Notre secret

Chapitre 6

Six

Avec un grand sourire maladroit et un saut dans son pas, Lauren a pratiquement sauté vers son casier vendredi matin, incapable de garder des pensées sur Camila et leur fille incroyable de son esprit. Après la journée parfaite qu'ils ont eue hier, Lauren était certaine qu'elle voulait que Camila revienne. Mais ça n'allait pas être si facile. Elle a dû la reconquérir à plus d'un titre. Non seulement Lauren a dû convaincre Camila, mais aussi sa mère et sa sœur. Qui Lauren savait n'était pas très heureux avec elle. Mais sa mère d'un autre côté... Elle pensait qu'elle était prête à lui donner une autre chance. Lauren fredonnait pour elle-même alors qu'elle ouvrait son casier et prenait ses affaires pour la salle de classe lorsqu'elle entendit une voix féminine derrière elle. « Où êtes tu hier ? » Lauren a sauté de peur puis s'est retournée avec une expression aux yeux écarquillés, mettant sa main sur son cœur.

Pourquoi est-ce que tout le monde a dû la surprendre comme ça ? « Kendall, hé. » son sourire était de retour alors qu'elle fermait son casier. Sa petite amie la regarda avec méfiance. Aujourd'hui, elle portait un short en dentelle blanche, une chemise marron avec des motifs blancs et la veste universitaire marron et blanc avec le nom de Lauren avec des détails bleu marine, qui étaient les couleurs de l'école. Aux pieds, elle portait des bottes de combat blanches rabattues, mettant en valeur les détails fleuris. Lauren observa sa tenue avec un petit froncement de sourcils. « Qu... qu'est-ce que tu portes ? » Demanda-t-elle avec perplexité, la regardant de haut en bas. Ne savait-elle pas que c'était à la mi-octobre ? Hier il faisait chaud mais il faisait très froid aujourd'hui - aussi froid que possible à Miami. Lauren supposa que c'était au moins dans les années cinquante à l'extérieur. À Miami, c'était le temps de la veste. Elle jeta subtilement un coup d'œil par-dessus sa tête pour voir ce que portait Camila. Son casier n'était qu'à quelques mètres de celui de Lauren et elle avait toujours une bonne vue d'elle.

Camila avait décidé de s'habiller pour le temps et avait enfilé une paire de leggings noirs avec un sweat-shirt noir avec une citation d'Albert Einstein dessus. Ses cheveux tombaient sur ses épaules et elle portait peu ou pas de maquillage, contrairement à Ivy qui faisait tout son possible.

Sur ses pieds se trouvait sa converse noire habituelle, et elle portait son sac à dos à carreaux rouges avec. Lauren se sourit secrètement, approuvant sa tenue. Au moins, elle était habillée normalement. Elle s'est retrouvée à beaucoup comparer les deux filles ces derniers temps... Et bien sûr la mère de son enfant a gagné à chaque fois.

"Quoi?" Kendall fronça les sourcils, se regardant. "Je porte ta veste." Lauren détourna les yeux de Camila et retourna vers sa petite amie, fronçant doucement les sourcils. "Ouais... Mais il fait moins cinquante degrés dehors. Il fait froid. Tu es en short." Kendall leva les yeux au ciel et croisa les bras en la regardant. "Peu importe. Alors où étais-tu ?" Lauren haussa les épaules, fouillant dans ses livres pour s'assurer qu'elle avait tout. "J'étais en train d'étudier." « Euh, non, tu n'y étais pas. J'ai appelé chez toi et ta mère a dit que tu n'étais pas à la maison. »

« Je n'ai pas dit que j'étudiais chez moi- Pourquoi as tu appelé chez moi ? « Parce que tu ne répondais pas à ton téléphone. Il n'arrêtait pas d'aller sur la messagerie vocale. Et depuis quand étudies-tu ? » "Depuis que j'ai échoué au cours d'histoire." « Vraiment ? Ou depuis que M. Stevens l'a désignée comme ta tuteur ? » « Pourquoi es-tu si accro à ça ? »

« Parce que tu as passé toute la journée avec elle et son enfant au parc hier ! "Quoi-- comment tu est au courant de sa toi ?" "Dinah me l'a dit quand j'ai appelé pour demander où tu étais." "Attende. Tu as appelé ma meilleur ami?" "Non. Tes meilleurs amis. Normani n'a pas répondu alors j'ai appelé Dinah." La mâchoire de Lauren tomba sous le choc. Elle prit mentalement note de châtier Dinah plus tard. Mais maintenant, elle avait un plus gros problème. "Pourquoi diable voudrait tu .." soupirant de défaite, Lauren secoua simplement la tête, fatiguée de tout le drame inutile qui accompagnait ces questions.