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---------------------------------------------------------{TW: violence, parole cru, mutilation, sex, tca, ect ect
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DANS LE PASSEYJ'ai plaqué Chifuyu. Des commentaires ?
(nda: Ouais je cherche la merde, je sens que je vais me faire allumé par certains voir tout les lecteurs)
DANS LE PRÉSENT
Je le laissais sur ses paroles, l'abandonnant à son sort.
- Mais qu'elle jeu d'acteur, incroyable (T/n)! Je vanterais tes mérites au boss.
- La paix Kokonoi, je veux la paix, j'ai besoin d'étudier. Fis je en entrant en classe alors qu'il me laissait à l'entrée.
- Je t'attend devant.
- Tu vas te faire chopper par les surveillants. Previns je irrité.
- On parie ? Demanda t'il affriolé par l'argent se lechant avidement les babines.
Je le laissais ainsi sans répondre trop contrariée.
Les cours de la journée je les passais à étudier assiduement.
Kokonoi me suivait à la trace ne laissant personne s'approcher de moi.
Le blond n'avait pas pointer le bout de son nez et jetais repartie comme si de rien.
Arrive dans la grande demeure, je me faufilais rapidement loin de Kokonoi exténué par la journée.
- Ça va (t/n) t'en fait une tronche ? Se moqua gentiment Yuzuha en fermant un magasine làmbdas qu'elle tenait dans les mains.
Je m'enfonçais dans son lit douillet ralant ouvertement.
- Les cours... 'fin et toi ?
- orff c'est franchement sans intérêt ! S'exclama t-elle ennuyée.
Puis elle redressa soudainement la tête le regard iluminé.
- Hey ça te dit qu' on aille en ville ?
-Je n'ai ni argent ni le droit.
- J'ai Kokonoi.
Mes yeux plonger ent dans les siens pour l'interroger ne comprenant pas ou elle voulait en venir.
Elle reprit donc:
- Il a de l'argent et il peut nous accompagner pour toi !
La jeune fille soupira à ma tête pas convaincu et posa ses mains délicates sur mes épaules douloureux.
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꧁ℂ𝕒𝕞𝕠𝕞𝕚𝕝𝕝𝕖 ꧂ᶜʰⁱᶠᵘʸᵘ ˣ ʳᵉᵃᵈᵉʳ
Fanfiction----------------------------------------------------------------- Malgré un début compliqué: « Vous serez Menotté pendant un mois ! » Où la tristesse est parfois de la partie: « Je n'en peux plus, je suis pommé... » Avec des cris: « BAJI RAM...