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AMARIA

«  Prend ce billet de 500 pour essuyer tes larmesTa robe tue, elle est aussi blanche que mon arme »______________________________

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« Prend ce billet de 500 pour essuyer tes larmes
Ta robe tue, elle est aussi blanche que mon arme »
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J'attend seul dans cette chambre, quand ça toque à la porte. Ma respiration se coupe, je n'ose pas me retourner. Je ferme instinctivement les yeux pendant que le bruit de la porte qui s'ouvre se fait entendre, il est là. J'ouvre à nouveau les yeux et murmure un « bismillah » avant de me retourner. Et effectivement un homme était là. Mes yeux se posent sur cette beauté de la nature. Il était grand, musclé, propre sur lui, beaux .. J'en perds le souffle et la raison pendant un instant, jusqu'à ce que son sourire narquois ne me réveille.












Moi : Vous êtes ?



- Lui : Tu sais très bien qui je suis.



Moi : Non.













Il sourit à nouveau avec toute l'arrogance que peut porter cette terre.










- Lui : Je suis celui avec qui tu finira ta vie.











Son sourire disparaît très vite après, ce qui me laisse assez perplexe. Le temps paraissait très long mais ça faisait à peine quelques seconde qu'il était devant moi.










- Aqil : Dépêche toi ils nous attendent.



Moi : J'arrive.











Je me tourne une dernière fois vers le miroir pour vérifier que je n'ai pas de rouge à lèvre sur les dents mais je fut interrompu.













Aqil : C'est bon t'es bien on y va là.












Il disait sûrement ça pour que je me dépêche. Je me lève donc en essayant tant bien que mal d'avancer avec cette robe. Je peux vous dire que c'est une épreuve de se déplacer avec une robe de mariée. Je tenais mon bouquet de fleurs à la mains tandis que mon autre main tenait l'avant de ma robe.











Moi : je soupire.













Il soupire aussi, agacé, et se rapproche de moi. Franchement je vais être honnête avec vous j'ai eu un coup de chaud, j'ai limite eu peur, parce qu'on peut dire que les hommes de ce milieu ne sont pas connus pour leur délicatesse ou encore leur galanterie. Mais à ma grande surprise Aqil c'est mit sur ma droite et à relever l'avant de ma robe pour que je puisse marcher plus librement.











Amaria « Ai plus de valeur que l'or » TOME IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant