L'assassin de son ami

Présent, au bon moment

Il y a maintenant plus de deux ans, que des jeunes se sont fait attaquer dans la forêt de Kyoto. Seuls deux étudiants sont en sortie vivant et sans blessures mais, le corp du troisième avait était retrouvé le soir même suite au signalement. Cette enquête avait était classé mais aujourd'hui, nous vous annonçons que les autorités l'on recouverte car hier soir aux alentours de 23h15. Le même cas s'est produit, nous vous demandons de faire attention..

Haruna regardait les informations comme à son habitude avant de se rendre à son établissement. Cette annonce lui avait glacé le sang instantanément et même, lui avait donné des frissons mais elle soupire un bon coup en se disant que tout allait bien, elle était loin de Kyoto. La jeune femme vivait au Japon mais à Tokyo et elle ne regrette rien. Le pays le plus animé et connu du monde entier, rien de mieux. Des fois, elle avait des souvenirs de son ancienne appartement en Angleterre, c'était pratiquement le même au Japon mais traditionnelle si on pouvait le dire. Grand, lui permettant d'avoir une belle vue sur la ville, proche de tout magasin, épicerie et restaurant. Dans le quartier où elle était, tout était à sa portée de main donc elle était aux anges. Née de parents riche, mariées  et indépendant, c'était grâce à eux qu'elle pus voyager et vivre tel qu'elle le voulait. En parlant d'appartement, Haruna fais le ménage dans le sien comme à chaque matin avant de partir de celui pour se rendre à sa destination. Haruna prit le bus cette fois ci, elle n'avait pas envie d'utiliser son vélo pour s'y rendre aujourd'hui. Si elle devait marcher, sa ne lui aurait pas fait de mal mais au contraire. A sa grande surprise, elle croise ce jeune homme dont elle avait oublié le prénom vue qu'elle ne lui donnait pas d'importance d'ailleurs. Elle fit comme si elle ne le voyait pas puis.. il était assis et elle debout, à se tenir à une barre. Le bus était assez bombé, la chaleur se faisait ressentir bien qu'il n'était à peine huit heure du matin. Haruna qui portait une tenu de sport, un débardeur et un short légèrement moulé. Elle sentait facilement un regard sur elle et s'était un homme assez âgé qui ne se gêne pas pour la matté ouvertement. L'homme s'était même collé à elle en se permettant de malaxer son fessier discrètement. La pauvre demoiselle toute perturbé et gêné, rougissait de mal être mais elle ne pouvait pas aller bien loin vue tout le monde qui était tous serrer entre à part ceux assis. L'homme était pervers, moche, répugnant et sa voix.. il avait une voix grave et pué l'alcool et surtout de la bouche. Haruna ne savait quoi faire pourtant elle essaye de le repousser comme elle pouvait mais son succès. Elle sentait les mains de celui ci parcourir son corp sous ses vêtements, le bassin contre le fessiers de la jeune femme. Ce qui la dégoûté encore plus et la faisait paniquer, c'était de sentir un bosse.. elle ne voulait même pas imaginer ce que c'était mais elle savait déjà. L'homme lui chuchote des mots exprimant ce qu'il lui ferai une fois sorti du bus, il ne comptait pas la laisser partir facilement. Au moment où il tente de l'embrasser bien qu'elle le repousse et commence limite à faire comprendre aux personnes autour d'eux que quelques choses n'allait pas. L'homme manque de tomber violemment mais ce n'était pas exactement ça. Il avait reçu un coup au visage, plus précisément sur le nez ce qui laisse cette partie cassé et pissé le sang. La demoiselle se sentant libre, en plus des autres passagers qui descendait presque tous à un arrêt. Elle regarde qui venait de frapper l'homme et s'était Jooheon. Il avait remarqué au loin qu'elle n'était pas à l'aise mais ce n'est que quand il vit celle ci le repousser, qu'il se dépêches d'intervenir. Il prit l'initiative de prendre sa main et de l'attirer contre lui sans rien dire mais il l'a fait simplement s'asseoir à sa place. Ou il était assis le temp qu'ils arrivent à destination, c'est  à dire l'arrêt en face de l'établissement. Jooheon reste debout et se tient à une barre quand soudain, il entend l'homme se plaindre.

— HeyYyy !!! T-toi la ! Qui te permet de me frapper et de toucher à ma compagne !?

Le noiraud regarde l'individu qui saigner du nez et il lui répond calmement.