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Malgré un début compliqué:
« Vous serez Menotté pendant un mois ! »
Où la tristesse est parfois de la partie:
« Je n'en peux plus, je suis pommé... »
Avec des cris:
« BAJI RAM...
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D̶A̶N̶S̶ L̶E̶ P̶A̶S̶S̶E̶Y̶
DANS LE PRÉSENT
??? : Mademoiselle c'est à partir de seize ans que vous pouvez travailler.
Moi: MAIS j'ai besoin de ce job !
Me voilà encore une fois en train de me faire jerter d'un magasin qui ne veut pas de moi parceque je suis trop jeune.
Pourtant je fais tout les efforts du monde et personne n'accepte.
J'ai besoin d'argent, Osanai arrive à peine à en trouver et c'est pas en étant baby sitter que je vais être utile.
Je me dirigeais donc vers l'extérieur sans but précis.
Malheureusement Chifuyu était à un repas de famille, je ne pouvais donc pas profiter de lui et le faire chier.
Notre relation était plutôt belle, il me soutenait et je le soutenais quoi qu'il arrive.
Sa simple présence me faisait des papillons dans le ventre et ma simple présence le faisait prendre un teint écarlate.
J'étais amoureuse.
Les moments que je chérissais le plus était sûrement quand je venais chez lui, qu'il se callait contre la tête de son lit et que je deposais la mienne sur ses jambes.
On mettait un peu de musique, il me caressait les cheveux et j'en fermais les yeux de plaisir.
Dans ses instants là, on parlait de tout et de rien.
À d'autre moment, il était assis dos à moi, Peke J sur ses genoux et moi qui lui faisait des couettes toute joyeuse.
Quand son rire traversait la barrière de ses lèvres, je ne pouvais m'empêcher de sourire.
Depuis combien de temps, n'avais je jamais était aussi sincère ?
Bien sur, il fallait que la Daronne vienne tout gâcher en dépensant toutes nos économies, cela avait au moins un aspect positif, Osanai se bougeait le cul et devenait...
