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Malgré un début compliqué:
« Vous serez Menotté pendant un mois ! »
Où la tristesse est parfois de la partie:
« Je n'en peux plus, je suis pommé... »
Avec des cris:
« BAJI RAM...
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DANS LE PASSEY
Je vais devoir me faire tabasser parceque mOsieur crâne rasé n'est pas foutu de bouger son petit cul.
DANS LE PRÉSENT
- Putain Hakkai tu ne me facilite pas la tâche...Déclarais je en tentant de calmer les tremblements de douleurs qui traversait mon corps.Regarde un peu autour de toi merde ! Chifuyu se bat pour toi, Takemichi se bat pour toi, ton capitaine fait beaucoup plus que se battre pour toi et toi tu joue le dégonflé. Tu fais partie du Tokyo Manjikai merde !
Je saisis violemment la lame qu'il tenait de la même façon que Mitsuya l'avait fait pour sa sœur.
Balançant le couteau au loin, je pris son col pour le regarder durement dans les yeux.
- Regarde et apprend.
Le lâchant sans qu'il ne bouge d'un cil, je me dirigeais vers Taiju.
- Hey, ce serait pas l'heure de me casser la gueule ?
- Tu fais chier Connase regarde qu'elle uniforme tu portes.
Ne prenant pas la peine de répondre, je m'élançais vers lui pour tenter de le frapper en vain.
En faite je savais que je n'avais aucune chance, je voulais juste protéger les gens que j'aime.
Peu importe, le nombre de patate, de balafres et de cicatrices que je me prendrais, je persisterais.
Pour ne plus jamais rester les bras croisés.
Je m'étais relevé à se demander si c'était des larmes ou du sang qui coulait le long de mes joues.
Puis une main rassurante, imposante, amicale se posa sur mon épaule me freina dans mon mouvement.
Mes yeux cherchèrent la personne qui m'avait contenu.
C'était Takemichi, il n'avait pourtant à ce moment là pas le même aura, pas la même clincance dans les yeux, pas le même désir dans les traits déterminé de son visage.
Son charisme m'éclate à la gueule et sa prestance m'envahissa.
Il m'offrit l'un de ses plus beau sourire.
- (T/p) tu t'es bien battu, laisse moi gérer.
Et comme si ses paroles m'avait ensorcelé, tout mes muscles me lâchèrent, mes genoux claquèrent sur le sol, mes bras devinrent aussi mou que de la guimauve et mon corps ne repondit plus aux désirs de mon cerveau.
