Huit

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Enfin bon.

Avec Adlen on a continué à se voir en cachette mdrr, j'ai pas re croisé Amir depuis un moment et je trouvais ça bizarre d'ailleurs, Zak me rendait souvent visite depuis l'histoire, Naïm lui était tout autant absent que Amir.

Tout se passer bien en cours, la vie de rêve enft, je rentrais voir mon père certain week end.

Marwan passait aussi à la maison par surprise comme si il venait faire une perquis.

On étaient parties manger tous ensemble dehors, je parle bien évidemment de Ines, Naim, Zak et moi.

Zak : J'aimerais trop dire comme d'hab pour moi chef mais ce tamam ce rappel jamais de moi

( Les turcs je vous aime mais on vous appel les tamam ou tavuk beyti )

Naim : Ou juste qu'il arrive pas à retenir ta gueule trop moche

Moi : Pour un doliprane je te trouve très culotté

Naim : Zehma moi je porte la culotte

Zak : Mddrrr Tu te souviens quand on a acheté des culottes pour l'anniv à Amir ?

Naim : Bahahah sa gueule quand il a vu ça !

Moi : D'ailleurs il est pas avec vous votre acolyte

Ines : Mais grave y date de fou

Zak : Ouais il avait deux trois truc a faire

Ines : Genre quoi ?

Naim : Vous êtes trop curieuse vous, du genre des affaires de grand

Moi : Plus encoooooore

Naim : Eh minimoys fourre pas ton nez la ou ça peu faire mal

Zak : En plus j'te trouve très investi dans la vie de quelqu'un que t'aime pas

Ines : Bah on se renseigne sur nos voisins les trafiquants pour vous pouk au dek askip c'est 5 milles balles

Au même moment Zak reçoit un appel et il avait l'air sur les nerfs au début puis il s'est calmé.

Naim : Alors

Zak : C'est bon il a recup et il a vu avec les grands pour le reste

Avec Ines on se regarde et on reste silencieuse.

Quelques jours passent et un beau soir je n'arrivais pas à dormir comme à mon habitude puis je reçois un texto.

+336...
« Sors »

Moi
« C'est qui ? »

+336...
« Amir, sors »

J'ai commencé à paniquer, mon coeur battait à 100 à l'heure ! Je devais sortir ?? J'avais tellement de pression.

+336...
« Je t'attend sur le parking »

J'ai pas réfléchi très longtemps avant d'enfiler un sweat à capuche, je me fais une tresse et sors avec mon short de foot, il faisait encore très chaud.

Je dévale les escaliers rapidement et je vois sa voiture avec les fard allumé.
Je monte directement, il était 2 heures du matin alors bon.

Il me regarde pas, il avait une clope à la main, il était pas khabat non plus.

Au bout de 5 minutes il se décide enfin me regarder.

Chronique d'Isra, pas l'un sans l'autreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant