The Story Of Doppelgängers

Mystère

J'étais restée là complètement perdue et abasourdie. J'étais comme paralysée. Je ne pouvais plus bouger, parler ou même réagir a quoi que ce soit. Que venait-il de ce passer ? Je m'étais repassée la scène encore et encore et pourtant je ne voyais aucune explication rationnelle. Comment j'avais fait pour littéralement faire voler cet homme ? Au bout de quelques minutes mes penser avait étés couper par la sonnerie de mon téléphone. Mince ! J'avais complètement oubliée de rejoindre Matthew et Lilibeth.  Je m'étais donc empressée de prendre mon téléphone et de répondre à Matthew.

Conversation téléphonique :

Matthew : Stéphanie ?! Tu es où ?

Stéphanie : (déstabilisée) Je suis en route, mais il vient de ce passer un truc de fou, je vous raconte dès que je suis là, à toute suite.

J'avais donc fait de mon mieux pour arriver au plus vite. Il était 16h, j'avais donc 1h30 de retard ! J'avais pris seulement quelques secondes à trouver le banc sur lequel ce trouvait mes amis.

Matthew : Tu été passée où ? On commençait vraiment à s'inquiéter !

Lilibeth : Tu vas bien ? Il n'est rien arrivé de grave ?

Stéphanie : Je crois que ça va...

Matthew : Mais qu'est-ce qu'il c'est passé ?

Je leurs avais donc racontée mes péripétie de la journée. Au début j'avais hésitée a leurs parler de comment je m'étais débarrasser de cet homme mais finalement je m'étais dit que si ils ne pouvaient pas m'aider à trouver une explication logique, personne ne le pourrait.

Matthew : C'est une histoire de dingue ! Es-tu sure de ne pas l'avoir toucher ? Même sans que tu ne t'en rendes compte ?

Stéphanie : J'en suis certaine ! Et puis même si je l'avais légèrement touchée il n'aurait pas été projeté si loin !

Lilibeth : Peut être juste que tu étais sous le choc et que tu n'as pas fait attention ? Et peut être que sans réaliser tu l'as poussée ?

Matthew : Lilibeth a raison, c'est la seule possibilité.

Stéphanie : (blésée) Vous ne me croyez pas ?

Matthew : Bien sûre que si, mais peut être que ta version des choses et altérée par ta peur. Tu devrais peut être en parler à tes parents ?

Lilibeth : (paniquée) Non ! (calme) Ça ne sert à rien d'inquiéter tes parents pour rien.

         Lilibeth m'avais vraiment parue étrange. Elle paraissait inquiète et en même temps elle n'avait pas l'air de vouloir que j'en parle. Nous avions changés changer de sujet pourtant elle n'était pas réellement là. Pendant que je parlais avec Matthew, elle écrivais un message. J'essayais de le voir mais elle avait positionnée son téléphone de sorte à ce que ce soit impossible.
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Message de Lilibeth à ..... :

Que c'est il passé ? Vous ne deviez pas lui faire de mal toute suite !
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Le reste de l'après midi c'était bien passé, même si Lilibeth n'avait pas l'air de bonne humeur. Je ne savais pas de quoi parlait ce message mais visiblement ça l'a contrariée beaucoup. En fin de journée j'étais donc rentrer chez moi et j'étais partie à la douche. Après mettre mis en pyjama j'étais descendue à la cuisine et nous avions tous manger en famille. Ce soir c'était pâte carbonara, littéralement un de mes plats préférés (comme tous ce qui contient des pâtes). Juste après le repas j'étais rapidement partie dans ma chambre. J'avais attendue que ma fratrie soit partie au lit puis j'étais descendue au salon. J'avais besoin de parler à mes parents. Peut être que Lilibeth avait raison et que j'allais les inquiétés pour rien, mais j'avais vraiment besoin de conseil et je savais qu'eux seul pouvaient réellement m'aider. 

Damon : Tu ne dors pas ?

Stéphanie : J'avais besoin de vous parlez seul à seul. Quand je suis partis rejoindre Matthew et Lilibeth, il c'est passer quelque chose de très étrange.

Elena : (très inquiète) Comment ça ?

J'avais passée quelques minutes a expliquée a mes parents mon après-midi. Je leurs avais décris dans les moindres détailles comment j'avais faillie me faire agresser et comment je l'avais « repoussée »,  enfin, si c'était bien moi... Mais parents m'avaient tous les deux réconfortés en me disant que je devais avoir oubliés quelques informations. Pourquoi personnes ne me croyais ! Malgré leurs dire ils avaient l'air mal, comme effrayés, mais de quoi ? Après avoir discutée avec eux j'étais donc partie au lit. Demain allait être une grande journée de cours alors il me fallait me reposer. Mais je sentais toujours cette amertume. Personne ne voulait me croire ! Je commençais même à me demander si pour finir, ils avaient raison ? Et si j'avais oubliée une partie de l'histoire ? Si j'en avais exagérée une ? Et c'est comme ça que je m'étais endormie, la tête remplie de questions et d'incertitudes.