Veintiocho- Just a simple touch.

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¡ Hola !

J'espère que vous allez bien !

Ça fait super longtemps et je m'excuse ! Moi qui voulais être activité ben pas du tout. J'étais trop concentrée sur la correction de Les Compatibles Jefes qui est terminée donc maintenant je reprends cette histoire à fond et je vous poste deux chapitres aujourd'hui !

Bonne lecture à vous !


Point de vue María :

Une main sur ma taille s'est vite posée pour l'empêcher de tomber. Une grande main qui me la réchauffe.

- Ravi de te revoir également, Mi cielo.

Ça faisait une semaine que je ne l'avais pas vu. Son visage a retrouvé son charisme sans le moindre bleus. Il a une petite cicatrice sur le front. Ses yeux m'admirent avec beaucoup d'intensité.

Pour être sûre de ne pas rêver je tourne la tête vers l'intérieur de la chambre puis je retrouve ses iris. Un sourire en coin il ne cesse de me jauger de haut en bas. Il est en force. Très en force il sourit de désir en me regardant. C'est... déstabilisant.

Je lâche l'encadrement de la porte et retrouve équilibre. Son contact ne me lâche pas. Grâce à lui je me sens à nouveau en sécurité. Maintenant qu'il est là je sais qu'il me protègera.

Aucun mot ne sort de ma bouche. À vrai dire je ne sais pas quoi dire. Je ne m'attendais à pas ce qu'il soit réveillé aujourd'hui. Les médecins disaient que son état s'était amélioré mais ils n'ont pas estimé de réveil il y a encore une semaine.

- Señorita.

Les lèvres de Diego Alejandro ne sont plus violettes mais un peu rosées. Un ensemble orne son corps qui a beaucoup maigri aussi, cependant il lui reste beaucoup de masse musculaire.

Son visage se penche vers mon oreille, sa main me rapproche de lui. J'ai soudainement très chaud.

- C'est à toi qu'il s'adresse.

En secouant la tête pour retrouver mes esprits je me tourne vers l'homme qui me donne le bouquet que j'ai dû faire tomber. Les fleurs sont encore très jolies. Vue la situation je ne sais pas si je suis censée lui offrir maintenant ou non.

- J'ai- J'ai acheté ces fleurs pour toi.

Ses sourcils se arquent immédiatement. Ses iris valsent du bouquet à moi. Toute timide je le lui tends sachant très bien que j'aurais dû attendre. Il prend le bouquet tout surpris. C'est assez drôle de le voir ainsi, déstabilisé à cause de moi.

Il observe le bouquet avec une certaine douceur dans les yeux. Alors que je crois qu'il aller le jeter il me donne à l'un des quatre hommes en ordonnant :

- Je veux que ce bouquet reste inerte. S'il manque ne serait-ce une pétale à une fleur je te butte.

- Bien Jefe.

L'homme recule avec les autres. Le contact prend fin lorsqu'il retire sa main. Ses iris parcourent mon visage. Je crois que c'est mes lèvres qu'il observe. Son visage neutre ne me transmet rien du tout.

Alors que ses lèvres s'ouvraient pour s'imposer des coups de feux nous ont assourdi. Mes bras l'ont encerclé pour ne pas être trop peur. Afin d'éviter la crise d'angoisse je me concentre sur les battements de son cœur. Il faut que je les écoute pour ne pas refaire la même erreur qu'il y a trois mois.

Même si c'est son arme que j'entends il ne faut pas que je ne me déconcentre. Son odeur voyage dans mes poumons. Elle est plus tranquillisante que la nicotine.

Un Client pas comme les AutresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant