Chapitre 4: Une nouvelle identité

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PDV Alexiane :
Après ce qui vient de se passer... Je ne sais plus quoi faire. Quand l'avions aterrira qu'est ce que je vais pouvoir faire ? Je ne faisais que de stresser et j'avais beaucoup de mal à me retenir de pleurer. Pourtant je déteste pleurer devant quelqu'un mais là je n'avais plus la force. Je me sentais seule et vide. Mais là, je sentis qu'on me serra encore plus que je ne l'étais déjà, je leva la tête, et je le vis, lui, d'un coup mon courage, ma fierté, tout mes sentiments me revenais, je n'étais pas seule ni vide, j'avais toujours celui que j'aimais plus que tout, celui qui me protège tout le temps même quand il est au plus bas. Grand frère, avec toi n'importe quoi peut arriver, je resterai forte. Mais je n'avais pas besoin de lui dire tout sa, il le sait. Je vis le Maréchal, grâce à lui nous sommes en vie. Je me détache de mon frère et dit :

- Maréchal, je vous suis très reconnaissante, si vous n'aviez pas été là, nous... nous serions... merci Maréchal.
- Majesté, c'etais mon devoir en tant que Maréchal mais aussi en tant qu'ami de vous protéger. Je comprend ce que vous ressentez à l'instant les enfants: j'ai perdu ma femme, ma famille, mes amis, vos parents qui étaient des amis que je connais depuis mon enfance... Mais promettez moi une chose les enfants, ne vous séparés jamais compris ?
- Oui Maréchal ! Fit-ont mon frère et moi en même temps.
Il ria doucement et dit:
- C'est bien, mais appelé moi par mon prénom et tutoyer moi.
- Oui Mickael ! Dit-ont. Il nous fit un sourire, mon frère et moi nous regardions dans les yeux, nous pensions à la même chose. Nous nous retournions vers le Maréchal, oups... Je veux dire Mickael et on lui dit:

- Mickael nous voulons que tu reste avec nous ! S'il te plaît !!
- Alors je reste avec vous, sa me rassurera sûrement.
Nous lui sourions, avec notre plus grand sourire. Enfaite je ne pouvais me sentir mieux.

Nous sommes arrivés au Japon, à Tokyo plus précisément. Mickael nous dit qu'il avait une deuxième maison ici, plutôt bien nan ? Cette maison était plus précisément un manoir. J'aurai préférée une maison car j'ai peur que sa me rappelle trop la Moscolia et ma famille... Mon frère et moi avions chacun notre chambre mais quand le soir arrivait, je préférais dormir avec Gorky qui celui-ci ne refusait jamais car il était très content que je dorme avec lui. Sûrement qu'il devait être rassuré de savoir que j'allais bien, savant qu'il pouvait me protéger, et moi je me sentais en sécurité au près de lui. Ce qui étais bien ici, était le fait qu'on pouvait encore plus exercé nos loisirs surtout le foot. Defois Mickael venais joué avec nous, il nous avait dit qu'avant il en jouait beaucoup avec papa.
Vu que je me trouvais à Tokyo, j'en ais profitée pour revoir Nelly. Quand elle me vit, elle commença à avoir les larmes aux yeux et me courra dessus en me serrant fort dans ses bras. Je lui rendis son étreinte et lui dis:

- Nelly y'a t'il quelque chose de grave ? Pourquoi est tu en pleure ?

- Oh je suis tellement heureuse de te revoir ! J'ai appris ce qu'il sait passé, j'avais peur que tu ne sois pas ressorti vivante.
- Oh Nelly, tu n'a plus à t'en faire. Je vis maintenant ici. Et tu sais je reste heureuse car même si j'ai perdu beaucoup de personnes qui m'etais chère, ils m'en reste encore quelques unes dont tu en fait partie. Mais dis moi, comment a tu été au courant ?

- Eh bien à vrai dire, dans pratiquement tout le monde entier est au courant de la catastrophe qu'il y a eu en Moscolia.
- Oh oui quand même, moi je n'ais aucune nouvelle, personne ne veut que je sois au courante mais je finirais bien par un jour le savoir.
- Tu sais Alexiane mieux vaut que tu le sache un peu plus tard, je trouve que sa serais mieux.
- Bon eh bien je n'ai pas envie de te décevoir alors j'attendrais le bon moment.
- Dis moi comment sa se passe maintenant ? Tu aimes bien Tokyo ?

- Oh sa se passe très bien, je peut faire plein de choses, je fais souvent du football, j'ai même créé ma toute première technique qui se nomme Lys impérial quand je tire, le ballon à autour de lui une aura blanche en forme de lys et se propulse très vite dans les cages. Je suis tellement fier de moi !
- Oui sa doit être fascinant à voir, déjà que quand tu lançe le ballon dans le but, la frappe va très vite alors avec cette technique on doit même pas voir le ballon aller dedans.
- Oh quand même si mais je compte l'améliorer et crée plein d'autre techniques !
- Je ne m'en doute pas.
Nelly et moi avions passées tout le reste de la journée ensemble et comme d'habitude c'était passé trop vite mais vu que nous vivions dans la même ville, nous pourrions nous voir plus souvent.

La Légendaire Tahanan ng mga kuwento. Tumuklas ngayon