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Je heurte malencontreusement Lynsey qui s'était brusquement retourné, tellement j'étais dans mes pensés et nous finissons l'un sur l'autre.



Moi au-dessus d'elle.




Je l'ai d'abord bien écrasé avec mon poids... Pour me venger ouais ça fait gamin, mais meuf ou pas meuf, je me venge à ma manière.




-Mais lève-toi!!! Dit-elle en me tapant sur ma tête.



Des coups de moustiques et même là le moustique il fait chier parce que ça gratte après mais elle ses mains sont douces comme de la soie.



Nous sommes toujours dans la même position sauf que je me suis redressé et elle aussi voulant se défaire de mon emprise en faisant glisser son corps.




Jouons un peu.




J'attrape ses mains qui s'étaient affairés à prendre un maintien rigide sur mes épaules pour se dégager de mon emprise.


Alors je vous explique notre position pour que vous les meufs ayez envie d'être à sa place... Même moi j'ai envie d'être à sa place.


Genre un beau mec comme moi...(ta gueule et explique)




Bon bon, je suis à quatre pattes au-dessus d'elle et la maintien par les mains pour pouvoir capter son regard.



Mais la tarée secoue ses pieds comme une zinzin en criant "au viol".





J'aime.





Je maintiens alors ses deux mains d'une seule main et de l'autre, ferme sa bouche puis regarde de gauche à droite rapidement.... Ça fait psychopathe ?



Oui oui je sais, mais c'est ma nature, je suis toujours dans les problèmes.



-Tais-toi. Dis-je faiblement en la maintenant fermement les mains.




Elle me regarde puis ne bouge plus et se calme.



-Tu vas la fermer ? Chuchotais-je.



Elle hocha la tête positivement.



On dirait un chaton avec ses yeux qui me lancent des éclairs... Une charmante fifille.



Je libère sa bouche, mais garde ses mains emprisonnées.



-T'es qu'un gros con AU SECOURS AU VIOL. Elle cria de plus bel.


Oh la salope, je ris intérieurement tellement la scène est drôle.



Je décide de me lever et de l'aider après qu'elle se soit calmée.



S'il y avait vraiment un viol dans ce lycée, les malfaiteurs se seraient donnés à cœur joie.


-Bon c'est ici. Elle pointe du doigt à une porte avant de réarranger sa coiffure et ses vêtements. Maintenant je te laisse "imbécile". Elle le dit doucement, mais je l'entend.


𝕷𝖆 𝖓𝖔𝖎𝖗𝖊 𝖉'𝖆̀ 𝖈𝖔̂𝖙𝖊́ [En pause]Where stories live. Discover now