Cinq

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Amir : Dégage tu fou quoi ici

Il avait la voix cassé.

Moi : Y se passe quoi ?

Je m'approche de lui pour m'assoir à côté de lui et essaye d'enlever sa capuche, il pousse mon bras rapidement mais sans me faire mal.

J'ai automatiquement sentis l'odeur nauséabonde de l'alcool, j'ai eu un pincement au coeur, je crois que sans m'en rendre compte j'ai compris que je pouvais accepter tout les défauts du monde sauf celui ci.

Amir : Isra, rentre

A l'entente de mon prénom dans sa bouche aussi calmement ma rendu nerveuse, j'étais perdu.

Je m'accroupis devant lui et je lui prend sa main qui est toute rouge dans la mienne pour qu'il me laisse faire et je lui enlève sa capuche. J'avais le coeur qui allait s'arracher de ma poitrine.

Regarde toujours le sol, je relève son visage et je vois son Arcade et son nez saigner.

Moi : Han mais Amir ? C'est quoi ça

Amir : Crie pas j'ai mal à la tête Isra hambouk

Il était tellement calme et fatiguer.

Il décide de lever son regarde et il l'encre dans le mien.

Il met sa main sur ma joue et chuchote :

Amir : T'es ma raiponce tu vas me sauver c'est ça ?

Je le regarde et il continue à caresser ma joue avec sa main.

J'étais tellement triste sur le coup, j'ai commencé à voir une facette de lui qu'il n'avait pas montré mais comme le dit si bien Intissar ''Une facette attirante d'un homme ne fait pas de lui ce qu'on croit ''

Moi : Allé viens je vais t'emmener chez toi et on désinfecte tout ça

Il a pas ronchonné, je l'ai pris par le bras et on a descendu les escaliers.

J'étais persuadé que Amir avait les clefs puis il a ouvert directement la porte, j'ai souris, ils en ont vraiment rien à foutre. Porte ouverte à 2 heure du matin.

On se dirige dans la salle de bain, son appart est exactement comme le mien.

Je prend quelques coton avec de la biseptine, il y avait que sa et chez moi y'a absolument rien.

Il se recule chaque fois que j'approche le coton et je suis vraiment pas patiente, j'essaye de me canaliser et j'ai fini par écrasé le coton sur son sourcil.

Il commence a parler en chuchotant.

Amir : Tu vas me crever l'œil la

Moi : Arrête de bouger alors

Amir : T'es pas agréable comme raiponce par contre

Moi : Raiponce elle tabasse son prince avec une poêle j'te rappelle

Il fait un sourire innocent

Amir : J'suis ton prince alors ?

Je souris également devant son innocence et ne dis rien.

Je lui apport des vêtements de sa chambre qu'il m'a indiqué et je le laisse se changer, il fini par sortir et il se dirige vers sa chambre.

Une fois installé je décide de lui parler.

Moi : Amir il s'est passé quoi ?

Amir : Rien qui te concerne

Moi : Sérieux dis moi

Chronique d'Isra, pas l'un sans l'autreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant