House of the Dragon | Sacrifice | Daena x Aemond Targaryen

Ⅳ.𝐏𝐀𝐈𝐍

𝐃𝐀𝐍𝐒 la chambre, je suis assise près de ma sœur qui tricote une nouvelle araignée. Sa fascination pour ses insectes dépasse mon entendement. Pourtant je l'accepte comme elle est. Elle est l'opposé de moi et cependant je suis prête à tout pour elle. Tandis qu'Aegon se rit d'elle, je vois une jeune femme forte. Ses mots dont il ce moque n'est rien d'autre que la vérité. Le destin tragique qui nous attend tous. Son visage doux et délicat m'apaise lorsque mes angoisses gagne mon corps. Lorsque les doutes m'envahissent. Sa présence est rassurante et calme. Elle calme les braises de mon cœur qui ne demande qu'à ce déverser. 

Elle ne fait aucune remarque lorsqu'elle voit une seconde fois mon assiette vide. La silencieuse Helaena est la plus perspicace d'entres nous. Mère est trop préoccuper par ses propres doutes pour ne pas avoir remarquer mon assiette a peine vide lors de notre repas d'hier soir. La viande est rester dans le même état qu'il a été déposer dans l'assiette. Seul les légumes ont réussit à passer. Aegon n'osait pas me regarder, ni m'adresser la parole de peur que je le repousse une seconde fois. Il est épuisé d'essuyer des échecs. Je ne lui facilite pas la tâche comme il l'habitude d'avoir. Il se sert et s'en va. Je suis tout le contraire de ses dames dont il profite. Je ne suis pas celle qu'on apprivoise facilement.

Aemond n'a pas dit un mot de toute la soirée malgré les efforts de mère et de grand père de rendre ce repas normal. La tension était palpable. Nous pouvions la toucher du doigt. Les manigances politiques font rage dans le palais. Le moindre mot est peser et calculer. Un vent nouveau souffle entre les murs du château. La menace arrive demain. Comment en sommes nous arriver jusque là ? Je ne veux pas mener une bataille contre mes neveux. Luc et Jace sont innocents malgré les remarques de mes frères. Ils n'ont pas demander d'être les fils batards d'Harwin Strong comme cette homme bon et courageux n'a pas demander d'être sauvagement assassiné par son frère. Jace et Luc n'ont pas pu pleurer leur véritable père tandis que mes cousines pleurer leur mère. 

Nous ne souhaitons pas rentrer en rivalité. Mère nous l'a pousser à le faire. Les paroles néfastes de mon grand père à germer avec le temps. Rhaenyra ne veut pas pas de cette guerre comme elle ne veut pas notre mort. Elle est une mère elle aussi, comment peut-elle arracher les enfants d'une autre ? Mais nous en sommes là aujourd'hui. Mes frères détestent leurs neveux de la même force que nos neveux n'ont pas eu le choix de le faire à leur tour pour ce protéger. Aemond n'a pas voler Vhagar comme ils le prétendent. Un dragon choisit son dragonnier et non l'inverse .Croire que nous pouvons contrôler les dragon ne sont que les paroles d'un fou. Croire qu'ils nous obéisse nous rend aveugle, gonflant encore un peu plus notre orgueil. Vhagar l'a choisit comme elle à choisit Visenya avant lui. Elle a su voir ce que la plupart préfère ignorer : l'amour qu'il porte à sa famille. Comme Visenya avant lui, il mène un combat dont elle juge juste.

Cela lui a couté un œil. Cela a aussi causé encore plus de division sous les yeux fatigué de notre père. Il ce bat pour maintenir la paix entres ses enfants. C'est cette espoir qui le fait encore tenir éveiller refusant l'appel des Dieux. J'aimerais lui dire qu'il peut partir l'esprit tranquille, lâcher prise ce libérant de ce corps qui le maintient prisonnier. Qu'il n'a plus besoin de souffrir. Cependant je ne ferais que entretenir un mensonge qui ne se réalisera jamais. Nous savons tous à cette instant lorsque ma mère à pris la dague, que le sang de Rhaenyra c'est répandu sur le sol; que nous ne pouvons plus faire machine arrière. Que notre sort était sceller. Une bataille s'ensuivra. Les drapeaux vert ce lève, les hommes ce préparent à porter les armes attendant plus que le signal de leur maitre.

— Mes chérie.

Debout, nous regardons notre mère arriver dans la chambre. Son visage est encore plus fatigué que la veille malgré la belle robe et ses beaux bijoux qu'elle portent. Elle n'a pas dormie de la nuit sans doute déranger par les visites répéter de Larys. Le serpent dont je m'éloigne. Je refuse que sa morsure répande son venin dans mon sang. Je n'écoute pas son chant qui m'appel. Mère joue à un jeu dangereux et pourtant nécessaire. Mes os me font mal à l'idée qu'elle laisse se serpent rampé dans notre propre maison. Il a tué son propre père et son frère. Comment pouvons nous faire confiance à un tel homme ?