violer par mon meilleur ami

chapitre 25

 J'entends mes parents descendre, ils vont partir au travail.

Je n'ai pas envie de bouger du canapé, je suis trop fatigué. J'ai juste envie de rester en pyjama toute la journée et c'est ce que je vais faire. Après que mes parents soient partis travailler, mon petit frère descend. Il va bientôt partir chez son ami, il y dort là-bas pendant 3 jours. Donc pendant 3 jours, je resterai seule l'après-midi, quelle bonheur. Vers 10h, il part enfin, et j'ai la maison pour moi toute seule, même si je ne vais pas faire grand-chose.

Il est midi et pour la première fois... J'avais vraiment faim.

Je me prépare de tartine et je vais en manger que la moitié, si je mangeais plus, j'allais vomir. Mon portable vibre, c'était Lucas.

C'était mignon, c'était toujours lui qui faisait le premier pas. Mais il n’était pas comme beaucoup de gars, à vouloir essayer quelque chose plus qu'amical avec moi, il me respectait énormément.

Ensuite, je reçois un deuxième message, je savais avant même de le lire qui s'était...

John - « Je sais que tu es seule cette après-midi. »

Le stresse monta, je commençais vraiment à avoir peur. Qu'est-ce qu'il voulait dire par là ?

Moi - « Non... »

John - « Arrête de mentir. Tes parents reprennent le travail aujourd'hui et ton frère à marquer sur Facebook qu'il allait passer 3 jours chez son pote. Alors ne me prend pas pour un con. »

Je savais, qu'il entendait par là, qu'il allait venir chez moi..

J'ai fermé toute les portes à clé et je me suis réfugié dans ma chambre. J'ai continué à parler avec Lucas pendant plusieurs heures.

Mais vers 15h, j'entends frapper à la porte, j'ouvre ma fenêtre et je vois ce c'est John.

John - « Allez ouvrer dépêche. »

J'avais peur alors je n'ai pas été ouvert.

Ensuite, j'entends quelqu'un monter dans les escaliers. Mon cœur à commencer à battre à toute vitesse. Je ne savais pas quoi faire.

La porte s'ouvre.

John - « La prochaine fois, tu penseras à fermer la grille de ton jardin et fermer la fenêtre de ta cuisine. »

Moi - « Je... Euh... Je... Bah... »

John - « Alors comme ça tu ne me fais même pas entrer chez toi ? Tu me ment en disant que tu n'es pas toute seule ? Tu n'as pas compris à mon avis ? »

Moi - « Arrête John, je te reconnais plus. »

Je le vois qu'il saute sur moi et commence à me déshabiller en me donnant de violent coup. Il mettait sa main sur ma bouche s'était impossible pour moi de crier... J'essayais de me débattre, mais ça ne donnait rien.

Je criais de peur et de douleurs, je le suppliais d'arrêter mais plus je criais, plus il aimait. Ce cauchemar à durer 2h30.

Après c'est 2h30 de souffrance il part enfin de chez moi.

J'étais tellement choqué. Que j'ai fait une crise d'angoisse qui a était trop loin. Je suis tombé par terre, mes yeux se fermé, je ne savais plus bouger, je me suis endormie et quand je me suis réveillé j'étais dans un lit d'hôpital.

Devant moi se trouvé mes parents, mon frère et le reste de la famille. Je ne savais pas ce qu'il se passait.

Moi - « Qu'est-ce que je fais ici ? »

Maman - « Tu as fait un malaise ma chérie. Ne t'inquiète pas, tu risques rien de grave. Tu nous as fait peur tu sais... »

Moi - « Depuis combien de jours on est ici ? »

Maman - « Combien de jours ? Non plutôt combien d'heure. Tu es ici que depuis 2 heures. »

Moi - « Je dois rester longtemps ici ? »

Maman - « Jusqu'à demain matin. »

Moi - « Les filles sont au courant ? »

Maman - « Oui, elles sont venu à l'hôpital te voir tout à l'heure mais elles ont dû repartir. »

Moi - « D'accord. »

Maman - « Il faut que tu te reposes, tu dois être très fatigué. »

Effectivement, j'étais très fatigué mais impossible pour moi de dormir. Vers 21h30 mes parents repartent à la maison, pendant moi que je restais seule ici. Jusque 1h30, Lucas et moi n'avons pas arrêtés de parler, je lui ai expliqué que j'étais à l'hôpital. Il m'a dit qu'il aurait bien aimé venir me voir mais qu’il n’était pas au courant.

Luca - « Je peux passer demain chez toi ? J'aimerai m'assurer que tu vas bien... »

Moi - « Oui bien sûr. Je demanderai à mes parents. »

Lucas - « D'accord. »

Ce sont les derniers mots qu'on sait dire car après je me suis endormie.