Chapitre XIX - Magnifiques au revoir...

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Un mois plus tard, le samedi treize mai...

– Non, pas de ce côté !

– Ah oui !? Et, où je mets mes chaussettes ?

– Trouve un autre endroit. C'est mon tiroir celui-là, dis-je en souriant pour le faire chier.

– Attends, je vais te montrer où est mon tiroir, dit-il en me soulevant pour me jeter sur le lit.

Il était au-dessus de moi.

– Tom, rigolai-je. Hum...

Il venait de faire glisser sa main sous ma robe et son doigt sous ma culotte.

– Je t'aime, sourit-il en continuant ses gestes.

– Hum... Oui...

Nous venions d'emménager ensemble dans une grande maison à Londres. Et, pour ce tiroir, c'était juste pour l'embêter, mais ça en avait valu la peine vu ce qu'il était en train de me faire.

– Han oui ! Tom... Tom...

– Putain... Mon ange, gémit-il en donnant des coups de rein et en prenant appui sur le lit - un lit avec des barreaux, comme au chalet - avec ses mains.

– Han oui !

Quelques minutes après, il éjacula et nous nous rhabillâmes en souriant.

Quelques semaines plus tard...

– Tom ? Que fais-tu ici ? demandai-je en refermant la porte d'entrée du théâtre.

Je venais de finir les répétitions ; il était dix-neuf heures.

– Je viens chercher ma future femme, sourit-il.

Je rigolai, j'attrapai sa main et nous allâmes jusqu'à sa voiture.

Tom ne faisait plus de théâtre. Il avait recommencé à jouer dans des films. D'ailleurs en ce moment, il avait signé un contrat pour jouer dans un film d'action, Les Zombies contre attaques. Il était le personnage principal et pour ce film, c'est lui qui était le survivant.

Nous montâmes dans sa Ferrari et il démarra. Ce matin, c'était Tom qui m'avait déposée au théâtre, puisque j'avais perdu les clés de ma voiture ; cette voiture franchement. Il fallait que j'en achète une nouvelle, mais j'attendais que Monsieur Ward me paye mes heures de scènes et il en avait, de l'argent pour moi face aux représentations que donnait le théâtre. Bref, pour en revenir à Tom, je n'imaginais pas qu'il allait venir me chercher. Je pensais prendre le bus, néanmoins, il était venu tel un chevalier servant. Après un moment, je le vis prendre un virage.

– On ne rentre pas Tom ?

– Non, je t'emmène quelque part.

– Ah oui ? Où ?

– Surprise. Je souris et regardai au travers de la vitre ; je l'aimais et j'appréciais ses surprises. Il se gara dans un parking. J'allai tenir la poignée de la portière, mais... Non, attends, dit-il en fermant la sienne derrière lui et en se dépêchant pour venir ouvrir la mienne.

– Tom ? Il me proposa sa main que j'attrapai et il m'aida à sortir du véhicule. À quoi joues-tu mon cœur ? souris-je.

Il était beau avec son manteau et ses cheveux en arrière.

– Allez viens, dit-il en tenant ma taille.

– Bon... Je fis ce qu'il indiqua et nous nous avançâmes vers un immense bâtiment à dix étages, Le Diner Building. Le restaurant le plus chic et le plus cher de Londres. Attends Tom, tu as vu ma tenue !? Je ne vais pas rentrer ici !

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