Vingt-deux

7.1K 166 37
                                    

On a fini par monter avec Zak et Adlen.

Ils se sont calé sur le canapé et je suis revenu avec des compresses.

J'ai soigner Adlen et il m'a remercié.

Zak : C'est vrai cette histoire de fille ?

Moi : Bah oui pourquoi

Zak : Chepa comme ça tu sais je suis pas comme Amir je démarre pas au quart de tour tu peux m'en parler

Adlen : J'étais là Zakarya c'est la vérité laisse la respirer

Moi : Trql Zak je sais, comme j'ai dis je les connais pas

Zak : Hm

La porte d'entré s'ouvre sur Ines.

Ines : OH MY GOD VOUS VOUS ÊTES BATTU TOUT LES DEUX ???

Zak : T'aurais vu Ines Isra elle a mit une patate à Adlen chab il saigne carrément

Ines : QUOI MAIS POURQUOI ??

Moi : Mdddr mais l'écoute pas

Ines : OH PUTAIN ISRA TON OEIL WSH

Adlen : Viens sale microbe y'a rien

Ines : Nan nan vous me dites Cqui se passe vous voulez que je meurs enfaite

Moi : Ines y'a tchi y'a 3 connes qui m'ont tabassée dans la rue et lui là il s'est battu avec Amir

Ines : Y'a trop d'info la raconte bien

J'ai passé 1 heure à lui raconter « l'histoire » Non je comptais pas non plus le dire à Ines, c'était trop dur d'en parler.

Zak : Bon j'y vais je vais voir cqui fait l'autre hmar de Naïm et je vais appeler Amir je te tiens au courant

Adlen : Moi aussi j'y vais, je passe demain Isra ok tu m'appelles

Ines : Zehma sayai vous vous détestez plus ptsm

Moi : On s'est jamais vraiment détesté..

Adlen me sourit gêné et tout les deux part.

Ines : Putain bah au moins ça vous a rapproché ! C'est vraiment des connes j'espère qu'Amir va les retrouver et les tuer

Moi : Laisse tomber je veux pas qu'il se mette dans la merde

Ines : Quand même elles méritent

Le soir arrive rapidement et je préviens Ines que j'irais pas en cours jusqu'à que mes blessures s'estompent un peu.

Elle va se coucher tôt et me fait un bisous sur le front comme à son habitude.

Il était 23h30 quand je reçois un msg.

Amir
« Ouvre stp »

Je me lève direct ! J'ouvre la porte et il était là épuisé ! Il entre et il va directement dans ma chambre. Il s'assoie sur mon lit et je reste de debout en le regardant en mode « ??? ».

Amir : Désolé taleur j'ai mal réagis

Moi : C'est rien Amir tranquille

Amir : J'aurais du t'écouter mais quand je t'ai vu reculer quand je voulais t'approcher j'ai eu trop peur je pensais qu'il t'avait fais un truc

Moi : Faut pas que t'es peur tranquille

Je met ma main de force sur son épaule, j'en avais envie oui, j'avais envie de le prendre dans mes bras mais c'était trop dur, rien que de toucher sa peau j'en avais des frissons. 

Chronique d'Isra, pas l'un sans l'autreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant