Quand L'amour Nous Est Interdit [bxb] (EN COURS)

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Le blond, après cet épisode, avait passer le reste de la journée dans sa chambre, à se tourmenter.
Le lendemain, Hanse toqua avec l'espoir de pouvoir sortir comme prévu avec son ami. Mais pas de réponse.
Le jour d'après, pas de réponse.
Encore après, toujours rien.

Hanse en devenait fou ! Mais qu'est-ce que Fred avait à la fin !

Cette fois Hanse toqua un nouveau jour à la porte et c'est le blond qui ouvrit.

- Ah tu te décides enfin à me voir !

- Hanse !! S'étonna le jeune homme qui ne s'attendait clairement pas à voir Hanse.

Fred avait un simple pull en laine avec un pantalon noir. Il avait les cheveux en bataille et les yeux cernés.

- Tu as une tête lamentable.. tu es malade Fred ? ....

- Non ! Ne t'approche pas ! Je suis pas malade, je n'ai juste plus envie de te voir ! Tu m'énerves à la fin, j'ai besoin d'air et tu es là, tous les jours à toquer à cette foutue porte ! Fais toi d'autre amis, je ne suis pas le seul de ton âge dans ce village !

Sur ce il claqua la porte et plaqua son dos à celle ci le cœur battant. Hanse n'en revenait pas. Ça lui brisait le cœur. Son ....ami ? ...ne lui avait même pas laisser le temps de parler.
Alors c'était ça ? Fred ne voulait plus de Hanse ?
Après t'en de temps passer ensemble.
Le Brun posa ses mains sur le bois de la porte et d'un ton calme il chuchota.

- Fred ....Fred ouvre moi s'il te plais.

Mais pas de réponse. Fred avait ses mains sur sa bouche, luttant pour ne pas rouvrir la porte et sauter sur Le Brun pour s'excuser.
A la place, le blond monta à toute vitesse dans sa chambre avant de s'affaler sur son lit et enfouir son visage dans son oreiller.

Hanse pendant se temps sentait les larmes le gagner. Il venait de perdre son seul ami, et aussi la couleur de son cœur.
Il n'avait même pas eu d'explication à ce caprice.
Il recula doucement et parti seul jusqu'à lac.
Il pensait, la gorge nouée et les yeux remplis de larmes, il n'arrivait pas à comprendre POURQUOI Fred lui avait balancer tout ça à la figure.
Et surtout après tellement de jour d'ignorance.

Le Brun s'énerve seul.

- STUPIDE ! GROS LACHE DE NAZI DE MERDE !!
Je te déteste Fred !!! Va pourrir avec ton Hitler de les deux ! Que les flemmes vous consume et vous envois dans le pays des morts !! Personne ne vous regrettera !

Il rage et cris dans la forêt qui entour de lac. En arrivant au bord de l'eau et prend un bout de bois rester au sol et le lance le plus loin possible.
Le plus loin possible n'était d'ailleurs pas très loin ....

Hanse devait prendre en force, il devait s'affirmer. Il devait s'endurcir !
Il se calma et s'assit tranquillement.
Sa mère lui disait souvent de respirer durant 5 secondes, de retenir durant 4, de relâcher en 3 et de contempler le calme pendant 2 avant de faire 1 sourire.
5,4,3,2,1 il était calme et apaisé.
Lubben était un beau village, il devait profiter de sa beauté et de son bon côté pour s'épanouir d'avantage, et t'en pis si Fred n'allait pas participer à se changement.

De son côté, Le blond criait dans son oreiller, il regrettait comme jamais il n'avait regretté quelque chose avant ça. Ça lui transperçait même le cœur, le ventre, la gorge, le tète. Sa pauvre tête souffrait. Elle allait exploser.
Impossible non, il ne pouvait pas rester loin de Hanse. Il ne pouvait pas rester fâcher, c'était sa faute à lui. Il était stupide. Il aurait dû réellement réfléchir et pas agir comme un connard d'allemand sadique.
Il n'aurait pas dû agir comme ses camarades a l'école de la jeunesse Hitlerienne....

Il se leva d'un bon et descendit les escaliers d'une traite, sorti de chez lui et tambourina à la porte des Wolfman. C'est Luise qui ouvrit la porte, les sourcils froncés.

- Calme !! Qui t'as donc appris à toquer chez les gens comme ça ?

- Madame Wolfman ! Hanse est là ?

Elle parut surprise.

- je pensais qu'il était avec toi ?

- je peux l'attendre ici ? Dans sa chambre ?

- hum ..... est bien oui ? Je suis pose ?

- Merci ! Vous êtes un ange !

Et sans même attendre la permission, il entra et monta.