CHAPITRE 22

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"Et si jamais ma vie n'était qu'illusion, n'était que fiction, mes rencontres et mes peines n'étaient que pur invention..."

- ( David ) Je peux prendre place ?
- Mais bien-sûr que oui !
- D'accord, je m'assois commandent !  Tu m'as paru très différente aujourd'hui, je ne t'ai pas reconnu, je n'ai pas vue en toi cette joie, que très souvent tu affiches, je n'ai pas vue de sourire sur tes lèvres, ces lèvres qui sont pour moi un paradis, je n'ai pas vue une lueur d'espoir dans tes yeux, comme çi... Comme çi tu avais abandonnée tout espoir. Dit moi pourquoi, pourquoi tu es comme ça aujourd'hui ?
- Je le suis, simplement Parceque le monde a voulut que je sois ainsi !
- Je ne te suis pas , développe !
- Tu vois, j'ai été blessée sur le champ de bataille, et cela pas par n'importe qui, mais pas mon gouvernement. Oui le gouvernement donc je me suis abandonnée, donc j'ai donnée ma vie, donc j'ai jurée d'aimer jusqu'à ce que le fin de désir suivre. Comme l'amour rend aveugle, j'ai été aveugle pas de beau discours, par des belles promesses, pas de jolies Cadeaux, par des beaux moments... Maintenant, oui maintenant je ne crois plus pouvoir aimé, l'amour n'a plus aucun goût.
- Tu as tort de penser que tout, les gouvernements sont ainsi, je connais d'autres pays, où règne plaisir, joie, humour, cadeau, tendresse, amour et sensations fortes.
- David, pourquoi tu fais ça, pourquoi tu es comme ça avec moi ? Pourquoi moi ? Et pas une autre fille ?
- Simplement Parceque tu es différente, tu es drôle, intelligente, flatteuse, délicat, éblouissante, une fille qui regarde des mangas, qui se base plus sur des enquêtes policières, qui regarde des matchs, qui adore les mathématiques plus qu'elle aime sa vie !
- Donc c'est juste pour cela ?
- Non, bien au delà, tu sais me comprendre, tu es libre et ouverte à la compréhension, tu délire souvent et tu t'en portes très facilement, tu es protectrice envers ceux dont tu considères, tu es belle, sexy, taillée tel un maniquain, et je t'aime. Je suis fous de toi, je t'aime ange !
- Ça je le sais déjà, je sais. Tes sentiments ne me sont pas en sourdine.
- Et toi m'aimes-tu ? Ressens-tu ne serais qu'un fragment de ce que je ressens pour toi ? Rêves-tu de moi ? De nous ?

Je restais sans rien dire, je ne pouvais pas lui donner de l'espoir, des faux espoirs. Certe sont amour pour moi, je le ressentais, mais je ne voulais pas me lancer dans une relation à Sens unique ! Je ne voulais pas qu'il souffrir , je ne voulais pas qu'il ressens ce que je ressentais à présent ! J'étais déchiré, car j'ai vécue un amour à sens unique pendant un ans ! Oui, je peux l'affirmer sans restrictions qu'ulrich ne m'avait jamais aimé, s'il m'avait seulement une fois, un minimum, un peux, il ne se saurait jamais donner ainsi en spectacle devant, il ne m'aurait jamais trahir de la sorte devant moi, à ma vue ! Certe un homme est libre d'avoir le nombre de femmes qu'il veut, c'est ma vision des choses, mais du moment où, il me respecte et respect ma personnalité, celà ne me dérange pas !

- David, tu sais ce que je vie en se moment, je ne voudrais pas te donner de faux espoirs, mais pour le moment, c'est d'un amis, une épaule sur laquelle me reposer, pleuré, me défouler, criée... Pas une relation, où certainement je te dirais, je t'aime mais jamais je ne te le demontrerais !

- Ta franchise ma toujours plus, je serais l'épaule sur laquelle tu peux te reposer, que tu peux pleurer, je serais toujours là pour toi, mon ange.
- Merci David ! Tu es unique en ton genre !

On se donna un câlin instinctivement, je pouvais sourire, et il avait cet odeur de pain d'épices, la douceur de sa chemise, ses bras au dessus de ma taille, ses doigts me caressant la colonne vertébrale, ses baissés sur mon cour ! Tout ça, et dans l'enceinte du lycée, non, il est parfait dommage que mon cœur appartient à cet idiot d'Ulrich !

Et le pire dans tout celà, c'est toujours ce dictons "Lorsqu'on parle du loup, la queue se fait toujours voir... " . Ulrich et Nathan passaient juste moment où, je me sentais toucher la lune. Il me fixait du regard, j'avais mal à sa place, malgré tout, une femme ne devrait pas trompés son âme-sœur !

- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Non rien,
- C'est ça présence qui te gêne à ce point ?
- Non, t'inquiète, pourquoi ça devrait me déranger ?
- Simplement Parceque tu es toujours aussi amoureuse et éprise de lui, je le sais ça se voir dans ton regard, ça se lit dans tes émotions, et...
- Ne dis plus rien ! J'apprendrai à t'aimer !
- Ça ne s'apprend pas,
- Alors le temps me fera t'aimer !
- Je compte bien ... Viens, j'ai un petit cadeau pour toi en classe,
- Encore des cadeaux, non tu me gâtes trop, je vais finir par m'y habituer.

Je souris, il sourit et la joie nous s'en porte ! Il m'aide à me relèver et moi je fais comment je pouvais me débrouiller seule, même si ça me plaisait bien !

- ( Nathan ) Ange, s'il te plaît attend, j'ai à te parler !
- Ça ne peut pas attendre ?
- Non c'est très urgent !
-( David ) Va y ! Je vais t'attendre en classe.
- Ok Dav, tu me manques déjà..

Il sourit,

- Et à moi, je suis comme  une obscurité total sans ton sourire pour m'éclairer.
- ( Nathan ) C'est bon , vous avez fini ?

AMOUR LYCÉENS Where stories live. Discover now