleçon, il suffisait qu'il se les remontent.
Zhongli: Je suis sûr que je vais le regretter plus tard, mais bon, tu auras bien raison de me le faire payer.
Tartaglia s'habille avec ce que lui tendit Zhongli avec un faible sourire.
Tartaglia: Je crois... Qu'on attendra pour ça...
Zhongli: ...Tu m'en veux.
Ce n'était pas une question.
Mais une affirmation.
Comprenant qu'il avait été trop loin, il reprend doucement les bouteilles, puis tend la main vers Tartaglia pour l'aider à se redresser.
Le roux n'hésita pas à prendre sa main pour s'aider à se relever et l'enlaça malgré ses maigres forces. Il sourit contre la peau de son brun.
Tartaglia : Je ne t'en voudrais pour rien au monde...
Rassurer...Il l'enlace doucement à son tour.
Zhongli: Encore désolé...
Puis sentant ces forces le quitter dangereusement, sentant qu'il a besoin aussi de se poser, il propose alors...
Zhongli: Rentrons doucement...Et on bouge plus de la soirée. Ça te va ?
Tartaglia: Proposition acceptée...
Le jeune homme trouva alors ses forces le quitter de plus en plus, jusqu'à ne plus tenir debout.
Tartaglia: On jouera une prochaine fois...
Dit-il dans un soupir faible. Il se sentait exténué et n'avait qu'une envie, dormir.
Zhongli acquiesce voyant bien que son ami était aussi exténué, alors doucement, veillant à pas lui faire mal, il le porte comme un prince, jusqu'à la maison. Puis le posa sur le lit délicatement après une dizaine de minutes à marcher.
Tartaglia se sentait bien dans les bras de son amant, il en dormait presque contre le torse de son aimé. Puis en se sentant posé sur le lit, il ouvrit les yeux à mi-clos.
Une fois poser sur le lit, il s'allongea doucement, le gardant contre lui, comme pour le protéger, veiller sur lui.
Certes, il n'était pas un enfant.
Mais...Il veut le protéger.
De tout.
C'est son protégé...Son amant.
Tartaglia se colla le plus à lui et l'embrassa tendrement.
Tartaglia: Je t'aime Zhongli... Sache-le...
Dit-il avant de s'assoupir.
Zhongli: Moi aussi Childe...
Puis il s'endormit à son tour.

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