A nosy, lively, sweety home {Bakudeku} - ᴛᴇʀᴍɪɴᴇʀ

Sandwich croissant

Les Bakugo toujours dans l'arrière-boutique séchaient leurs larmes. Ces retrouvailles étaient ce dont ils avaient tant rêvé, et enfin, elles avaient eu lieu de la meilleure manière possible. Mitsuki posait beaucoup de questions anodines à son fils, sur son travail, sur les moindres difficultés qu'il pouvait rencontrer dernièrement.

- Je te l'ai dit tout va bien, les enfants sont sages et Deku est là pour moi. Puis le travail, j'ai pas mal délégué à Neito et Sato les pauvres.

- Je voulais juste être sur... Tant mieux alors, tant que tu es heureux nous le sommes aussi. J'espère juste que si tu à besoin de nous dire quelque chose, tu saches que tu peux venir vers nous sans hésiter.

- Je le sais... Ah et je suis au courant, que Neito te donnais de mes nouvelles, il me la avouer. Maintenant tu pourras m'appeler quand tu veux des news.

La femme était surprise, ne pesant pas que le blond l'avait déjà dit à son fils. Ce qu'elle ne savait pas, c'était que le cendré s'était confié à Neito sur le fait de revoir ses parents. Le blond l'a alors avouer avoir souvent donné de ses nouvelles à sa mère, Katsuki était un peu remonté. Mais Neito lui a tout avouer, qu'il avait une relation tendue avec sa famille. Car ils acceptaient qu'il fût attiré par les hommes, mais pas qu'il soit avec le fils d'un ex-militaire. Puis il a fugué de chez lui et c'est là qu'il a rencontré Katsuki et son devenu amis, comprenant que leur amitié n'était pas faussée. Katsuki pardonna très vite à Neito ces petites cachotteries.

- Je vois... Neito est un bon garçon mais sa mère a une dent contre les militaires, on ne peut pas lui en vouloir vu comment était son ex-mari.

- Il m'en a parlé, c'est à eux de voir cela. Neito ira lui parler quand il sera prêt lui aussi.

- Tu as raison. Mais dit moi tout va bien au paradis avec Izuku ?

Katsuki allait lui répondre qu'évidemment, mais une chose lui trottait dans la tête depuis un moment. Non rien du trop choquant ou autre, mais plutôt un sentiment en lui qu'il n'avait jamais osé dire à qui que ce soit. Ni Neito ou encore moins Eijiro, cela pouvait être gênant à demander à ses parents mais Katsuki ne savait pas à qui en parler. Alors il décida de s'ouvrir à eux sur ce sujet.

- Tout va parfaitement bien. Mais y à un truc que je n'ai jamais osé lui dire.... Je... C'est gênant, je sais mais j'ai besoin d'en parler à quelqu'un...

- Fiston tu n'a rien à craindre, on peut parler de tout ensemble.

- Merci papa... Je... Depuis qu'on est officiellement avec Izuku, on est plus tactile qu'on a jamais été. À Noel, surtout, je, ne pouvais pas m'empêcher de prendre dans mes bras ou de lui glisser des bisous sur la joue ou sur les lèvres.... Et... J'ai ressenti du... arghhhh c'est gênant !!!! Putain j'ai eu envie de le faire avec lui !

Katsuki était écarlate de honte et cacha son visage dans ses mains, il était adulte pourtant à l'instant il se sentait comme un collégien voir lycéen. Masaru souri doucement, et sa femme était amusé par sa nervosité et sa gêne. Ils avaient tant perdu avec leurs fils, et cette conversation n'avait jamais eu lieu.

- Katsuki ne t'inquiète pas, on a jamais eu cette conversation après tout. Tu n'as pas à te sentir gêné, c'est ton copain après tout c'est normal d'être attiré par lui.

- Ce.... Ce n'est pas ça papa... J'ai eu des coups mais je ne suis jamais allé plus loin... Chaque fois que l'intimité à lieu, j'arrête tout, je me sens dégueulasse. Sentir des mains sur moi, c'est comme si c'était elle qui me touchait et... Et.... Je ne peux pas....

Mitsuki attrapa son fils et le sera de toutes ses forces, les larmes refirent leurs apparitions sur ses joues. Katsuki resserra sa mère dans ses bras, Masaru lui caressait doucement les cheveux. Il était plus qu'attristé que son fils se sentent ainsi, cela lui brisait le cœur que son petit garçon ait vécu quelque chose de si traumatisants.