Shadow Soldier

Chapitre 9

QG DES AVENGERS

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*PDV BUCKY*

"Moi: Bordel! Hurlais-je en balançant mon téléphone par terre.

Mon cri a fait apparaître Steve dans la pièce alors que je m'étais isolé. Suivent rapidement de Clint, Sam et Pietro qui attendent des nouvelles des filles.

Steve: Et calme toi ce n'est rien, dit-il en récupérant mon téléphone à terre.

Moi: Rien?! Natasha ne répond pas, Wanda ne répond pas et par dessus tout Margot ne répond pas! Alors ne me dis pas de me calmer.

Sam: Elle s'amusent laissez les tranquille un peu.

Elles s'amusent. Voilà le souci, elles sont toutes les trois dehors, probablement entourées d'inconnus avec Hydra à leurs trousses. Personne n'a l'impression de comprendre le risque qu'elles encourent.

Clint: Pour une fois, je suis d'accord avec Bucky. Ce n'est pas normal, affirme-t-il en s'asseyant.

Sam: C'est tout à fait normal et puis elles sont peut-être occupées a autre choses... dit-il avec un sourire en coin.

Steve: Sam s'il te plait, intervient il.

Ça aussi ça me tue. Savoir que des hommes peuvent lui tourner autour, peuvent poser les mains sur elle ou pire. J'ai seulement envie d'exploser et de tout détruire.

Clint: L'homme de la vidéo la recherche toujours alors elle ne peut pas être en sécurité dehors dans une boîte de nuit."

Sam se lève avant de prendre son manteau, les clés d'une voiture et de se diriger vers la porte. Au dernier moment, il se retourne.

"Sam: Bon vous venez? On va pas attendre que Terminator pète un plomb pour d'y aller."

Je ne relève pas sa provocation car mon esprit est occupé à autre chose. Steve et moi le suivons jusqu'à la voiture pour prendre la direction de la boite de nuit.

*FIN PDV BUCKY*

BOITE DE NUIT

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"Moi: Sérieusement Lukas tires toi de là, lui ordonnai-je.

J'essaie de partir mais il me retient par derriere en serrant la main présente sur mon cou. Sa pression me fait un mal de chien et je n'ai qu'une envie, c'est de l'envoyer six pieds sous terre mais il faut que j'évite le combat ici.

Lukas: Je penses que tu n'es pas en position de donner des ordres. Pense à lui qui est seul dans une cellule de la base. La même cellule qui t'a accueilli pendant ton séjour, répond-t-il d'un ton menaçant.

Je serre les poings face à sa menace. Je ne vois pas son visage mais je peux imaginer le large sourire qu'il doit arborer face à ma réaction. Je sens son souffle saccadé sur l'arrière de mon cou me provoquant des frissons.

Moi: J'aurai ce qu'ils veulent mais il me faut du temps, tentais-je de négocier.

Il me lâche d'un coup manquant de me faire trébucher en avant.
Je rentre pour m'en aller mais il n'a toujours pas l'air de vouloir me laisser partir comme ça. Alors que nous passons la porte, je vois les filles au bar.

Je me retourne d'un coup pour ne pas qu'elles le remarque. La dernière chose dont j'ai besoin c'est qu'elles me posent des questions sur lui. Mes mains sont posées sur son torse et cela n'a pas l'air de lui déplaire car il pose une main sur ma hanche. L'envie de vomir me prend rien qu'aux souvenirs qui refont surface à son toucher.