3~ La superficie du Monde

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[...]

Oui, dès l'instant où je vous vis,
Douce beauté, vous m'avez plu,
Brillez le jour comme la nuit,
Et mon existence ne sera plus.

Et comme une ville qui s'allume,
Que l'on contemple et qu'on rêvasse,
Mon coeur abrupte se consume,
De vos lèvres jusqu'à l'espace.

Soyez de mon cœur qui vous adore,
L'unique souvenir précieux au goût de Fruit,
Et restez à jamais mon grand trésor,
Perdu dans les méandres de la folie.

Car vos langoureux baisers ne se lassent,
De se trouver à chaque instant auprès de moi,
Parce qu'après le vœu où je vous embrasse,
Je m'endors dans un rêve qui n'existe pas.

Et quand vous pleuriez dans mes draps
Et que j'écoutais vos cicatrices profondes,
Il s'avérait que je prenais dans mes bras,
Toute la superficie du Monde.

[...]

Un jour je serai amoureuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant