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Au fond, ce qui me fait mal et qui par dessus tout me rend malade,
Ce n'est pas de voir que le Monde se meurt bien plus vite que le temps,
Ce qui profondément me fait mal, c'est de voir les gens se nourrir de salades,
Jusqu'à en faire couler les larmes, le zèle et le sang.
Mais peu m'importe en fin de compte car le Monde peut bien brûler,
J'arrive à en sentir un autre plus beau durant nos étreintes,
Ils peuvent tout faire fondre, tout détruire, tout faire valdinguer,
Rien ne serait plus terrible que si nos âmes s'étaient éteintes.
Et si l'Amour devait mourir demain,
J'irai éparpillé le souhait que tu scandais avec ferveur,
J'irai, et je te prendrai la main,
Hurler au Monde que le mien vient de perdre toutes ses couleurs.
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Un jour je serai amoureux
PoetryUn jour je serai amoureux ? Suite de ma première œuvre intitulée « La douceur de mes mots » ? Recueil de poésie romantique contemporaine. Un écrivain, poète, de 19 ans, mieux que tout autre y raconte avec audace et douceur la vie, l'amour, les pay...
