Abruti(e) • Bakugo X reader

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Il est 1h du mat j'vais écrire jusqu'à 2h objectif 2500 mots en une heure

Defi pas respecter j'ai fais 200 mots MDR

Mais j'me suis rattrapée il est 23h chez moi j'ai écrit toute la journée et j'ai fait 6k500 MOTS MEC j'suis une machine

Bonne lecture !!!

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...bordel.

J'avais un mal de crâne fou, et je n'y voyais rien.

Étais je mort ?

Si bêtement en plus !?

Alors que je n'avais même pas pu devenir le numéro -

- BAKUGO !"

Sous une gifle cinglante, je revins à la réalité, bien que secoué par la chute que je venais de vivre.

Une main posée sur ma joue rougie, je tentais de faire état de la situation, qui me paraissait de plus en plus déjantée.

- Ça va ? Me questionna T/P, un semblant d'inquiétude collé à sa sale tronche.

- BIEN SUR QUE J'VAIS BIEN !"

En un soupir de soulagement comme de désespoir, la jeune fille se releva difficilement, alors qu'elle grimaçait en se massant l'épaule.

- Et toi..? Murmurais-je moi aussi en me redressant, le regard ailleurs.

- Merci de demander, mais la prochaine fois évite de nous faire tomber par la fenêtre."

- BORDEL TU ME SAOULES ! J'fais déjà l'effort de m'inquiéter pour toi putain... tu fais chier..."

Le jeune fille, interloquée, stoppa son manège, afin de laisser ses mains caresser malicieusement son visage.

- Me regarde pas comme ça connasse."

- Tu t'inquiètes pour moi ? "

- Non."

- Tu viens de le dire."

- Non."

- Ok... alors je vais rentrer."

Alors que cette abrutie me tournait le dos, je la rattrapa par le poignet, afin qu'elle me regarde.

- Tu vas rester."

- Pourquoi ?"

- Par ce que c'est moi qui décide."

- T'en as envie ?"

- Je !? j'ai pas de réponse à te donner."

- Et est-ce que tu sais si moi j'en ai envie... Bakugo ?"

Là je déglutis.

Je détestais le fait qu'elle insiste sur mon nom. Je détestais la façon dont elle mouvait ses lèvres pour le prononcer. En fait, je crois que j'adorais ça.

J'en perdais tous mes moyens, à chaque fois.

- Tu veux pas me demander ? Me nargua t-elle en tirant légèrement sur ma prise, les sourcils haussés.

Je me contenta de planter mon regard dans le sien, la gorge nouée, et la respiration coupée.

- J'te déteste putain, soufflais-je, viens avec moi et ferme la."

- D'accord, mais je viens seulement par ce que j'en ai envie."

- Je sais que t'en as envie, la rallais-je à mon tour, histoire de reprendre face.