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3 semaines se sont passées .

Je n'ai revue qu'une fois Juliette depuis se lapse de temps, elle n'est pas chez elle depuis je n'entend pas de bruit , quand à la blonde ...niet je ne l'ai pas revue depuis l'évènement de la dernière fois .A t'elle prit peur ? L'ai-je gênée ? J'en sais rien mais là je suis en weekends alors c'est bien le dernier de mes problèmes .

Je finis de travailler sur mes rédactions et rejoins les gars au parc à nos place habituelle .

Arthur avait du retard et plus qu'habituellement.
Il finit par montrer son nez au bout de 25 min .

- T'était où mon pote là sa fait long ? Demandai-je .

- Ma mère ma retenue désolée.

Je savais dès l'instant où j'ai posé mes yeux sur les siens qu'il mentait , premièrement ce n'était pas du tout le genre de sa mère , de le retenir surtout si c'est pour nous voir , elle nous réclame tout le temps moi et Thomas . Et pour finir il était bien trop stressé , il regarder partout autour de lui comme un enfant qui a peur que quelque chose vienne lui touchait les pieds dans la mer ou sous son lit .Il nous a pressé pour quitter ce banc en prétextant une chaleur insupportable . Alors que la température était d'une régularité flagrante ces temps ci .

Et surtout mon odorat ne me trahi pas , il sentait les substances illicite à pleines narines .

- Arrête de nous mentir , frère tu sens a balle . Crachai-je

Il me fixe dans les yeux et rétorque .

- Toi je ne t'ai pas posée de questions sur ton retour de la boulangerie sans pain alors fait en de même . Me dit- il sur un ton neutre mais imposant .

L'Arthur drôle et très second dégrée avait disparu . A la suite ce place un long moment de silence , je ne dis rien car si je pose une question il va m'en poser une autre sur ce jour là , je n'aurai jamais pensé qu'il s'en souviendrait .Malheureusement pour moi ils savent très bien que je ne ferai jamais un tel effort pour rien je serai revenu avec une boisson provenant de la supérette du coin ... ou alors ils avaient peut être vu la boulangerie ouverte en bas .

Thomas dans tous ça  n'ose rien dire , il est tout aussi étonné que moi par la réactions d'Arthur .

Pour éviter de le déranger encore plus je décide d'ouvrir la marche en direction de je ne sais où , juste histoire de traîner les rues et faire passer le temps.

Cela n'a pas aidé , nous marchons tout les trois dans un silence glaçant .Thomas essaye tant bien que mal de combler les blancs qui sont si inabituel .

Je décide donc d'écourter ma promenade en leurs compagnie pour rentrer car ça ne sert strictement à rien de continuer dans la gênance .

Sur le chemin du retour j'ai d'abord pensé à Thomas et me suis dis que c'était très égoïste de ma part de l'avoir laissé dans cette situation tout seul , je savais malgré moi que d'ici à 10 min ils auraient repris leurs discussions habituelles et fait comme si de rien n'était .

Mais pour moi je ne pouvais pas rester dans cette situation . IL sentait à plein nez la drogue , et vu comment il a déclenché notre départ , il devait avoir une somme à devoir a je ne sais qui , or nous savons tous que les gens qui vendent ce genre de matière ne sont pas là pour juste vendre par plaisir , elles ont besoin de cette argent pour je ne sais qu'elle raison . Il ne roule pas sur l'or , j'ai donc peur qu'il se soit « endetté », et nous avons beau vivre dans un quartier assez calme c'est partout pareil , les règlements de comptes s'enchaînent sans se compter ,  une partie se finissent  bien juste un détour à l'hosto  et c'est reparti , d'autre vont un peux plus profond sous terre .

J'ai tellement peur que ca arrive , pourtant il avait réussi à me rassurer jusqu'à présent mais cette sortie m'a plutôt inquiété .

En revenant chez moi je m'empresse  de ranger mes cours car demain c'est la rentrée et j'ai un oral , autrement dis la chose qu'une personne introvertie déteste le plus . Je suis cependant serein sur mon sujet car j'y est passé des jours et des jours mais je suis plus mitigé sur mon oral ,si mon regard se pose sur une personne et que cette personne se permet d'esquisse un sourire en coin, c'est fini je vais loupé une syllabe et puis tout va s'enchaîner , la gêne va s'emparer de moi , puis le stress prendra la place du trac et je finirai en beauté par une crise d'angoisse qui m'obligerai à quitter la salle .

Voilà la triste d'histoire d'un sourire déclenchant une crise d'angoisse .

Je me couche donc dans les alentours de 23 h30  .

Le lendemain j'hésite à appeler Arthur mais je replie mon idée dans le fond de ma tête âpres avoir vu l'heure très matinale pour lui .

Je m'efforce de prendre mon sac à dos et sort.
Je suis en deuxième année de droit , pour l'instant je m'accroche mais je me force à garder la motivation qui part petit à petit et de plus en plus vite .

Je prend donc le tram , une fois arrivé je rentre sans regarder personne parce que personnellement les gens d'ici ne vont pas m'accompagner une fois le diplôme en poche , je suis un petit peu en avance donc je ralenti le pas dans les couloirs . Mon environnement calme créer par mes écouteurs se coupe brusquement quand une grande silhouette viens m'attraper les poignets , c'est Juliette , je ne m'attendai pas du tout à la voir ici elle n'avait pas , comment dire la silhouette d'une fille qui s'intéresse au étude , surtout celle de droit .

-Salut le voisin , je n'aurai jamais pensée que tu fasses des études tu me surprend . Me dit elle d'une voie très joyeuse .

- Ah salut tu vas bien ? Moi non plus à vraie dire je n'aurais jamais pensé ça de toi. Lui dis je d'une voix bien plus monotone qu'elle .

- Je vais bien merci . Tu a l'air cependant très fatigué .

-je ne suis pas très matinale disons .

La sonnerie qui annonce le début des cours sonne , j'étais en avance me voilà tout juste dans les temps .

Juste un sourire...Donde viven las historias. Descúbrelo ahora