Chapitre XVII part 2 - Et, si nous nous aimions ?

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– Emmy m'a tout raconté, ma best et sex friend.

Oh, la traîtresse ! J'allais lui arracher la langue et chacune de ses dents ! Elle m'avait trahie ! J'étais toute rouge, je le savais, je le sentais.

– Je... Roh laisse-moi Tom ! Oublie ce qu'elle t'a dit, c'était avant. Je pars pour

– M'oublier, me coupa-t-il en posant son autre main sur l'arbre.

– Non !

– Si.

– Non !

– T/P, ça ne me dérange pas si tu m'aimes.

– Normal, tu as Ivy et tu vas l'épouser. Entre toi et moi, je suis celle qui souffre le plus Tom.

– Je sais et je te demande pardon.

– Ce n'est pas ta faute, c'est la mienne... Mais, je n'accepte pas tes excuses, car tu lui as raconté notre côté sexe.

– Hein ? J'ai jamais fait ça T/P. Elle m'a avouée avoir fouillé dans mon portable.

– La garce ! Euh... Désolée, mais

– Ne t'excuse pas, c'est ma faute.

– De quoi ?

– Tout ça T/P.

– Tu n'as rien fait Tom... Je n'aurais pas dû tomber amoureuse de toi..., dis-je en versant une larme que je n'arrivais plus à retenir.

– C'est ma faute si tu as autant souffert, car je n'ai pas pris conscience à temps que je t'aimais.

– Comment ça Tom !? interrogeai-je en le fixant stupéfaite.

– Ce serait trop long à expliquer alors que la seule chose dont j'ai envie, c'est de t'embrasser.

– Tom ?

Que se passait-il !? Étais-je dans un rêve !?

– Je t'aime ma T/P, lâcha-t-il avant de poser ses lèvres sur les miennes avec douceur. Je lui rendis son baiser et posai ma main droite derrière son cou, mais un bout de bois glissa sur son pied. Putain ! cria-t-il.

– Euh désolée, Tom...

Il rigola et prit les bouts de bois qui étaient dans mes bras.

– Il n'y a vraiment que toi pour faire subir ça à mon pauvre pied, je te jure !

– Euh..., souris-je nerveusement.

– T'es unique, sourit-il en déposant un baiser sur mon front.

Je levai mes yeux vers lui.

– Je ne comprends rien Tom...

– Attends, on peut rentrer ? Parce qu'on se les gèle ici et je t'avoue que j'ai mal au pied.

– Euh oui, viens !

Je l'aidai à marcher et nous nous dirigeâmes, avec Willow, à l'intérieur. Il s'assit sur le canapé et je pris les bouts de bois pour les mettre dans la cheminée.

– La prochaine fois que tu me dis que tu es à découvert, je ne serai même pas étonné vu la grandeur du chalet.

Je me mis à sourire ; il aimait bien trop m'embêter avec ça !

– J'attendrai que tu m'invites alors ?

– Tout ce que tu voudras, dit-il en me fixant.

– Mais Tom, je ne comprends rien..., commençai-je en m'asseyant à côté de lui. Tu as une petite amie et... Tu ne devrais pas être là...

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