Quand je regardais ses mains

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Elles me calmaient, me permettaient d'aérer mes pensées dès lors que je m'énervais,

Dans toutes valeurs, dans la légitimité, dans la spiritualité, sans pudeur, je m'y perdais conformément à ces dernières,

Par un choix, j'ai offusqué ses pensées que ses doigts retranscrivaient sans pouvoir l'observer et lui dire d'arrêter,

Arrêter pourquoi on me dira pour un choix que je ne regrette pas, hors dès lorsque je me disais pourquoi pas, que j'ai encore le choix mais ces pensées veulent le bien pour moi,

Je reste fière, quand je regardais ses mains qui ne me mentent pas mais qui ne sont pas à moi.



Annaelle IBO 


Poèmes sur mon chemin de vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant