Chapitre 21 Viennoiseries & Protection

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11h00

J'ouvrais légèrement les yeux tout en humant l'odeur de viennoiseries qui provenait de la cuisine.

La lumière qui passait par la baie vitrée de ma chambre me permettait de voir qu'il était tard.

J'attrapai mon téléphone "11h00" tapante.

Hier soir Antoine et moi avions veiller jusqu'à tard, il était captivé par une série et ne voulais pas qu'on aille se coucher.

Je me levai tant bien que mal et enfilait un pull qui trainait au sol ainsi qu'un short.

En enfilant le pull je reconnaissais l'odeur d'Antoine, j'en déduis qu'il lui appartenait.

Je fis un détour par la salle de bain, en croisant mon reflet dans le miroir je vis que je n'avais pas de cernes.

Mes cheveux étaient attachés en un chignon.

Ce matin ma tête était potable.

L'odeur du petit déjeuner m'appelant je me précipitai vers la cuisine en essayant de ne pas glisser.

Antoine était assis devant le comptoir au milieu de la cuisine.

Il déjeuner des croissants.

Je profitai qu'il ne m'ait pas entendu arriver pour lui faire une blague.

Je bondis dans son dos m'aggripant à ses épaules en hurlant "Boohoo".

Il sursauta d'abord puis passa ses bras dans son dos pour me serrer contre lui tout en rigolant.

-Bah, alors monsieur, on ne m'as pas attendu pour déjeuner?

-J'avais faim, et je voulais à tout prix manger des bonnes viennoiseries, alors je suis allée les chercher, et quand je suis revenu vu que tu dormais toujours et que je voulais pas te réveiller... Bah j'ai mangé.

-Hmm, ça s'comprends.

Descendant de son dos j'attrapai une chocolatine en m'asseillant en face de lui tout en me préparant un chocolat chaud.

Il me regarda faire en souriant et c'est là que je décidai de poser la question qui fâchait:

-Antoine...

-Oui, mi corazón?

Son surnom me fis frissonner mais je continuai, faisant mine de rien:

-Tu dis pain au chocolat ou chocolatine?

-Bah, chocolatine, du pain au chocolat c'est tu prends du pain et tu mets du chocolat dedans.

Je couru vers lui et le prenais dans mes bras:

-Je t'adore encore plus maintenant, mon amour.

Il rit et me serra contre son torse.

15h00

-J'avoue, t'avais raison.

-Je sais j'ai toujours raison, mon amour.

Voilà bien une heure qu'Antoine et moi visitions Paris.

J'avais beau dire à Antoine que les cafés parisiens étaient largement plus sophistiqués, que ceux américains il ne voulait pas me croire.

C'est pourquoi nous étions assis à la table d'un petit café shop parisiens.

Et il venait enfin d'avouer que j'avais raison.

Antoine me coupa de mes rêveries, me faisant frissoner avec sa voix suave.

The FallWhere stories live. Discover now